Si vis pacem, para bellum (« Si tu veux la paix, prépare la guerre » en français) est une locution latine. Elle représente le concept de paix armée. Devise sur le cartouche du Centre culturel des armées à Madrid.
Conclusion : On a donc vu que préparer la guerre pour avoir la paix, réflexe déjà présent dans l'antiquité, ne permet que d'assurer une trêve provisoire et finit par déclencher la guerre.
Guerre et paix constituent deux modalités des rapports entre les nations : la guerre désigne la lutte contre des ennemis extérieurs, la paix l'entente entre les peuples. et chercher le principe universel qui préside à la conduite de la guerre.
La paix est un concept qui désigne un état de calme ou de tranquillité ainsi que l'absence de perturbation, de trouble, de guerre et de conflit. Elle correspond aussi à un idéal social et politique.
Le titre de ce billet est parfois attribué à Jules César (Caius Iulius Caesar à sa naissance, Imperator Iulius Caesar Divus après sa mort, -100/-44). Il s'agit en réalité d'une locution latine ("Si vis pacem, para bellum.") dont l'origine précise est inconnue.
Exemples. Apprendre ou réapprendre à manier des armes de guerre, c'est faire preuve de prudence et de clairvoyance. « Si tu veux la paix, prépare la guerre », nous dit l'antique adage romain.
La guerre est un phénomène protéiforme. Elle peut être une guerre de conquête (ou défensive pour le territoire agressé) qui a pour but d'agrandir son territoire ou de piller le territoire ennemi. Il s'agit de la forme la plus ancienne de la guerre. Elle n'a pas pour but la destruction de la partie adverse.
La guerre est donc de ce point de vue un moteur de la paix, l'outil de la nature conduisant à la paix. Cependant cela ne signifie pas que préparer la guerre et s'en remettre à la seule Nature pour la paix suffise.
Le contrôle du territoire. L'expansion territoriale est l'un des buts les plus traditionnels de guerre. Elle a généralement pour ambition le contrôle de l'environnement immédiat, par volonté de puissance ou peur de l'agression.
«Battre la chamade», «un rhume carabiné», «tirer au flanc»... Le vocabulaire de la guerre ne cesse d'inspirer nos expressions.
La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice.
D'une façon traditionnelle, pour l'histoire militaire ou celle des relations internationales, la sortie de guerre commence avec la fin des combats (définition militaire), la signature d'un traité de paix (définition juridique), le respect des clauses de ce traité (définition diplomatique).
La guerre n'est pas un problème, c'est une solution.
Comme toutes les solutions défensives, comme tous les mécanismes de défense, elle s'avère après coup peu économique que ce soit sur le plan social ou intrapsychique, et si peu efficace qu'elle doit en permanence être réutilisée, réinventée.
Elle fait référence à un état intérieur, empreint de calme ou de tranquillité, à l'écart de toute perturbation ou agitation. C'est la paix de l'esprit et celle du cœur.
Des millions de gens meurent en raison de l'absence de paix, de la guerre et de la violence dues à l'égoïsme, la cupidité, la corruption, la discrimination religieuse et ethnique ainsi qu'à l'exploitation illégale des ressources naturelles.
Si vis pacem, para bellum (« Si tu veux la paix, prépare la guerre » en français) est une locution latine. Elle représente le concept de paix armée. Devise sur le cartouche du Centre culturel des armées à Madrid.
Il n'y a pas de développement sans paix, ni de paix sans développement. La promotion de la paix crée ou consolide le cadre nécessaire à une coopération durable au développement. Elle englobe des mesures aussi bien militaires que civiles (maintien et consolidation de la paix).
La guerre, dans cette perspective, est un moyen de résolution des conflits. C'est une solution. Elle vient s'intercaler dans un cours des choses régit par des principes reconnus et partagés, ce qu'on appelle la paix. Ainsi, la guerre est une tâche essentielle de l'État, et dans le même temps elle révèlerait l'État.
L'inconvénient d'une paix prolongée
Mais des périodes prolongées de paix peuvent avoir des inconvénients: au sein des sociétés, elles permettent aux divisions de se multiplier et de s'élargir. Et pire encore, elles sont susceptibles de ramener le monde un pas en arrière, vers la guerre.
“Qui veut la guerre est en guerre avec soi.” par Lordlyonor.
“Qui veut la guerre est en guerre avec soi.” “Une guerre entre Européens est une guerre civile.” “Chaque guerre appelle une nouvelle guerre.” “Toute guerre est un manichéisme.”
Les Casques bleus des Nations Unies assurent la sécurité et apportent le soutien politique nécessaire à la consolidation de la paix en aidant les pays à passer l'étape difficile de la transition vers la paix.
Clemenceau avait raison : « Il est plus facile de faire la guerre que la paix. » La Première Guerre Mondiale en citations : Prologue : la Grande Guerre, « C'est la plus monumentale ânerie que le monde ait jamais faite. »