Le stoïcisme est une école de philosophie hellénistique fondée par Zénon de Kition à la fin du IVᵉ siècle av. J.-C. à Athènes. Le stoïcisme est une philosophie de l'éthique personnelle influencée par son système logique et ses vues sur le monde naturel.
Se dit d'un comportement qui dénote une fermeté inébranlable, une grande impassibilité devant la douleur, le malheur, etc. : Une acceptation stoïque de la maladie.
Qui se montre impassible. Synonyme : dur, ferme, impassible, indifférent, inébranlable, insensible, patient, philosophe, rigide, spartiate.
Le stoïcisme est une philosophie fondée à la fin du IVème siècle avant J.C par Zénon de Kition, philosophe grec d'origine phénicienne. Elle a pour but ultime la recherche de la sagesse morale et considère que la seule source du bonheur est la vertu, et non le plaisir. Termes antonymes : épicurisme, hédonisme.
Fermeté, impassibilité devant le malheur, la maladie, etc.
Être stoïque ne consiste pas à ne pas parler, mais à bien parler. L'écoute pour la compréhension permet de réfléchir puis d'agir plutôt que réagir. L'action est calme lucide, consciente, sereine. La réaction est émotive, avec en arrière-pensée le désir et la peur.
L'épicurisme est le contraire du stoïcisme.
Le stoïcisme est une construction collective reposant sur l'idée selon laquelle il vaut mieux aborder les sentiments et le monde avec rationalité plutôt que d'être à la merci de son destin et de ses émotions. Etre stoïque signifie se suffire à soi-même.
Se concentrer sur ce que l'on contrôle
Le stoïcisme nous rappelle qu'il y a des choses que l'on contrôle et d'autres que l'on ne contrôle pas. Il est important de savoir faire la différence. Voici ce que Epictète dit à propos de contrôle : Certaines choses sont sous notre contrôle tandis que d'autres ne le sont pas.
L'école stoïcienne fut fondée à Athènes par Zénon de Citium, au début du iii e siècle avant notre ère. Zénon donnait ses cours sous une colonnade de l'Agora que l'on appelait le « Portique peint » (Stoa poikilê, en grec), à cause des peintures qui l'ornaient.
Qui a tendance à mettre en doute les croyances et les vérités couramment admises : C'est un esprit sceptique et destructeur. 3. Qui doute de quelque chose, qui refuse de se prononcer et réserve son jugement sur une question particulière : Être sceptique sur un programme économique.
La morale stoïcienne est une morale de la liberté. Malgré le destin, l'homme demeure libre de ses représentations et opinions. Nous pouvons, malgré la non maîtrise des causes, avoir le contrôle de nos représentations. La liberté désigne la puissance d'agir par soi-même au niveau de la pensée et du jugement.
Pour les stoïciens, c'est le devoir ; pour les épicuriens, le plaisir. C'est la différence fondamentale entre stoïcisme et épicurisme. Plus précisément, un épicurien suit principalement les désirs naturels et nécessaires : au bonheur — la philosophie, l'amitié, la suppression de la douleur…
Les stoïciens pensent donc que l'homme peut goûter le bonheur quelles que soient sa condition et son environnement, par la seule maîtrise de sa volonté. “Le sage peut être heureux même dans le taureau de Phalaris” disaient-ils.
La définition la plus célèbre du but de la vie selon les stoïciens, qui est attribuée soit à Zénon soit à Chrysippe, est simplement “vivre en accord avec la nature” et plusieurs variations peuvent être trouvées dans la littérature stoïcienne.
La logique comme théorie du langage
Dans la théorie stoïcienne du signifiant apparaît une sorte de double articulation : le signifiant peut être conçu comme suite de phonèmes (lexis) où comme suite de mots (logos). La suite de mots est soit grammaticale, soit agrammaticale.
1Le stoïcisme est apparu au III e siècle avant J. -C. avec Zénon de Cittium et Chrysippe, dans un empire grec troublé et ayant soif de repères, afin de faire face à l'adversité [9].
sceptique (adj.) 1. qui fait preuve de scepticisme, qui doute; incrédule.
Ainsi, une personne sceptique désigne une personne qui doute. Ce peut être de quelque chose, d'une idée ou encore d'un individu... Elle peut alors, dans ce contexte, réserver son jugement et refuser d'émettre une opinion.
Qui comporte, révèle de la suspicion, de la méfiance. Synon. méfiant, soupçonneux. Mes démêlés avec la police et l'attitude suspicieuse de mon voisinage m'avaient rendu craintif, avide de sympathies et sociable jusqu'à l'obséquiosité (Aymé, Confort, 1949, p.
Le stoïcien est heureux parce qu'il ne fait qu'un avec l'ordre du cosmos. Le malheur des hommes : ne pas se servir de leur raison, se tromper de bien, poursuivre des chimères en les croyant réelles. Le bonheur du sage : ne vouloir que le bien, comprendre l'ordre du monde et la place de chacun, acquiescer au destin.
Définition "fataliste"
n.m. Personne qui croit que tout est décidé par le destin et qu'il est impossible de s'y opposer. Partisan du déterminisme.
1. Puissance supérieure qui semble régler d'une manière fatale les événements de la vie humaine ; fatalité : C'est le destin qui l'a voulu. 2. Ensemble, suite des événements qui forment la trame de la vie humaine ou des sociétés et semblent commandés par cette puissance supérieure : Avoir un destin tragique.