Locution interjective. (Régionalisme) (Par ellipse) (Vieilli) Tournure qu'on emploie en quittant une personne pour exprimer qu'on se propose ou qu'on a le désir de la revoir avant peu. Au Québec, à bientôt et à tantôt sont des locutions couramment utilisées.
Auparavant, le terme "tantôt" signifiait "aussitôt". Plus tard, vers le XIIIe siècle, il fut utilisé pour décrire un moment précis de la journée. Selon les emplois, "à tantôt" peut signifier "à plus tard" ou encore "à cet après-midi" ou même "à bientôt".
À tantôt : Ce mot québécois signifie à tout à l'heure ou à plus tard. À tantôt est également utilisé dans certaines régions de France et de la francophonie, mais il signifie plutôt à cet après-midi.
Il fait référence à un moment de la même journée, soit plus tôt, soit plus tard. Et l'expression à tantôt veut dire « à plus tard, à tout à l'heure ». C'est un usage courant dans plusieurs régions du monde : Belgique, Luxembourg, Québec, Louisiane, ainsi que plusieurs pays d'Afrique comme le Sénégal et le Burundi.
bientôt, prochainement. Ce bâtiment est tantôt achevé.
MONTAIGNE MICHEL EYQUEM DE (1533-1592)
Ton être double attire, ainsi qu'un double aimant, Et ta chair brûle avec l'ardeur froide d'un cierge. Ton front pensif de prince et tes yeux bleus de vierge, Tantôt l'Un, tantôt l'Autre, et les Deux à la fois.
Locution interjective
Se dit à la fin d'une conversation dont les locuteurs savent qu'ils vont se retrouver un peu plus tard (tout à l'heure).
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
À la r'voyure!
Cette expression familière signifie « à plus tard », « à bientôt ». Le mot « revoyure » est l'action, le fait de se revoir, de se dire au revoir.
On écrit toujours « A tout à l'heure, mais non pas « A toute à l'heure » même si à l'oral, on prononce la liaison entre tout » et « à » [t u t @]. Sens : Se retrouver un peu plus tard, dans la journée. Synonymes : À toute, à plus tard, à la prochaine, à bientôt, on se voit après…
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
En disant « à la prochaine », ça veut dire : on parle au téléphone, on va arrêter, mais on parlera une prochaine fois ou on se verra une prochaine fois. Donc, « à la prochaine », ça veut dire « à la prochaine fois où on se reverra » ou « à la prochaine fois où on s'entendra ».
Postérieurement, ultérieurement. Après, plus tard. Et puis (succession dans le temps) : après cela, au reste, d'ailleurs. À une date postérieure; après.
A+ (90 % et plus) : Travail exceptionnel qui témoigne d'une pensée indépendante et d'une réflexion critique et comportant une excellente question de recherche de même que des réponses systématiques et persuasives à cette question.
Moyen de réussir, chance de succès. Exemple : Avoir des atouts à faire valoir. Aux cartes, couleur qui l'emporte sur les autres ; carte de cette couleur. Exemple : Il a tous les atouts entre ses mains.
À bientôt ! À tout à l'heure ! À demain !
Locution interjective
(Familier) Se dit à la fin d'une conversation dont les locuteurs savent qu'ils vont se retrouver un peu plus tard (tout à l'heure) ou presque immédiatement (tout de suite).
Cette formule s'emploie en guise «d'au revoir», lorsqu'on veut signifier à son interlocuteur que l'on espère le voir bientôt. Le «plaisir» nous vient de l'ancien français plaisir, qui signifiait «plaire», du latin placere, «être agréable, agréer».
L'expression Au plaisir de vous revoir est la contraction de adieu jusqu'au revoir. Il s'agit d'une formule de politesse, parfois utilisée dans les courriers.
Historiquement, le sens de "au revoir" provient de l'expression "bon vent" employée par la corporation des marins : souhaiter bon vent, c'est souhaiter se revoir sans encombre après une sortie en mer.
Aux jours de regret ou d'espoir. Un reflet bleu d'aile de geai.
Montaigne en arrivera ainsi peu à peu à s'identifier parfaitement à son livre : « Je n'ai pas plus fait mon livre, que mon livre m'a fait. Livre consubstantiel à son auteur » (II, 18, 665, 1026) ; et « qui touche l'un, touche l'autre (III, 2, 806, 1258).
Cette larme, qui fait ma joie, Roula, trésor inespéré, Sur un de mes vers qu'elle noie, D'un œil qui n'a jamais pleuré !