Description. L'indice IQA (Indice de Qualité de l'Air) est un indice ATMO simplifié, calculé pour les agglomérations de moins de 100 000 habitants. Situé sur une échelle de 1 à 10, il peut être calculé à partir d'un, deux, trois ou quatre sous-indices (SO2, NO2, O3, PM10).
Toutes les heures, un indice de la qualité de l'air est calculé à partir des cinq contaminants suivants : l'ozone, les particules fines, le dioxyde de soufre, le dioxyde d'azote et le monoxyde de carbone. Maximum des concentrations moyennes sur quatre minutes observé au cours d'une heure donnée.
L'indice de qualité de l'air s'exprime sous forme d'une échelle à 10 paliers, chacun associé à un qualificatif. Nous allons ainsi d'un indice de 1 (« très bonne » qualité de l'air) à 10 (« très mauvaise » qualité de l'air). Plus l'indice est élevé, plus la qualité de l'air est dégradée.
La qualité de l'air, on pourrait dire que c'est son niveau de propreté. Pour le connaître, il faut savoir ce qui s'y passe. Pour savoir ce qui s'y passe, ils y a des gens qui observent, mesurent, modélisent, informent et prennent des décisions en fonction de tout ça et des normes qui ont été décidées.
Selon cette étude, la Turquie est le pays le plus pollué d'Europe, avec une note de 6,1/10. Sa concentration de particules PM 2.5 est de 41 µg/m3 et les émissions de CO2 sont inquiétantes à 4,33 tonnes par habitant.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Un système de qualificatifs et de codes couleur est associé à chacun des sous-indices : bon : bleu ; moyen : vert ; dégradé : jaune ; mauvais : rouge ; très mauvais : pourpre ; extrêmement mauvais : magenta.
Les polluants atmosphériques dégradent la qualité de l'air ambiant. La trop grande concentration de particules fines, d'origine humaine ou naturelle, est un enjeu de santé majeur et l'une des premières menaces subies par l'environnement, notamment à cause des émissions de particules carbonées.
La méthode d'analyse varie beaucoup selon le polluant : la radiométrie par microbalance est utilisée pour les particules fines PM10, la chimiluminescence pour les oxydes d'azote, la spectroscopie infrarouge pour le monoxyde de carbone, la fluorescence ultraviolette pour le dioxyde de soufre, et enfin la photométrie ou ...
Paris, ville lumière ? Ce n'est pas si sûr. En tête du classement des villes les plus polluées de France, la ville de Paris s'impose plutôt comme la capitale du smog (vous savez, cette espèce de brouillard grisâtre qui, en général, ne présage rien de bon).
AIR PUR - En 2016, l'OMS a décrété que le village de Rosey dans le département de la Loire était le moins pollué de France. Les habitants en sont fiers et ce titre inespéré attire même des touristes dans la petite commune.
Marseille est la ville la plus polluée de France
C'est en fait Marseille qui prend la tête de ce triste classement, devant Montpellier, Nice et Toulon. A l'inverse, Reims, Annecy et Strasbourg arrivent dernières, faisant de la ville du Grand Est la moins polluée de France !
Les combustibles fossiles comme le pétrole, le gaz naturel, ou le charbon, constituent la principale source de polluants atmosphériques.
Pour savoir si l'air est un peu, beaucoup ou trop pollué, on utilise un « indice de la qualité de l'air ». L'indice ATMO calcule et note chaque jour dans plus de 80 agglomérations la qualité de l'air. Pour vérifier, polluant par polluant, les prévisions de pollution sont consultables sur le site Prev'Air.
Avec un taux de particules fines (PM2,5) de seulement 5,6 microgrammes par mètre cube, Pau est la première ville française du classement établi par l'Agence européenne pour l'environnement.
C'est dans la basse atmosphère, celle que nous respirons tous les jours, que se trouve le mauvais ozone.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Après elle, les viandes les plus « polluantes » sont l'agneau de lait (côté gaz à effet de serre, la production d'1 kg de viande équivaut à un trajet de 180 km), le bœuf (70 km), le porc (30 km)...
A la tête du classement, le Danemark est suivi du Luxembourg, de la Suisse, du Royaume-Uni (81,3) puis de la France avec un score total de 80/100. L'hexagone arrive en 5e position et perd trois places par rapport au classement de 2018.
Les villes d'Europe où la pollution sonore est la plus importante. C'est Paris qui arrive en première position du classement.