Belle-fille, c'est-à-dire, la femme de son fils. Mot ancien qui n'est plus utilisé en France ou sur un mode ironique, mais qui s'emploie encore couramment au Québec.
Parmi les liens de parenté, la bru est l'épouse du fils. Le langage populaire préfère utiliser improprement le mot belle-fille qui désigne normalement la fille du conjoint.
(Nom commun 1) ( XII e siècle) Du bas latin des Balkans brutis, (« belle-fille »), introduit par les Goths au III e siècle, supplantant le latin nurus. Apparenté au gotique ????? bruþs, (« jeune mariée »), ainsi qu'à l'anglais bride et à l'allemand Braut (« fiancée, mariée »).
Bonsoir, Une bru : belle-fille , le masculin de bru est un gendre.
Georges, le mari de ma mère (mon beau-père), était [...]
gendre n.m. Mari de la fille, par rapport au père et à la...
Un terme issu du latin
Mais d'autres noms sont restés, à l'instar de bru, introduit par les Goths au IIIe siècle et qui vient du latin brutis signifiant « belle-fille » ; et gendre, du latin gener, « mari de la fille ».
Au masculin [bʀyt], comme le féminin brute, en prononçant le t final. Peser vingt kilos brut. Toujours invariable comme adverbe : ils pèsent vingt kilos brut, ils pèsent brut vingt kilos. L'adjectif s'accorde : des manières brutes des diamants bruts.
Définition de belle-fille nom féminin
➙ bru. Des belles-filles. Fille de l'autre conjoint, pour un conjoint. déf.
Mère du conjoint ou de la conjointe. 2. Conjointe du père ou de la mère, pour les enfants issus d'un autre mariage, d'une autre union de l'un ou de l'autre.
Étymologie de « beau-frère »
Composé de beau et de frère . Beau, frère (voy. BEAU-FILS). L'ancienne langue disait sororge ou serorge, de sororius.
1. Femme d'un empereur : L'impératrice Joséphine. 2. Femme qui gouverne un empire : Victoria, impératrice des Indes.
Les aïeuls = les grands-parents. Les aïeux = les ancêtres (sens plus large).
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Un gendre est donc le mari de son propre enfant et un beau-fils est le fils d'un nouveau conjoint (ou conjointe) issu d'une union précédente.
Frère du conjoint. Mari de la sœur ou du frère.
Ah mon beau fils
Le 'beau' était l'équivalent de 'cher', comme lorsque l'on dit aujourd'hui 'cher monsieur' ou 'cher ami'. Au 13ème siècle déjà, quand Saint-Louis s'adressait à son fils, il disait mon "biau fils". Au 14ème siècle, on emploie facilement le terme de 'bon père' et 'bonne mère' pour désigner ses parents.
Le plus souvent se met en place une habitude. Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter.
Nom commun. Sœur du conjoint. Épouse du frère ou de la sœur. (Par extension) Tout parent féminin en liaison généalogique par une séquence quelconque de liens de fraternité et d'alliance, comme par exemple la conjointe du beau-frère, ou de la belle-sœur, c'est-à-dire l'épouse du frère ou de la sœur du conjoint.
Définition de belle-sœur nom féminin
Femme du frère, de la sœur, du beau-frère ou de la belle-sœur d'une personne. Des belles-sœurs. déf. ex.
NIÈCE, subst. fém. 1. Par rapport à une personne (qui est l'oncle ou la tante), fille du frère ou de la soeur et p.