La mémoire iconique est son sous-système, utilisée pour l'encodage, la première étape du processus de mémorisation. Elle permet notamment d'intégrer et de retenir des informations visuelles, telles que les couleurs, les images, les visages mais aussi les symboles et l'environnement de manière générale.
Mémoire sensorielle visuelle. Entrée et stockage visuels d'éléments d'information dans la mémoire. Sa découverte est généralement attribuée à George Sterling.
Elle identifie des perceptions et fonctionne sans que l'individu en ait conscience. Cette mémoire permet, par exemple, de retenir des sons, des images (visages, lieux...), des odeurs, sans s'en rendre compte. Ainsi, la mémoire sensorielle permet à quelqu'un de rentrer chez lui par habitude grâce à des repères visuels.
Pratiquer des exercices de mémorisation régulièrement est un bon moyen de renforcer sa mémoire visuelle. Quelques minutes par jour suffisent. Observer des gens, des animaux, des lieux ou des objets est un bon exercice pour développer sa mémoire visuelle.
Courez, nagez, pédalez… Faire du sport aide à oxygéner le cerveau et améliore ainsi ses fonctions cognitives. Par ailleurs, le fait de faire des pauses dans ses révisions est capital, car cela donne la possibilité à la mémoire de classer les informations et de bien les enregistrer.
Lorsqu'une personne a une mémoire kinesthésique, les gestes doivent primer dans son apprentissage pour stimuler sa concentration. Son corps retient les informations, car en quelque sorte, un kinesthésique se souvient de ce qu'il fait. Pour travailler sa mémoire, le kinesthésique doit effectuer des mouvements.
Mémoire sémantique, mémoire procédurale et mémoire perceptive.
Mémoire procédurale (ou motrice)
Très résistante dans le temps, la mémoire procédurale (une mémoire implicite) est la seconde partie de la mémoire à long terme. Elle correspond à la mémoire des automatismes, des habiletés et des savoir-faire.
La mémoire émotionnelle est à la base de l'encodage de la mémoire associée aux sens. L'émotion donnera une profondeur volontaire ou involontaire à la trace mnésique. Cette profondeur aura des relais avec les autres mémoires.
L'hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L'hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d'un moment spécifique de son enfance.
Les malades d'Alzheimer conservent la mémoire implicite, mais leur mémoire explicite est touchée. La mémoire explicite est directement impliquée dans la mise en place d'associations et de souvenirs lointains (c'est celle qui nous permet de conserver nos souvenirs).
Un hypermnésique complet est une personne dont toutes les informations perçues par ses différents sens sont « enregistrées » tandis qu'un hypermnésique du premier degré ne garde qu'un seul de ses sens en mémoire.
Synthèse si tu as une MÉMOIRE VISUELLE ?
Attiré(e) par les images, tu associes les informations à des représentations visuelles que tu peux convoquer. Tu préfères les explications schématisées, brèves et bien structurées et tu es plutôt organisé(e) : tu as une mémoire visuelle !
Chacun a un type de mémoire qui tend à être plus : visuelle : retenir ce qu'on voit. auditive : retenir ce qu'on entend. kinesthésique : retenir ce qu'on ressent.
Le secret : faire un pont entre les images et les mots en ajoutant des détails visuels. La mémoire est en effet un réseau d'associations et de connexions entre différents éléments. Grâce à ces différentes étapes, vous constaterez que votre mémorisation sera davantage efficace et durable.
Les lieux de la mémoire
Mémoire sensorielle ou perceptive : elle implique différentes régions à proximité des aires sensorielles et le cortex préfrontal. Mémoire sémantique : elle fait intervenir des régions étendues comme les lobes pariétaux et temporaux mais aussi le néocortex, l'hippocampe et l'amygdale.
La mémoire à court terme (MCT), ou mémoire de travail sert à stocker des informations pendant une brève durée, d'à peine une seconde à quelques minutes après leur entrée dans le cerveau.
La mémorisation est le résultat d'un processus biochimique dans lequel les neurones jouent un rôle essentiel. Lorsqu'une information arrive à un neurone, des protéines sont produites et permettent de créer un réseau spécifique de neurones associé au souvenir.
La lecture et la relecture sont les principaux exercices de mémorisation. Cela permettra au cerveau de bien s'imprégner des connaissances. La pratique des jeux de société comme les mots croisés, les échecs ou encore les jeux de cartes est vivement recommandée.
La mémoire tactile, également appelée mémoire “kinesthésique” résulte de l'assimilation des souvenirs liés à la texture des matières perçues par contact cutané. Par exemple, la rugosité du bois. Les récepteurs du toucher sont de minuscules organes sensoriels situés sous la peau.
La mémoire photographique, encore appelée mémoire eidétique – du grec eidos signifiant « image », « forme » d'une chose ou « apparence » d'une personne –, est la capacité de se souvenir de façon durable d'une grande quantité d'informations visuelles après ne les avoir aperçues que peu de temps.
Une personne ayant une mémoire kinesthésique associera ses souvenirs à des sensations plutôt qu'à des images ou des sons. Elle aura donc tendance à mémoriser de manière plus efficace lorsqu'elle se trouve dans l'action.
Les vitamines du groupe B et plus particulièrement les vitamines B1, B5, B6, B9 et B12 jouent un rôle primordial dans le maintien de fonctions cognitives et psychologiques normales (telles que la mémoire). Les omégas 3 sont également fondamentaux dans les différents processus cérébraux.