Le dioxygène, communément nommé oxygène, est une substance constituée de molécules O₂. Gazeux dans les conditions normales de température et de pression, incolore, inodore et insipide, il participe à des réactions d'oxydoréduction, essentiellement la combustion, la corrosion et la respiration.
Le dioxygène est une molécule composée de deux atomes d'oxygène, d'où le préfixe "di-". Sa formule chimique est O2. Exemple : Le dioxygène est un des gaz composant l'atmosphère terrestre.
L'oxygène permet aux cellules du corps de vivre et d'exercer leur activité. Afin de pouvoir transporter cette quantité d'oxygène, un « corps véhicule » s'avère nécessaire : il s'agit de l'hémoglobine. L'hémoglobine contenue dans les globules rouges fixe l'oxygène.
Note : L'oxygène, ou O2, peut se nommer également dioxygène. Par contre, l'appellation dioxygène de carbone constitue une appellation fautive. Il s'agit bien de dioxyde de carbone.
Une forêt ne peut donc produire de l'oxygène que si elle devient de plus en plus étendue. En réalité, les principaux systèmes produisant un surplus d'oxygène sont les forêts en formation, et les algues dans les mers, dans la mesure où leurs « produits » sont conservés.
Dans la nature, il se forme communément à partir de l'eau, durant la photosynthèse, en utilisant l'énergie des rayons solaires. Il est également produit dans la troposphère grâce à la photolyse de l'ozone par des rayons lumineux de courte longueur d'onde et par le système immunitaire comme une source d'oxygène actif.
L'oxygène est l'élément le plus abondant de la croûte terrestre. Il est indispensable à la vie humaine et animale. A l'état naturel, l'oxygène pur est présent à dans l'air, sous forme moléculaire de dioxygène gaz (environ ).
Les sources naturelles incluent la décomposition, le rejet océanique et la respiration. Les sources humaines proviennent d'activités telles que la production de ciment, la déforestation et l'utilisation de combustibles fossiles, comme le charbon, le pétrole et le gaz naturel.
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Les sources des émissions de CO2 d'origine humaine
Près de 25% des émissions de CO2 mondiales sont ainsi liées à la production d'énergie (électricité et chaleur) à laquelle il faut ajouter l'énergie utilisée dans les transports (pétrole et diesel) qui représente environ 14% des émissions de CO2.
On l'évalue à 35-45 ml/kg/min chez l'homme sédentaire, à 30-40 ml/kg/min chez la femme sédentaire ; à 50-60 ml/kg/min chez un jeune homme adulte bien entraîné, à 45-55 ml/kg/min chez une jeune femme bien entraînée. C'est dans les sports d'endurance (ski de fond, cyclisme, etc.) qu'elle se montre le plus élevée.
Cela peut se traduire par des troubles de la mémoire, de l'attention et de la concentration. Cyanose : La cyanose est un signe visible d'un manque d'oxygène. Elle se caractérise par une coloration bleuâtre de la peau, en particulier au niveau des lèvres, des ongles et des extrémités.
Le sang se charge de l'oxygène grâce aux globules rouges et de leur hémoglobine. Cette protéine contient en effet un atome de fer qui, dans les poumons, s'assemble avec l'oxygène ayant traversé les alvéoles pulmonaires.
L'air contient un gaz indispensable à la vie : le dioxygène (O2). Les êtres humains, les animaux et les végétaux l'absorbent et rejettent du dioxyde de carbone. Un humain consomme en moyenne, chaque jour, environ 15 000 l d'air et 1,5 l d'eau.
L'échange gazeux se produit entre les millions d'alvéoles pulmonaires et les capillaires qui les enveloppent. Comme illustré ci-dessous, l'oxygène inhalé passe des alvéoles au sang des capillaires, et le dioxyde de carbone du sang des capillaires à l'air dans les alvéoles.
Dans le langage courant, on parle abusivement d'« oxygène » pour désigner en réalité le dioxygène (gaz diatomique composé de deux atomes d'oxygène). Le terme « oxygène » devrait être réservé à l'élément chimique de symbole O.
Il est effectivement l'un des gaz les plus prépondérants dans l'atmosphère et participe activement à la respiration des êtres vivants et la photosynthèse des plantes. Ainsi, l'être vivant transforme l'oxygène en CO2, tandis que les plantes transforment le CO2 en oxygène.
Le CO2 n'est donc pas dangereux en tant que tel, mais lorsque sa concentration dans l'atmosphère est élevée, il contribue au réchauffement de la planète au même titre que le méthane ou le protoxyde d'azote qui sont, eux aussi, des gaz à effet de serre (GES).
Comment est reparti le CO2 dans l'organisme? L'organisme a besoin de dioxygène O2 pour vivre et alimenter ses cellules en comburant qui permettra la combustion des denrées et la production d'énergie; dans ce processus, du dioxyde de carbone CO2 est produit et doit être évacué des cellules pour éviter une intoxication.
L'hypercapnie désigne une augmentation de la concentration de gaz carbonique (CO2) dans le sang : C'est un signe d'hypoventilation alvélolaire : diminution des entrées et des sorties d'air dans les alvéoles pulmonaires.
Si l'on rapporte ce chiffre aux émissions totales de CO2 (55,3 gigatonnes en 2018 selon le Programme des nations Unies pour l'Environnement), la respiration humaine contribue donc à 4 % des émissions de CO2. Par comparaison, le transport aérien est responsable de 2,8 % des émissions globales de CO2.
Aussi, le fait de brûler des matières organiques (bois, pétrole, charbon) provoque un rejet de gaz carbonique dans l'air. Lors de la combustion, le carbone ("C") réagit avec l'oxygène de l'air ("O2") pour former du CO2.
La molécule d'eau est constituée de deux atomes d'hydrogène (symbole : H) et d'un atome d'oxygène. Il y a donc un atome d'oxygène dans chacune des molécules d'eau.
Elles sont dues à des obstructions répétées complètes ou partielles des conduits respiratoires de l'arrière-gorge survenant au cours du sommeil. Cette réduction ou interruption de la ventilation pendant le sommeil entraîne un manque en oxygène.