Une musique cacophonique ou discordante est souvent considérée comme l'œuvre du Diable, destinée à épouvanter les âmes perdues aux portes du gouffre infernal.
Le rock a été définit par certains chrétiens comme étant la musique du diable.
La légende est célèbre dans l'histoire de la musique : il existerait un accord musical capable d'invoquer le Diable : le triton. Surnommé le « Diabolus in musica », il fut totalement interdit par l'Eglise.
Le « Diable dans la musique » désigne simplement un intervalle de trois tons entre deux notes. La sonorité qui en résulte provoque une dissonance parfois perturbante à l'écoute.
La musique profane, dite aussi musique séculière ou encore musique mondaine, regroupe les genres musicaux qui ne sont pas associés aux pratiques religieuses d'un groupe social donné. Le concept s'oppose donc à celui de musique sacrée. La musique profane peut être vocale ou instrumentale.
La musique profane est une musique qui n'est liée à aucun culte, c'est donc toute la musique usuelle non religieuse ou sacrée, qu'elle soit classique, jazz, folklorique, Klezmer ou variété. Comme la musique sacrée, la musique profane peut être instrumentale ou vocale.
La musique profane
Cette musique profane est jouée par des poètes et des compositeurs que l'on appelait : les troubadours. Ils allaient de châteaux en châteaux pour divertir le roi. Les troubadours étaient également les gardiens de la tradition orale.
Pourtant, l'Histoire montre que la main gauche, la «main du diable», fut longtemps affublée des pires tares. Et gare à l'élève qui se faisait surprendre à écrire de la «mauvaise mal»! En effet, en France et jusqu'aux années 1960, nombreux furent les instituteurs à combattre cette particularité.
1. L'esprit du mal, le démon (On le trouve parfois écrit avec une majuscule et précédé de l'article défini comme synonyme de Satan, Belzébuth, Lucifer. ). 2. Démon, dans la théologie judéo-chrétienne, représenté dans les traditions populaires avec des oreilles pointues et une queue fourchue ; mauvais génie en général.
Définition de diable
Démon, esprit diabolique. Religion. Dans la Bible, principe du Mal, ange déchu. (au sens figuré) Enfant très turbulent ou personne dangereuse et rusée.
Première femme d'Adam et tueuse d'enfants, séductrice et épouse de Satan, reine du royaume du Mal… Si l'histoire de Lilith est longue et fragmentée, son nom apparaît pour la première fois avec certitude dans la Bible et elle connaît son âge d'or au Moyen Âge, avec le Zohar notamment.
Les deux sources de la musique
Beaucoup de chants célèbres le prouvent. C'est Dieu qui crée cette musique dans le coeur de l'homme pour qu'il Le loue, L'adore et Lui donne toute la gloire, l'honneur et la puissance. Quand l'onction de Dieu est là, cela fait fondre nos coeurs et nous attire dans Sa présence.
Et en dépit de la clarté du chapitre dans son ensemble, la 12e verset continue d'être mis en avant comme preuve que Lucifer était le nom de Satan avant la chute. Ainsi, Lucifer est devenu un autre nom de Satan et l'est resté, en raison de la tradition populaire.
Dans l'art roman, le Diable est représenté avec des traits animaliers. Il apparaît comme un satyre, avec des oreilles velues, des cornes de faunes, des pieds et la queue d'un bouc ; pour rappeler qu'il est un ange déchu il a une paire d'ailes dans le dos.
Les spirituals, gospels et blues. Ils représentent, par la suite, l'héritage musical de ce peuple tant bafoué. Le jazz naît plus tard, du mélange du ragtime pianistique et de ces chants noirs-américains.
Un promoteur embauche quatre jeunes filles pour nettoyer une vieille maison au passé obscur. Le soir venu, un mystérieux visiteur leur remet un paquet contenant un étrange grimoire. Par curiosité, nos charmantes héroïnes vont essayer d'en déchiffrer quelques paragraphes.
Satan est traditionnellement associé à Belzébuth ou Baal-Zébub (le dieu Baal dit « Seigneur des mouches ») par les Pharisiens dans les Évangiles et à Méphistophélès au Moyen Âge. Satan est fréquemment surnommé Lucifer, terme latin absent des versions originales de l'Ancien Testament ou du Nouveau.
Origine mystérieuse. L'expression est apparue au début du XVII e siècle (attesté par Oudin en 1645). Selon Oudin, c'est alors « travailler dur pour gagner sa vie ». Selon Maurice Rat, ce serait solliciter l'assistance du diable.
Le diable (en latin : diabolus, du grec διάβολος / diábolos, issu du verbe διαβάλλω / diabállô, signifiant « celui qui divise » ou « qui désunit » ou encore « trompeur, calomniateur ») est un nom commun général personnifiant l'esprit du mal.
Le serpent
L'imaginaire chrétien attribue un rôle démoniaque au serpent, comme l'atteste le récit de la Genèse : c'est par la faute de cet animal, le plus rusé de tous, qui séduit Ève par ses propos, que le couple primordial s'attire la malédiction divine et se voit chasser de l'Éden.
Dans la langue des signes américaine, il représente le chiffre « 9 ». Au Japon, il représente une pièce de monnaie et, par extension, la richesse ou la fortune. Enfin, en France, il peut être utilisé pour parler du chiffre « 0 ». — L'émoji 🤘 représentant le « signe des cornes » est lui aussi source de nombreux débats.
C'était le stigma ou sigillum diaboli !». «Une éraillure de la peau, une ou plusieurs empreintes accusaient la griffe du diable, marquée soit par un ongle — le plus souvent l'auriculaire — soit par tous les doigts ensembles appliqués sur la peau.
« Pourquoi les chrétiens ne doivent pas écouter la musique mondaine ? » c'est le thème qui a été l'objet de cette rencontre pas ordinaire. Pour être précis et clair, retenons que, la musique mondaine est la musique qui appartient à la vie du monde, qui aime le monde, et qui ne glorifie pas le Seigneur Jésus Christ.
L'origine des instruments de musique ne semble pas avoir été attribuée à une source pure, puisque les fils de Lamech, Jubal et Tubalcaïn étaient de la race du meurtrier d'Abel, maudit de Dieu. Quels étaient ces instruments? Tout porte à croire qu'ils furent d'abord en usage en Egypte, en Ethiopie, en Syrie.
La musique a cet effet déclencheur sur le cerveau, et tout le travail scientifique actuel consiste à isoler les paramètres dans la musique entraînant la génération de l'adrénaline, mais aussi la dopamine (lié à la satisfaction) et l'endorphine (lié au soulagement).