La dépression réactionnelle est un type de dépression qui se déclare à la suite d'un événement stressant. Cette maladie peut être causée par un événement marquant tel qu'un deuil, la perte d'un proche, un accident, une agression, une séparation ou encore la perte de son travail.
En conséquence, si vous avez vécu un choc traumatique et que vous faites une dépression, sachez que cet état ne perdura pas, car la dépression réactionnelle se soigne. En revanche, il est important de venir consulter rapidement un professionnel de la santé quand vous sentez apparaître les premiers signes.
Les traitements qui existent
Comme la plupart des dépressions, la dépression réactionnelle se soigne, elle aussi, avec un traitement antidépresseur. Ces médicaments doivent être prescrit par un médecin habilité, à l'issue d'une évaluation approfondie de l'état du patient.
Définition du terme Anxiété réactionnelle : Anxiété : état émotionnel désagréable, d'intensité variable, survenant en réponse à une impression de danger imminent et indéterminé.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
Au cœur de la dépression, c'est la régulation émotionnelle qui est atteinte, mais toutes les autres fonctions révèlent également des difficultés à travers les symptômes. Les émotions, changements d'humeur, pensées, perceptions et comportements sont tous liés à l'activité des cellules nerveuse de notre cerveau.
La dépression résulte d'une interaction complexe de facteurs sociaux, psychologiques et biologiques. Les personnes qui ont vécu des événements difficiles dans leur vie (chômage, deuil, traumatismes) sont davantage susceptibles de développer une dépression.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
En un mot, l'anxiété se résume donc à la peur ou à l'angoisse, tandis que la dépression, elle, est plutôt associée au sentiment de déprime ou de tristesse.
Des maladies de l'immunité telles que les maladies de système (lupus érythémateux disséminé, polyarthrite rhumatoïde …) sont souvent compliquées par une dépression. Il en est de même des maladies virales (HIV, hépatites virales …). Les maladies chroniques, en particulier la douleur chronique, sont dépressogènes.
Il se caractérise par une profonde tristesse, un désespoir, un manque de désir de vivre, un repli sur soi, une perte d'intérêts et de motivation pour les activités de tous les jours, un changement de comportement et un ralentissement psychique et moteur qui peuvent conduire dans les cas les plus extrêmes au suicide.
Définition du choc psychologique
Le choc psychologique, également appelé choc émotionnel, résulte d'un évènement traumatisant qui submerge la faculté que possède un individu à faire face aux émotions qu'il ressent lorsque celui-ci survient. Non pris en charge, il peut entrainer un traumatisme psychique.
Somatiser désigne un phénomène inconscient par lequel une personne exprime son angoisse dans et par son corps. Sa souffrance psychologique « déménage » dans son corps qui devient alors source de douleur.
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
En analysant et comparant ces données cérébrales, ils se sont rendu compte que les régions cérébrales associées à la mémoire à court terme (mémoire de travail), à l'estime de soi et aux émotions négatives sont fortement interconnectées chez les personnes dépressives et présentant des troubles du sommeil.
Dans certaines études scientifiques, le tremblement essentiel est associé à des symptômes non moteurs comme l'anxiété, la phobie sociale et la dépression.
Anxiolytique léger : exemples, quelles indications ? Il n'y a pas d'anxiolytique anodin. "Toutefois l'oxazepam (Seresta®) a une durée d'action plus courte et est souvent prescrit chez la personne âgée.
Le syndrome anxio-dépressif peut se déclencher à la suite d'un événement de vie : un deuil, une séparation, une agression, la perte de son travail, etc. En outre, un événement positif comme une naissance, un mariage ou un déménagement peut déclencher un trouble anxieux.
Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la norépinéphrine ou noradrénaline (IRSN) Telle que la venlafaxine (Effexor®), Duloxétine (Cymbalta®), Milnacipran chlorhydrate (Ixel®). Ils sont parmi les plus efficaces des antidépresseurs, car ils agissent sur deux types de neurotransmetteurs à la fois.
Forme particulière de dépression, la dépression résistante se caractérise par la persistance de l'épisode dépressif malgré au moins deux traitements antidépresseurs successifs bien conduits ou qui n'évolue pas suffisamment favorablement sous l'influence de ces traitements.
La dépression est l'une des maladies mentales les plus répandues - et parmi celles qui se traitent le mieux. Au Canada, à un moment ou l'autre de sa vie, une personne sur quatre souffrira d'une dépression assez grave pour devoir se faire soigner.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
Le surmenage, la solitude, des événements difficiles ou traumatisants (problèmes financiers ou professionnels) peuvent favoriser une dépression. Souvent, son apparition suit la perte d'une personne, lors d'un deuil, d'une séparation, du départ d'un enfant du domicile des parents, par exemple.