Nom commun. (Histoire) Métier du pirate des mers, activités relatives à la piraterie. (Histoire) (Par métonymie) Association de pirates des mers, ensemble des pirates. La Flibuste = association des pirates des Caraïbes au début du XVIII e siècle.
Les corsaires ont un port d'attache en Europe où ils rapportent leurs prises qu'ils sont censés partager avec leur armateur et actionnaires et avec le Trésor Public; les flibustiers eux ne quittent pas les Caraïbes et n'ont que des escales, des bases.
Origines. Les flibustiers se composent d'aventuriers français, néerlandais, belges et anglais exilés aux Antilles à partir du début du XVII e siècle pour fuir les guerres civiles ou la persécution religieuse en Europe et la pression économique des autorités royales.
Les flibustiers
Ces aventuriers vivent en communauté en marge de la société sur certaines îles des Caraïbes (la Jamaïque, la Tortue) et attaquent les galions espagnols. Ils se regroupent notamment vers 1630 sur l 'île de la Tortue, située au Nord d'Haïti, qui restera l'un des bastions de la flibuste pendant un siècle.
Les flibustiers ou boucaniers sont des aventuriers européens établis aux Antilles durant le XVIIe siècle. Leurs exploits dans leur lutte contre les Espagnols sont restés légendaires. L'origine de leurs établissements remonte aux premières années du XVIIe siècle.
Corsaires ou pirates, elles ont écumé les mers du globe et alimenté bien des légendes, ces femmes dont l'existence nous est révélée par l'écrivain archéologue, Marie-Ève Sténuit.
Originaire de Saint-Malo en Bretagne, Robert Surcouf devint le plus notoire des corsaires français qui traquaient les navires marchands dans l'océan Indien pendant les guerres de la Révolution française (1792-1802).
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Être très étonné ; être sidéré, stupéfait.
DÉBONNAIRE, adj. A. − [En parlant d'une pers.] Qui se caractérise par une grande bonté, une tendance à se montrer favorable et secourable à autrui.
Les pirates dorment en général sur le pont, chacun dans un coin. Les conditions sont sommaires, pour ne pas dire misérables. L'espace sur le bateau est confiné, sale, souvent envahi par les rats. Certains marins, mieux lotis que d'autres, possèdent le fameux hamac.
Le 7 septembre 1695, le pirate anglais Henry Every – appelé « Long Ben », le « Roi des pirates » ou le « plus grand des pirates » – et son équipage à bord de Fancy attaquent et s'emparent du Ganj-i-Sawai. Le navire revenait du pèlerinage à La Mecque et faisait route entre Mocha, au Yémen, et Surat, en Inde.
Le corsaire musulman du XVIè siècle, en mer Méditerranée suivait la mode d'Afrique du Nord, un turban, un sarouel (pantalon comme Aladin), une veste et chemise à col rond richement brodée, une ceinture de couleur vive.
Il s'agirait de Saint Colomban d'Iona, un moine copiste irlandais qui a contribué à réintroduire le christianisme en Ecosse et dans le nord de l'Angleterre au 6ème siècle.
Bartholomew Roberts
Il fut le dernier grand pirate de l'âge d'or, pillant plus de 400 navires.
Les pirates d'aujourd'hui sévissent essentiellement dans les régions d'Asie du Sud et Asie du Sud-Est (en particulier dans la mer de Chine méridionale), le long des côtes de l'Amérique du Sud, du golfe d'Aden, de la mer Rouge, mais aussi celles de la Somalie, dans le golfe de Guinée et dans la mer des Caraïbes.
Un pirate s'habille avec une large chemise blanche cachée sous une longue veste sombre. Pour le bas, le corsaire porte un pantalon en soie accompagné de bottes. Enfin, il porte un chapeau sur la tête, souvent un tricorne.
R: Le cache-oeil n'avait pas d'autre nom mis à part bandeau. Sans doute qu'à l'époque, le cache-oeil devait avoir un synonyme argot donné par les pirates entre eux...
Pirate n.m. = bandit qui parcourt les mers pour se livrer au pillage. Un corsaire agissait en vertu de lettres de course délivrées par son gouvernement.
Histoire. Par extension, le terme de boucanier a désigné un écumeur de mer, un pirate, après que les boucaniers se sont associés aux flibustiers sous le vocable de « Frères de la côte ». Il s'agit alors d'aventuriers, corsaires ou pirates, qui vivaient essentiellement du produit de leur chasse et de contrebande.
BOUCANIER : Aventurier qui chassait le bœuf sauvage dans les Caraïbes, écumeur des mers et pirate.
Il est fabriqué aux Antilles, plutôt dans les zones anglophones. Le mot créole « tafia » est tombé en désuétude, tout comme ses synonymes « tue-diable » et « rumbullion ». On l'appelle plus facilement ratafia. Les pirates buvaient volontiers cet alcool non raffiné.