Contraction de "bourgeois-bohème", le terme "bobo" désigne de manière plutôt péjorative une catégorie socioprofessionnelle (CSP) de personnes aisées habitant les grands centres urbains et politiquement situées plutôt à gauche et sensibles à l'écologie.
Il y définit le bobo comme une personne aisée. À partir de cette définition générale, différents attributs peuvent être ajoutés à l'archétype du bobo : urbain, écologiste, idéaliste, arrogant, etc.
Le Parisien pas si bourgeois ? Le terme «bobo », qui est une contraction du néologisme « bourgeois-bohème », forgé dans les années 2000, véhicule de nombreuses représentations sociales : le “bobo” est fréquemment associé à « l'élite”, souvent diplômée, et à un mode de vie citadin jeune et branché.
Le look bobo. La mode Bobo chic se répand et résiste aux tendances et aux courants de mode. Devenu intemporel, le look bourgeois bohème a pourtant une touche rétro un brin hippie chic, tendances années 70 mais sans excès, qui plait à de nombreuses filles et ce à tous les âges.
2 – Parce que c'est une insulte facile
Souvent plus riche de culture que d'argent, le bobo met un sacré bordel dans notre vision de la société. Il ne rentre ni dans le modèle « prolétaires contre bourgeois » ni même dans le modèle « peuple contre élites », quoi qu'en disent certains politiques (voir le point n°3).
Ils se sont installés dans des quartiers moins chers dans des espaces atypiques qu'ils ont rénovés, car ils voulaient plus d'espace pour y créer en plus de leur appartement, leur bureau. Ils n'ont plus les moyens de se loger dans le centre des villes, mais ils ont aussi redynamisé certains quartiers.
«Bobo», au sens où on l'entend ici, viendrait du journaliste new-yorkais David Brooks «qui crée ces termes à partir des vocables anglais bourgeois bohemian», selon L'Almanach Larousse des amoureux des mots, (Larousse). Car, depuis le XVIIIe siècle, le mot «bourgeois» est utilisé par les Anglais.
Pour moi un bobo parisien, c'est une personne qui vit dans les quartiers "à la mode" de Paris, dans un 25m2 qu'il paye 1400€/mois dans lequel il ne passe jamais de temps, car il est tous les soirs dans les bars branchés de la ville à se siroter une bière.
Le look homme intello ou bobo
La base du style intello bobo est l'avachi, le faux négligé, le mou : veste de tweed sans forme et sans âge, pantalon informe, pull à grosses côtes façon serpillière ou large chemise écossaise canadienne en pilou… avec bien sur son casque de moto sous le bras.
C'est le « 21e arrondissement » de Paris. La ville de Montreuil (Seine-Saint- Denis), à l'est de la capitale, est devenue le symbole de la « boboïsation » des quartiers populaires de la banlieue parisienne.
« Gros caillou », là où se concentrent les plus riches
C'est le cas du quartier dit « Gros caillou » dans le 7ème arrondissement de Paris (entre les Invalides et la tour Eiffel) qui se situe au sommet du sommet du niveau de vie des riches selon les données de l'Insee.
Dans l'est de la capitale, les plus aisés côtoient les plus pauvres. Dans les arrondissements de l'est (2e, 10e, 11e, 13e, 18e, 19e et 20e), la part des ménages pauvres varie entre 16 % et 25 % contre seulement 7 % à 14 % dans les arrondissements de l'ouest.
« Cela va des bobos parisiens, des costards-cravates, qui garent leur Imax (NDLR : scooter) en bas des tours, aux étudiants. La moyenne d'âge se situe entre 18 et 25 ans.
Au plus simple : est bourgeois celui qui possède les moyens de production et donc le pouvoir économique correspondant. C'est là un des traits les plus visibles et les plus compréhensibles de la bourgeoisie pour les petits-bourgeois (et les travailleurs).
Sarfalao, c'est, en termes de superficie et de nombre d'habitants, le plus grand secteur de la ville de Bobo-Dioulasso. Peu doté en infrastructures routières et particulièrement défavorisé par dame nature, ce quartier est un véritable bourbier pendant les saisons pluvieuses.
Le chic à la parisienne c'est surtout avoir de nombreux basiques dans sa garde-robe. Un jean bleu, un t-shirt blanc ou noir, une paire de basket blanche ; voila déjà la base de la garde robe . Le petit plus nous le verrons par la suite sont les accessoires et des pièces fortes en supplément .
Les Italiens sont, une fois de plus, considérés comme les plus élégants. Un sondage a été réalisé dans 20 pays de l'Union Européenne. 35 % des 12 000 vacanciers interrogés sont unanimes: les Italiens sont les Européens les mieux habillés.
Les Françaises s'habillent en fonction de leur silhouette, peu importe laquelle, et elles aiment les vêtements ajustés qui accentuent les courbes. Elles n'essaient pas de cacher leurs courbes dans des vêtements trop larges. Les Parisiennes se rendent chez des tailleurs et au pressing.
Le Parisien aime juste qu'on parle un peu de lui, se sentir insolent et se faire remarquer. Il aime aussi se sentir un poil suffisant, mais on ne le changera pas, alors un petit conseil : faites avec ! Voilà, vous êtes en mesure de reconnaître un vrai Parisien.
On s'expose très progressivement au soleil, le matin avant 11 heures ou après 16 heures. On applique une dose généreuse de crème solaire UVA/UVB sur le corps et le visage, et surtout on renouvelle l'application toutes les 2 heures. On choisit l'indice du produit solaire en fonction de votre type de peau.
Paris est aussi une ville qui mêle jolies rues piétonnes, espaces verts et grandes avenues très fréquentées. On y trouve de nombreux cafés, restaurants et autres commerces. Sans oublier la Tour Eiffel, le Louvre ou encore l'Arc de Triomphe au bout de l'Avenue des Champs-Élysées.
Ce sont les Mandè-Dyoula de Bobo-Dioulasso et de Kong qui les appellent Dorhošié ou Dokhosié ce qui veut dire simplement : les gens (sié) du Doro ou du Dokho. — Les Dokhos furent découverts par Binger lors de son voyage du Niger au golfe de Guinée, lorsqu'il alla de Kong à Bobo-Dioulasso, marchant du sud au nord.
La tradition orale rapporte plusieurs versions. Selon une des versions, la cité de Bobo-Dioulasso est née entre le Xe et le XVe siècle. Elle s'est forgée autour d'un petit village appelé Kibidoué (ndlr : kibi signifie arbre en Bobo). Elle fut fondée par des agriculteurs Bobo venus du Mandé, l'actuel Mali vers 1050.
Étymologie. Avec le suffixe -ot, d'une onomatopée tchic exprimant quelque chose de petit, de cassé → voir chicaner et chiche. Certains font remonter cette onomatopée au latin ciccum (« petit rien »).