« Dans le sein maternel Jacob saisit son frère par le talon, et dans sa vigueur, il lutta avec Dieu. Il lutta avec l'ange, et il fut vainqueur, il pleura, et lui adressa des supplications. Jacob l'avait trouvé à Béthel, et c'est là que Dieu nous a parlé. »
Au lieu de cela, c'est bien Jacob qui est vainqueur, contre Dieu. C'est Jacob qui semble avoir le pouvoir de retenir Dieu prisonnier, celui-ci le suppliant de le laisser partir loin de lui.
C'est pourtant ce poltron qui combattra toute une nuit contre un inconnu et méritera de ce fait le nom d'Israël : « celui qui a lutté victorieusement contre Dieu », selon la traduction la plus courante, mais aussi celui qui marche droit (yachar) devant le Seigneur12.
L'Alliance dans le judaïsme
L'alliance se transmet par le fils d'Abraham, Isaac, puis par le fils de celui-ci, Jacob, qui prit le nom d'Israël. Dans le Tanakh (appelé Ancien Testament par les Chrétiens), parmi les descendants de Jacob-Israël, ce fut Moïse qui réceptionna la plus importante actualisation de l'Alliance.
Lors de sa lutte Jacob est touché à la cavité articulaire de la jointure de la cuisse et cette cavité se démet puis Jacob boite de la cuisse, c'est pourquoi les fils d'Israël n'ont pas coutume de manger le tendon du nerf de la cuisse qui est sur la cavité articulaire de la jointure de la cuisse.
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
Le Dieu d'Israël, Yahvé, était connu avant Moïse chez d'autres peuples que les Hébreux : les anciens Phéniciens semblent avoir adoré un dieu Yo.
L'alliance avec Noé, est un engagement de Dieu seul. C'est lui qui s'engage à ne plus faire de déluge, de ne plus détruire la Terre, de ne plus lui faire de mal, et apparemment, c'est dit comme ça, sans rien demander en échange.
Hébreux trace un parallèle entre le grand prêtre, qui entre chaque année dans le Saint des Saints avec le sang des boucs et des taureaux, et Jésus, qui entre une fois pour toutes dans le sanctuaire divin avec son propre sang, scellant ainsi la nouvelle alliance.
Or, la Bible hébraïque mentionne plusieurs alliances (berît) conclues entre Dieu et les hommes : l'alliance avec Noé, celle avec Abraham, celle du Sinaï avec le peuple d'Israël, scellée dans le sang par l'intermédiaire de Moïse, l'alliance avec David (voir Gn 9,8-17 ; 15,7-18 ; 17 ; 2 S 7,11-16 ; 23,5), etc.
L'ange, dira la tradition, est celui qui acceptera de reconnaître les bénédictions que Jacob avait reçu de son père. Le texte dit que Jacob s'appellera Israël car « il a lutté contre Dieu ». Mais dans une autre version, il est celui qui s'est simplement contenté de lutter contre l'homme.
L'emboîture a trois fonctions principales : suspension de la prothèse, appui de celle-ci sur le moignon (transmission des forces au cours de la phase d'appui) et activation de la prothèse par le moignon lors de la marche prothétique.
Treize ans après, Abram a 99 ans, Dieu apparaît et lui propose à nouveau une alliance. Il le nomme Abraham, car il lui promet de nombreux descendants parmi lesquels des rois qui régneront sur le pays de Canaan.
Le fait de prendre ce nouveau nom est un signe d'acceptation de l'alliance que son père et son grand-père ont reçue. Lorsque nous nous faisons baptiser, nous contractons des alliances. Nous montrons aussi que nous sommes disposés à prendre sur nous un nouveau nom, celui de Jésus-Christ.
Jacob vit une vingtaine d'années en exil chez son oncle où il épouse Léa et Rachel, ses cousines. De ses épouses et de leurs servantes, il a douze fils qui seront les fondateurs des douze tribus d'Israël. D'après la Genèse, alors qu'il rentre dans son pays natal Jacob lutte avec un ange envoyé par Yahvé.
Jacob mène une vie simple et suit l'Éternel. Ésaü est né le premier. Généralement le premier-né reçoit de son père la bénédiction du droit d'aînesse. Le droit d'aînesse signifie pour Ésaü qu'il dirigera la famille et aura plus de terres et d'animaux pour l'aider à prendre soin de sa famille.
Objet d'un traité consistant dans l'engagement d'entraide mutuelle de deux ou de plusieurs États et, par extension, nom de ce traité et, éventuellement, de l'institution qui en résulte. (Toutes les alliances ont officiellement un but défensif.)
Une alliance est un accord entre Dieu et l'homme, un accord dont les termes sont définis par Dieu (voir Guide des Écritures, « Alliance », p. 5-6). Dans ces conventions divines, Dieu s'engage à nous soutenir, à nous sanctifier et à nous exalter si nous nous engageons à le servir et à respecter ses commandements.
C'est Quoi ? La prière d'alliance, c'est prier à partir de notre vie, de notre journée en la mettant sous le regard de Dieu. La prière d'alliance, c'est entretenir le lien, l'alliance avec Dieu en lui rendant grâce. La prière d'alliance, c'est un trésor et en même temps un combat…
Dans l'Alliance, Dieu a choisi Israël, et ce choix est entièrement libre – du moins, de la part de Dieu. Dieu n'était pas plus obligé de choisir Israël qu'il n'était obligé de créer le monde.
Cette promesse constitue le motif principal de la deuxième partie du poème, qui exalte David, son élection par Yahwé, ses victoires, la domination universelle qui lui a été reconnue et l'alliance éternelle que Dieu lui accorde : « (29) Pour l'éternité je lui garderai ma loyauté, et mon alliance lui (restera) fidèle.
à Bethléem en Judée » c'est-à-dire le 25 décembre.
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Les auteurs de la Bible sont environ 40 ; parmi eux on retrouve des apôtres, qui ont rapporté les paroles de Jésus : Paul, Matthieu ou Jean mais aussi des rois : David, Salomon; des prophètes : Élie, Moïse...