Les métrorragies correspondent à des saignements survenant entre les règles. Il faut distinguer les métrorragies qui surviennent à la puberté, de celles qui se produisent en période d'activité génitale (notamment sous pilule) ou après la ménopause, car les causes sont souvent très différentes.
Les causes bénignes les plus fréquentes sont les fibromes utérins (surtout entre 35 et 50 ans), les polypes endométriaux, la péri-ménopause, les dispositifs intra-utérins au cuivre (surtout en cas de malposition) et les infections génitales (endométrite par chlamydiae ou gonocoque).
Vous souffrez de métrorragies lorsque vous perdez du sang en dehors de vos règles. Ces hémorragies peuvent être noires ou rouges, être plus ou moins importantes et avoir un retentissement sur l'état général (elles peuvent entraîner une anémie).
Le traitement des ménométrorragies en période d'activité génitale dépend évidemment de leurs causes mais lorsqu'elles sont fonctionnelles, on pourra opter pour une contraception en évitant les microprogestatifs et les stérilets en cuivre. Le stérilet au lévonorgestrel semble avoir de bons résultats.
Chez certaines femmes, les règles durent plus de sept jours ou sont très abondantes, on parle alors de ménorragies. Chez d'autres, des hémorragies se produisent au cours du cycle, en dehors des règles (métrorragies), mais parfois les deux troubles sont associés (ménométrorragies).
Le traitement naturel des règles hémorragiques
Si vous souffrez de ménorragies, il est conseillé de se reposer, de manger sainement et surtout de faire de l'exercice régulièrement pour réduire les douleurs. Votre médecin ou sage-femme peut vous prescrire des suppléments en fer en cas de carences ou d'anémie.
Les métrorragies correspondent à la survenue de saignements en dehors de la période des règles. Parfois, elles sont associées à des menstruations anormalement abondantes : on parle alors de ménométrorragies. Si vos saignements sont peu abondants, il s'agit de spottings.
Une trop grande dose de stress, d'angoisse ou d'émotions peut engendrer un dérèglement hormonal et provoquer du spotting en dehors des menstrues. Une fois cette période de stress terminée, les saignements s'arrêtent.
Ces pertes de sang inhabituelles s'écoulant par le vagin peuvent apparaître en cas de pathologie, de lésion du col de l'utérus, de déséquilibre hormonal… Vous pouvez même observer ce type de saignements alors que vos premières règles ne sont pas encore arrivées ou que vous êtes en ménopause.
Les traitements utérotoniques disponibles comprennent l'oxytocine, la carbétocine, l'ergométrine, le misoprostol, les prostaglandines injectables et des combinaisons de ces médicaments, qui diffèrent en termes d'efficacité et d'effets secondaires.
La plupart du temps, ces pertes sont normales et ne doivent pas vous alarmer. Elles correspondent le plus souvent à de petites pertes sanguines mélangées aux sécrétions vaginales, et peuvent être la conséquence d'une irritation des parois du vagin, ou encore un des effets de l'ovulation.
Les ménorragies correspondent à des règles d'une durée supérieure à 7 jours et lorsque le flux sanguin dépasse les 80 ml par cycle. Elles se manifeste par une perte de sang plus rouge, souvent accompagnée de caillots.
Chez la femme en âge de procréer, la cause la plus courante des saignements vaginaux anormaux est la grossesse. Chez les femmes qui ne sont pas enceintes, la cause la plus fréquente est un déséquilibre hormonal (dysfonctionnement ovulatoire), qui peut provoquer un saignement utérin anormal.
Signes et symptômes du stress
Les symptômes physiques liés au stress sont tels que des maux de tête, des douleurs musculaires, des vertiges, des nausées, des troubles du sommeil, une fatigue intense ou encore des troubles de l'alimentation.
Le terme de spotting provient de l'anglais et signifie “tache”. On parle généralement de spotting pour désigner de petites pertes de sang qui apparaissent en dehors de vos règles. Ces saignements légers sont courants et généralement bénins.
En cas de saignements douloureux, inconfortables, abondants ou persistants, une consultation chez le médecin s'impose. Le fait de savoir quand les saignements se produisent, combien de fois ils durent et combien de sang est perdu peut aider le médecin à diagnostiquer la cause exacte.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens tels que l'ibuprofène (Advil®, Motrin®, Nurofen®) réduisent le flux menstruel et atténuent les douleurs abdominales.
pendant les règles. Bien vous hydrater est d'autant plus nécessaire si vous êtes sujette aux sensations de gonflement et de lourdeur à ce moment du mois. Plus vous buvez d'eau, plus votre corps sera capable de se drainer pour lutter contre la rétention d'eau.
La réponse à cette question dépend de la durée de ton cycle habituel. Si ton cycle est plus court que la moyenne, mettons 24 jours, il est possible d'avoir deux fois les règles au cours d'un même mois. Toutefois, si ton cycle habituel est de 30 jours, ceci indique plutôt que quelque chose est venu perturber ton cycle.
Des médicaments analogues de la gonadolibérine (GnRH) en injections intramusculaires. Les analogues de la gonadolibérine ( Décapeptyl®, Enantone®, Gosereline®, Gonapeptyl®) sont parfois indiqués dans le cas de fibromes très volumineux, ou entraînant des saignements à l'origine d'une anémie.
Les ménorragies qui apparaissent lors des premières règles, à la puberté, peuvent être le mode de découverte d'un trouble de l'hémostase, autrement dit d'une maladie hémorragique. C'est une situation rare mais grave qui nécessite une prise en charge en urgence.
Le citron : le citron crée un milieu acide susceptible de mettre en pause le flux menstruel. Une semaine avant la date des menstrues, vous pouvez boire, trois fois par jour, un jus de citron dilué dans un verre d'eau.
Noréthistérone est la version générique du médicament Primolut N, mis au point par le laboratoire Bayer. Il se compose du même agent actif, agit de manière identique et constitue un médicament efficace pour retarder les règles et soulager les symptômes prémenstruels.