Oui, en tant que conjoint survivant divorcé, vous pouvez bénéficier de la pension de réversion de votre ex-conjoint, sous réserve de remplir les conditions d'attribution, qui varient selon le ou les régimes de retraite auxquels votre conjoint était affilié.
En tant qu'ex-conjoint d'un travailleur indépendant ou aidant vous pouvez prétendre à une pension de conjoint divorcé.
Le conjoint ou ex-conjoint d'un assuré décédé peut bénéficier d'une pension de réversion s'il remplit les conditions d'obtention. Pour bénéficier de cette fraction de la pension du défunt, une demande doit être faite auprès des caisses de retraite auxquelles ce dernier était rattaché.
Condition de mariage
Vous pouvez demander la pension de réversion même si vous vivez de nouveau en couple : Mariage, Pacs ou concubinage (union libre) après le décès. vous n'avez pas droit à la pension de réversion si vous étiez pacsé(e) ou si vous viviez en concubinage avec le/la défunt(e).
Actuellement, si la personne décédée a été mariée plusieurs fois, la retraite de réversion est partagée entre tous les conjoint(e)s. À savoir, l'époux(se) actuel(le) et les ex-époux(ses) divorcé(e)s. La pension est alors répartie en fonction de la durée de chaque union.
Divorce : droit de la femme au foyer
Elle doit vous être versée dès que la procédure de divorce est engagée. Elle peut correspondre à une somme d'argent pour couvrir les frais alimentaires, l'éducation et le logement des enfants, ou à une résidence gratuite.
Les couples âgés divorcent souvent pour les mêmes raisons que les plus jeunes : infidélité, éloignement émotionnel, ennui, problèmes d'argent, désir de profiter d'une plus grande indépendance… Le divorce des seniors est également motivé par des facteurs liés aux changements intervenant dans la vie post-professionnelle.
Personne décédée avec conjointe ou conjoint
Si la personne décède après avoir pris sa retraite, sa conjointe ou son conjoint a droit à une rente de conjoint survivant, qui lui est versée pour le restant de sa vie.
L'ex-conjoint doit vivre seul : s'il est remarié, pacsé ou en concubinage, il n'a pas le droit à la pension. L'ex-conjoint ne doit pas bénéficier de droits sur la pension de réversion de son dernier conjoint.
Le montant de l'Aspa qui vous sera accordé est égal à la différence entre ces 16 826,64 € et vos ressources. Le montant maximum par mois est de 1 402,22 €.
Chacun des ex-conjoints peut faire sa propre déclaration en ligne, sur www.impots.gouv.fr, en se connectant avec son propre numéro fiscal et son mot de passe. Vous devez impérativement signaler votre divorce/séparation dans votre déclaration.
Dans ce régime, la condition de mariage est obligatoire (au moins 4 ans, ou au moins 2 ans avant les 55 ans de l'assuré ou avant sa cessation d'activité ; pas de condition de durée si au moins 1 enfant né du mariage). Le remariage annule le droit à la pension de réversion.
La pension de réversion est attribuée à condition d'être ou d'avoir été marié avec la personne décédée. En cas de remariage, la pension de réversion n'est pas attribuée. Si la pension de réversion était versée avant le remariage, elle est définitivement supprimée.
La pension de réversion correspond à une partie de la retraite dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé (salarié ou fonctionnaire). Elle est versée, si certaines conditions sont remplies, à l'époux (et/ou ex-époux) survivant, et aux orphelins (si le défunt était fonctionnaire).
Vous pouvez cumuler votre pension de réversion avec une autre pension de réversion obtenue, à la suite du décès de conjoints différents, au titre d'un autre régime de retraite, à l'exception du régime des pensions de l'Etat et des régimes de retraite des collectivités publiques soumises à la réglementation du cumul.
Pour les régimes complémentaires
Depuis le 1er janvier 2019, il est possible de percevoir la pension de réversion dès l'âge de 55 ans. En revanche, à partir du 1er janvier 2025, le conjoint survivant pourra bénéficier de la pension de réversion s'il a au minimum 62 ans.
Personne mariée, en union civile, séparée légalement, ou en union de fait. Si la personne décédée était mariée ou en union civile, la rente de conjoint survivant est versée à son conjoint ou sa conjointe s'il n'y a pas eu de séparation légale.
En l'absence d'enfant, le conjoint est héritier pour 100% du patrimoine du défunt si les parents du défunt sont décédés. En cas de survie de parents, chacun sera héritier à hauteur de 1/4 du patrimoine de leur enfant défunt + droit de retour éventuel sur le patrimoine reçu par donation ou succession.
En l'absence de testament, vos héritiers deviennent automatiquement et collectivement liquidateurs de la succession au moment de votre décès. Ils peuvent alors désigner une personne pour agir à titre de liquidateur. Cette désignation doit faire l'objet d'une décision des héritiers à la majorité.
Quelles sont les causes les plus fréquentes du divorce ? La principale cause de divorce est l'infidélité. Près de 30% des demandes de divorce font suite à une relation extraconjugale de l'un ou de l'autre conjoint. Viennent ensuite les problèmes de compatibilité de caractère.
Dès lors que vous avez « cumulé » 2 ans de séparation, que vous ne souhaitez pas faire un divorce pour faute et qu'aucun divorce par consentement mutuel n'est possible car votre ex est parti sans laisser d'adresse ou parce qu'il refuse de divorcer, vous pouvez engager la procédure de divorce pour altération du lien ...
Dans le cas où l'un des époux ne souhaite pas divorcer et qu'aucune faute ne peut lui être imputée, la procédure à adopter est le divorce pour altération définitive du lien conjugal. Cette procédure est possible dès lors que le couple ne vit plus ensemble depuis au moins un an.
Malgré le maintien des liens du mariage, la séparation de corps entraîne la fin des devoirs nés du mariage, et notamment : du devoir de cohabitation ; du devoir de fidélité ; de l'obligation de secours.
La plupart du temps, les raisons d'un divorce après 50 ans sont liées à l'usure du couple, à des infidélités, ou à des violences (physiques et psychologiques). L'infidélité étant la première cause de divorce chaque année en France.
Le non-propriétaire doit quitter le logement. Le propriétaire est libre de décider de vendre le logement. Le non-propriétaire peut demander au juge de devenir locataire du logement familial.