La conscience morale représente la capacité d'une personne à prendre en considération le point de vue des autres avant d'agir. Grâce à la conscience morale, une personne est capable d'évaluer les conséquences de ses gestes sur les autres et de comprendre si ce qu'elle fait est bien ou mal.
La conscience morale est forgée par la société mais elle implique une responsabilité individuelle. La conscience morale est rationnelle et se réalise dans l'action.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
La conscience est « cette capacité de nous rapporter subjectivement nos propres états mentaux » ; Au sens moral, elle désigne la « capacité mentale à porter des jugements de valeur moraux […] sur des actes accomplis par soi ou par autrui ».
La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective.
Selon la première, la morale serait une extension de l'instinct de parenté (notre tendance à nous préoccuper du bien-être de nos proches). La morale serait alors spécifique de l'homme, car elle nécessite réflexion ou normes explicites pour se développer à partir de l'instinct de parenté.
1. Connaissance, intuitive ou réflexive immédiate, que chacun a de son existence et de celle du monde extérieur. 2. Représentation mentale claire de l'existence, de la réalité de telle ou telle chose : L'expérience lui a donné une conscience aiguë du danger.
La conscience repose sur le tronc cérébral et deux régions corticales. Les chercheurs ont trouvé qu'une petite région du tronc cérébral appelée tegmentum pontique était associée avec le coma : 10 des 12 patients inconscients avaient des lésions dans cette zone et seulement un chez les patients conscients.
Vivre sans souci de la morale ou de manière immorale est cependant possible, mais ne permet pas de conclure à l'absence de conscience morale ni d'instinct moral.
CONSCIENCE MORALE: Jugement pratique par lequel le sujet distingue le bien et le mal et apprécie moralement ses actes et ceux d'autrui. CONSCIENCE PSYCHOLOGIQUE : Aperception immédiate par le sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors….
La conscience est la présence constante et immédiate de soi à soi. C'est la faculté réflexive de l'esprit humain, c'est-à-dire sa capacité à faire retour sur soi-même. C'est la conscience qui permet à l'homme de se prendre lui-même comme objet de pensée, au même titre que les objets extérieurs.
1. Faculté de juger de ses propres actes. Synonyme : honnêteté, lucidité, moralité, probité, sens moral.
On admet généralement que la conscience est le propre de l'être humain au même titre que la raison. Pourtant, la conscience est une forme de présence au monde qui semble commune à certains animaux et aux êtres humains.
La conscience serait limitée au seul sous-ensemble des informations qui auraient été attendues, observées. Au mieux, les informations non attendues seraient des représentations fragmentaires des informations originales.
À cette catégorie de phénomènes appartiennent les actes manqués (oublis, lapsus, maladresses, méprises, et généralement toutes les conduites échouant de façon incompréhensible), les rêves et les symptômes névrotiques.
Le cerveau étant considéré comme un simple système de traitement de l'information, la conscience serait alors ce qui pilote son fonctionnement. Il existe des propriétés de la matière que les scientifiques n'ont pas encore découvertes et qui peuvent expliquer le phénomène de la conscience.
Des expériences récentes ont ainsi montré que la pensée pouvait exercer une action causale sur le cerveau. Ainsi en va-t-il du sujet qui, plongé dans le noir et protégé de toute sensation, doit détecter un attouchement à peine perceptible sur l'un de ses doigts.
Définitions : inconscient - Dictionnaire de français Larousse.
La conscience doit donc avoir émergé avec la complexification des systèmes nerveux au cours de l'évolution des espèces. Pour plusieurs, cela implique que la conscience a dû apporter quelque chose de plus aux espèces qui en ont développé une forme particulière.
La conscience est un état de l'individu qui sait qui il est, où il est, ce qu'il peut ou ne peut pas faire dans le contexte où il se trouve. Plus généralement, c'est la faculté à « se voir » soi-même et à se reconnaître dans ses pensées et ses actions. L'inconscient est ce qui échappe à la conscience.
Morale de la fable Le Loup et l'Agneau : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » La morale se situe au début de la fable. Jean de La Fontaine dresse ici une critique cinglante de sa société. Il critique la justice comme symbole de la violence et de la force.
1. Qui concerne les règles de conduite pratiquées dans une société, en particulier par rapport aux concepts de bien et de mal : Réflexions morales. 2. Qui relève de la conscience que l'on a de ce qui est bien : Avoir l'obligation morale de faire quelque chose.
Il y a une deuxième condition pour agir moralement (Kant), il faut traiter soi-même et les autres comme des fins et pas seulement comme des moyens → un être humain ne peut pas être utiliser comme pas être morale. L'action morale doit reconnaître la dignité de l'autre.