La maladie à corps de Lewy est une forme de trouble neurocognitif caractérisée par des dépôts anormaux d'une protéine, l'alpha-synucléine. Ces dépôts se forment à l'intérieur des cellules nerveuses du cerveau.
Les troubles du comportement et de l'humeur
Des changements du comportement et de l'humeur peuvent se produire. Ils se manifestent en général par des symptômes de dépression, une apathie, une agitation, une anxiété, un état de paranoïa ou parfois même un délire. Le délire est une fausse perception de la réalité.
La maladie à corps de Lewy, aussi appelée démence à corps de Lewy (DCL), est une forme de trouble cognitif caractérisée par des dépôts anormaux d'une protéine appelée alpha-synucléine qui se forment à l'intérieur des cellules cérébrales.
Est-ce une maladie héréditaire ? Les raisons de l'apparition de cette maladie ne sont pas encore bien connues. Mais il ne s'agit pas d'une maladie héréditaire. "Toutefois, dans une même famille, des personnes peuvent être atteintes de la maladie de Parkinson et d'autres de la maladie à corps de Lewy.
Traitements non-médicamenteux de la maladie à corps de Lewy
Orthophoniste, kinésithérapeute et psychologue apportent un soutien très efficace. Il faut les solliciter dès l'annonce du diagnostic. Par ailleurs, les malades sont très sensibles à l'environnement. Toute source de stress ou d'anxiété les perturbe beaucoup.
L'ensemble de ces atteintes aura des effets délétères sur le cerveau à plus ou moins long terme. Plus la maladie évolue, plus les anomalies se multiplient, plus les pertes neuronales sont importantes, et plus le cerveau s'atrophie (perd de son volume). Ce sont les changements cérébraux structuraux de la DCL.
Le diagnostic de la maladie à corps de Lewy est avant tout clinique, reposant notamment sur l'association des symptômes sus-cités : troubles cognitifs, fluctuations de l'état cognitif, hallucinations, syndrome parkinsonien, troubles du sommeil paradoxal, dysautonomie, sensibilité sévère aux neuroleptiques, idées ...
La démence se développe en général chez des personnes de moins de 65 ans. Les hommes et les femmes sont touchés de la même façon. La démence fronto-temporale a tendance à être héréditaire. Environ la moitié des cas de démence fronto-temporale sont héréditaires.
L'attitude de l'entourage est importante ; l'aidé est une personne capable de faire des choix ; Elle a besoin d'une stabilité de son environnement familier. L'environnement familier de la personne malade (lieu de vie, rythme, habitudes, activités) doit être respecté.
Ne faites pas pour autant semblant de le croire, ce qui attiserait son délire. Contentez-vous de lui dire que vous, vous ne voyez/vous n'entendez rien et ne vous attardez pas sur l'hallucination en elle-même. Concentrez-vous plutôt sur la réaction de votre proche à cette hallucination.
Vous irez parfois plus vite en faisant des pauses entre chaque début de crise qu'en voulant forcer les choses. Si possible, éloignez-vous ou éloignez la personne quand elle commence à s'agiter. En changeant de contexte et d'environnement, la personne pourrait oublier ce qui l'a stressée et elle pourrait se calmer.
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
Ces parkinsoniens ont une espérance de vie d'un peu plus d'une dizaine d'années (13 à 14 ans). Le traitement à la dopamine permet d'obtenir un résultat plus que satisfaisant dans le prolongement de l'espérance de vie des patients. Certains ont atteint une durée de vie supérieure à la moyenne globale.
Le stade final de la maladie de Parkinson se caractérise par une incapacité à se déplacer sans aide. La personne est alitée ou ne peut se déplacer qu'en fauteuil roulant. Le patient ne peut pas se lever d'une chaise ou sortir du lit sans aide.
L'espérance de vie d'une personne malade d'Alzheimer varie de huit à douze ans à partir du moment où le diagnostic est établi.
Le test de l'horloge est utilisé pour la détection précoce et le suivi d'une démence. Sa publication originale par Shulman et al. date de 1993. [1] Il teste la visuoconstruction, la mémoire, la perception spatiale, les fonctions exécutives et la résolution de problèmes.
En effet, « contrairement à la maladie d'Alzheimer, les troubles cognitifs s'accompagnent ici de problèmes moteurs. » Plus légers que dans la maladie de Parkinson, ils se manifestent souvent par une certaine raideur, un ralentissement moteur ou des chutes. Autres symptôme spécifique : des modifications cardiaques.
Les premiers signes de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) varient d'une personne à l'autre et sont peu spectaculaires. Il peut s'agir : De contractions musculaires involontaires (bras, jambe, épaule, langue) De crampes musculaires, de raideurs musculaires, d'une difficulté à articuler, mâcher ou avaler.
Certaines maladies chroniques (épilepsie, démence) infectieuses (encéphalite), ou métabolique, l'abus d'alcool et de drogues, les troubles du sommeil font également partie des maladies à risque d' hallucinations. Un terrain génétique familial peut par ailleurs être envisagé.
Les troubles cognitifs
Troubles de l'attention, perte progressive de la perception visuelle et spatiale, difficultés de raisonnement sont des symptômes présents dans la maladie à corps de Lewy.
On distingue souvent trois stades de démence : déclin cognitif léger, déclin modéré, déclin sévère.
L'agressivité est un comportement courant chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'entourage en est souvent ébranlé.
La meilleure façon de se calmer est parfois d'aller faire un tour. Si quelqu'un vous agace en particulier et que vous êtes sur le point de vous effondrer, écartez-vous, allez faire un tour, prenez une pause ou bien allez aux toilettes.