La dot constitue un ensemble des biens et/ou d'argent que le futur époux et sa famille remettent aux parents de sa fiancée pour qu'ils consentent au mariage. La dot doit être conforme à la coutume de la famille de la future épouse.
La dot selon la loi congolaise
Au regard du code de la famille, le versement de la dot est la condition sine qua pour conclure le mariage. Selon l'article 361 de ce dit code, il n'y a pas formation du mariage sans remise de dot auprès de la famille de la future mariée.
La dot servait surtout pour payer les loyers, acheter de la nourriture et d'autres biens, mais aussi, dans le cas des artisans et des petits marchands, pour approvisionner l'atelier ou le commerce ou accroître son activité.
la dot de mariage, apportée par la famille de l'épouse à celle-ci ou au ménage (pratique qui avait cours dans la bourgeoisie) ; le prix de la fiancée apporté par le mari ou sa famille à la famille de son épouse ; le douaire apporté par le mari à son épouse.
La dot est un symbole fort du mariage coutumier. Elle est une grande marque de considération pour l'homme et la femme. Il paraît ainsi très important pour le jeune, appelé à découvrir sa vocation, de disposer de toute la connaissance relative cette dernière.
Selon lui, le prix exorbitant de la dot est justifié du fait que cet argent est consommé par la famille de l'homme, lors de la fête qui, dans certaines coutumes, peut réunir jusqu'à plus de 150 personnes. La moyenne dans une réception ordinaire étant au maximum de 15 à 20 dollars par personne.
Ces paiements peuvent être classés en deux catégories : la dot dans les pays asiatiques implique des paiements effectués par la mariée au marié et à sa famille ; et la dot en Afrique (« prix de la mariée »), où c'est le futur époux et sa famille qui la paient à une future épouse et à sa famille.
Elle est indisocciable du mariage coutumier ou traditionnel. La dot consiste pour la famille du fiancé à offrir à la famille de la fiancée, lors d'une cérémonie solennelle, un ensemble d'objets et de cadeaux, en espèces ou en nature, et d'accomplir certains rituels afin d'unir les futurs époux.
C'est à partir du XIIe siècle que s'est généralisée en Occident la pratique de la dot, cadeau apporté au marié par la famille de sa future épouse. Une révolution venue du droit romain qui allait s'accompagner, pour longtemps, d'une dégradation de la condition féminine.
La lettre de dot
Il n'existe pas de modèle, tout dépend de la sensibilité et de l'inspiration du futur fiancé. La lettre doit être adressée au père de la future épouse pour lui demander ses exigences en matière de dot. Elle doit simplement mentionner le désir du futur fiancé de demander la main de la future épouse.
Lorsqu'une femme accepte une demande en mariage, elle invite l'homme à aller voir ses parents pour le versement de la dot. Les parents de la femme invitent tous les membres de la famille proche et élargie des deux familles à se réunir à une certaine date.
Pourvoir quelqu'un, un groupe, en moyens, en biens ; équiper : Doter le pays d'une industrie puissante. 3. Pourvoir quelqu'un d'une qualité, d'un avantage, gratifier : La nature l'a dotée d'une beauté parfaite.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Les dots discriminent les personnes handicapées
Le système de dot désavantage les femmes qui sont handicapées ou qui ont des problèmes de santé, puisque que la famille d'un futur mari exigera souvent des paiements plus élevés pour le mariage.
Payée par le fiancé, elle permet de sceller l'union entre deux familles et peut être constitué d'argent, de cadeaux ou d'un mélange des deux.
Selon l'Islam, comment la dot devrait se faire ? La dot peut être une somme d'argent, des bœufs, ou n'importe quels objets (qui a une valeur). si le montant de la dot est fixé, Il ne faut pas que la valeur de ces objets ou de ces bœufs soit être inférieur au montant fixé.
Celui-ci peut se manifester de diverses manières notamment par la réappropriation des mœurs, rites et symboles culturels de notre passé. Cependant il nous semble que cette réappropriation est en fait la plupart du temps une simple réaffirmation de la pensée dominante sur les mœurs, les rites ou les symboles concernés.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
Le mot s'écrit "une dot". Il vient d'un terme latin « dos, dotis » qui signifie « don », du verbe latin « do, dos, dare » = donner. La dot est un don, un cadeau. Une dot correspond à l'ensemble des biens de valeur qu'une femme (ou plus rarement un homme) apporte en se mariant.
Alors que cette cérémonie n'est même pas un mariage en soi, mais plutôt le début du processus. Lors de la cérémonie de la PRE - DOT, le fiancé remettrait un symbole en espèce et en nature. L'enveloppe en espèce varie généralement entre 50 $ et 300$. Et le symbole en nature est constituée de quelques casiers de bière.
Avoir quelque chose, quelqu'un, le posséder, en être doté : Être pourvue d'un imbécile comme mari. 2. Avoir suffisamment de biens, de richesses : Il fait partie de ces gens (bien) pourvus qui ignorent la faim. 3.
Pourvoir, fournir. Gratifier. Exemple : Etre doté de talents.
Qui est doté de. Synonyme : armé, doté, doué, équipé, muni, nanti, paré, riche.
Le mariage coutumier est donc l'union d'un homme et d'une femme célébrée par une autorité coutumière et selon les rites coutumiers. Contrairement au mariage civil, le couple se croit marié a tort parce que l'autorité par laquelle le mariage a été célébré n'est pas une autorité légale.