L'État, les collectivités territoriales et les entreprises sont les principaux acteurs dans le cadre du développement territorial. Les agences de développement économique jouent un rôle complémentaire aux Entreprises publiques locales pour accompagner les collectivités.
Il s'agit des individus, des groupes, des entreprises, des collectivités territoriales et de l'État. Ces acteurs agissent sur l'espace qu'ils contribuent à modifier. Parfois, ces acteurs peuvent rentrer en conflit.
Les acteurs du développement durable regroupent toutes les personnes physiques et morales qui contribuent à la définition des valeurs et des objectifs du développement durable et à leur mise en œuvre.
Les acteurs sont, en géographie, l'ensemble des agents (individus, groupes de personnes, organisations) susceptibles d'avoir, directement ou indirectement, une action sur les territoires. Le féminin est actrice (une entreprise actrice d'un territoire).
D'après cette carte, quels sont les acteurs qui financent l'aménagement du territoire ? L'État, l'Union européenne, les collectivités territoriales.
Le développement territorial fait modèle à partir de la constitution d'une entité productive essentiellement ancrée dans un espace géographique. On montre ici les éléments de la genèse du territoire autour d'un système local d'acteurs avant d'aborder la dynamique de la spécification des produits.
Le développement territorial est un processus visant à améliorer le bien-être et la qualité de vie de la population d'un territoire, à travers ses évolutions économique, sociale, environnementale ou bien encore culturelle.
Dans cette configuration, la région dotée de ses nouvelles compétences devient l'acteur principal du Programme régional de développement rural. Mais une part importante des crédits du 2d pilier reste du ressort de l'État qui co-finance les PDR.
Les acteurs internes sont les dirigeants, les employées, les syndicats. Les acteurs externes sont les clients, les consommateurs, les fournisseurs, les investisseurs, les actionnaires, les communautés ou associations diverses, ou même les citoyens des pays où les biens et services sont produits ou vendus.
C'est dans cette implication formulée du rôle de l'État que l'on peut différencier le développement local comme mobilisation spontanée des acteurs locaux, et le développement territorial comme mobilisation combinée de l'initiative nationale et de l'action locale.
En France on commence par la commune, le Maire et le Conseil municipal qui représente le premier échelon des pouvoirs publics et le plus petit maillon de cette puissance publique territoriale qui se décline ensuite de manière diverse au niveau départemental, régional, national et supranational avec la particularité ...
Environnement, économie et social sont les trois composantes du développement durable.
Le développement local cherche à construire des tryptiques dynamiques et apaisés entre élus, techniciens et citoyens. Il faut travailler à l'amélioration et à l'extension de cette « culture de la co-construction », à la généralisation de ces « conduites coopératives ».
Faire confiance aux acteurs économiques locaux et valoriser, accompagner, et dupliquer leurs initiatives est notre priorité. Il est aujourd'hui impérieux d'orienter l'épargne des citoyens, plus abondante que jamais, dans les territoires, pour qu'elle accompagne les entreprises et projets locaux[1].
Le rôle du développement consiste à élargir les possibilités, pour chacun, de choisir la vie qui lui convient : vivre longtemps et en bonne santé, acquérir un savoir et des connaissances, avoir accès aux ressources nécessaires pour une existence décente et d'être en mesure de participer à la vie de la collectivité.
Les économistes ont cerné les principaux facteurs qui conduisent à la croissance économique. Ce sont l'innovation technologique, les investissements dans le capital physique et humain, un faible niveau d'inflation, la stabilité politique et l'existence d'une économie de marché décentralisée.
La notion de développement apparaît à la fin de la Seconde Guerre mondiale avec le mouvement de décolonisation amorcé par l'Inde en 1947. Devant l'ONU, Truman (président des États-Unis) appelle les pays riches à aider au développement des nations pauvres. Apparaît ainsi la notion de pays sous-développés.
D'une manière générale, une bonne gouvernance, à savoir une redistribution équitable des richesses et des ressources, des transferts raisonnés en faveur de l'éducation, de la santé, débouche sur des conditions de vie meilleures et sur une réduction renforcée de la pauvreté.
Certains sont des praticiens, notamment des architectes-urbanistes ou des directeurs d'agences d'urbanisme, d'autres des journalistes, d'autres des chercheurs, d'autres des fonctionnaires, des ingénieurs, certains des politiques, etc.
Les acteurs sont multiples que ce soient les citoyens-usagers, les acteurs publics et privés (entreprises de transport, agglomération et autorités publiques, etc.). La question des mobilités est associée à celle des enjeux du développement des territoires périurbains (la question de l'accessibilité par exemple).