Les principaux adversaires des Ottomans furent d'abord la république de Venise, le Saint-Empire romain germanique, et la Pologne-Lituanie ; s'y ajouta la Russie vers la fin du XVII e siècle.
La révolte arabe casse l'unité du monde sunnite. Pour la première fois, des musulmans prennent les armes contre l'Empire ottoman au nom du respect de l'orthodoxie sunnite. La révolte marque aussi une dégradation sensible de l'alliance germano-ottomane.
Il étend l'Empire aux pays arabes : Irak, Arabie, Afrique du Nord sauf le Maroc, au Yémen et à Aden en 1548. A la suite de la soumission du chérif de La Mecque, le sultan est considéré comme le gardien des lieux saints de l'islam (La Mecque, Médine) et devient le « serviteur des deux sanctuaires ».
L'Empire ottoman étant allié de l'Empire allemand et de l'Empire austro-hongrois, il participe à la Première Guerre mondiale à leurs côtés. Le principal successeur de cet empire est la Turquie.
Douze jours avant l'armistice du 11 novembre signé entre les pays de l'Entente et l'Allemagne, les Ottomans, vaincus, paraphent un traité de paix avec la Grande-Bretagne et ses alliés sur l'île grecque de Moudros, le 30 octobre 1918.
Les intrigues politiques au sein du sultanat, l'avènement de la puissance européenne, la concurrence économique introduite par l'apparition de nouvelles routes commerciales et les prémices de la révolution industrielle sont autant de facteurs qui contribuèrent à déstabiliser cet empire autrefois sans égal.
Loin devant les Empires grec et romain, l'Empire mongol fut le plus grand de tous les temps. Cela grâce à son fondateur, Gengis Khan, « empereur universel » considéré comme le plus grand conquérant de l'histoire qui unifia les tribus d'Asie centrale au XIIème siècle.
La guerre de Crimée a révélé la faiblesse financière de l'empire: pas de vrai budget, des rentrées fiscales irrégulières, un endettement croissant. La monnaie, les finances et les douanes de l'empire passent sous la tutelle de la Banque impériale ottomane, créée en 1863 et dirigée par un consortium franco-britannique.
En 324 apr. J. -C. , l'empereur romain Constantin Ier choisit Byzance comme nouvelle capitale de l'Empire. Sous le nom de Constantinople, elle devient la nouvelle Rome.
L'Église orthodoxe était reconnue par les autorités ottomanes, mais aussi intégrée à part entière dans le système politique et administratif de l'Empire. En revanche, les chrétiens de rite latin dépendaient de l'autorité religieuse du souverain pontife, chef d'un pouvoir politique « ennemi ».
Puis, il y eut l'occupation ottomane du XVIe siècle au XIXe siècle, stoppée par la conquête de l'Algérie par les Français.
Puis Barberousse reprend Tunis en 1534 mais en est chassé par Charles Quint lui-même en 1535.
Lorsqu'en 1830 la flotte française débarque dans la presqu'île de Sidi-Ferruch, la Régence d'Alger, qui dépend depuis près de trois siècles de l'empire ottoman, possède toutes les caractéristiques d'un État souverain.
Les marges est du Maroc sont plus ou moins occupées par les Turcs de la régence d'Alger (la région de Oujda qui est prise puis perdu en 1672 puis reprise avec le Rif oriental en 1692 jusqu'en 1795).
Bien que le Maroc n'a donc pas été stricto sensu conquis par l'Empire ottoman et n'a donc pas été une province ottomane sur plusieurs années, celui-ci a tout de même tenté d'asseoir son pouvoir sur la dynastie chérifienne des Saadiens.
Une tribu turcomane, dite tribu des Osmanlis (fondée par Osman), est chassée d'Asie centrale par l'avancée des Mongols. Elle s'établit dans le berceau byzantin, au nord de l'Anatolie. C'est la création d'un nouvel émirat : l'émirat ottoman. Son fondateur est le sultan Osman Ier.
Selon les experts, il existerait quelques trois mille sites archéologiques en Anatolie (Turquie asiatique) et moins du dixième aurait été découvert ou fait l'objet de fouilles.
La Grande Guerre (1914-1918) va l'anéantir et engendrer la plupart des États actuels... Les Turcs sont des nomades apparentés aux Mongols et issus de la steppe asiatique.
Avec Constantinople comme capitale, et le contrôle des terres autour du bassin méditerranéen, l'Empire ottoman fut au centre des interactions entre les mondes oriental et occidental pendant six siècles.
On compte aujourd'hui soixante-dix-sept descendants de la dynastie ottomane. Il y a parmi eux vingt-cinq princes, seize sultans et treize femmes portant le titre de sultane. Ils vivent sur le continent américain, en Grande-Bretagne, en Egypte ou en Jordanie, et s'expriment dans plusieurs langues.
Une fois limité à la Thrace turque, à la suite des guerres balkaniques, l'Empire ottoman est assimilé par les puissances occidentales à un empire colonial devant assurer la paix, voire relayer la culture européenne, dans le monde musulman.
Expansion. L'Empire ottoman prit le nom de son fondateur, Osman, et de sa lignée. Celui-ci naquit en 1258 en Anatolie, ou Asie Mineure (aujourd'hui en Turquie).
L'empire du Ghana est un État africain qui a existé entre les VIIIe et XIIe siècles en Afrique de l'ouest. Il était situé entre la vallée amont du fleuve Sénégal et la vallée amont du Niger, c'est-à-dire dans l'est du Sénégal, le sud de la Mauritanie et l'ouest du Mali.
Les revers de Napoléon Bonaparte
Il fut l'un des plus grands conquérants de France qui réussit à étendre le spectre de la France sur plus de 130 départements ainsi que sur les territoires tels que Rome, Hambourg, Barcelone, Amsterdam, l'Italie où il est nommé président en 1802 et fait roi en 1805 à 1814.
Au XVIIe siècle, le Royaume-Uni devient la plus grande puissance coloniale. Les Britanniques établissent des colonies dans la partie est de l'Amérique du Nord. Ils chassent et massacrent les populations sur place, convaincus d'accomplir la volonté de Dieu.