En mathématiques, une racine d'un polynôme P(X) est une valeur α telle que P(α) = 0. C'est donc une solution de l'équation polynomiale P(x) = 0 d'inconnue x, ou encore, un zéro de la fonction polynomiale associée. Par exemple, les racines de X2 – X sont 0 et 1.
Recherche de racine(s) et signe d'un polynôme : Un polynôme du second degré P(x) = ax² + bx + c admet au plus deux racines. Le nombre exact de ses racines est déterminé par le signe d'un expression notée Δ qu'on appelle le discriminant. Δ = b² - 4ac.
Si f est une fonction définie sur un ensemble D , à valeurs dans R ou C , on dit que x est une racine de f , ou un zéro de f , si f(x)=0 f ( x ) = 0 . Le mot racine est particulièrement employé pour les polynômes.
racine, ou bien peut en avoir une ou plusieurs voire une infinité. Sur le graphe de la fonction, les racines sont les intersections du graphe avec l'axe des x. Comment trouver les racines d'une fonction ? Il suffit d'annuler le numérateur de la fonction.
Il suffit pour cela de diviser les deux membres de l'équation algébrique par le coefficient du monôme de plus haut degré (le coefficient a). Exemple : Trouver les solutions d'une équation algébrique revient donc à déterminer les racines d'un polynôme unitaire.
Montrer qu'un réel est racine d'un trinômeMéthode
Montrer qu'un réel a est racine d'un trinôme P revient à montrer que P(a)=0. On considère le trinôme du second degré P défini sur \mathbb{R} par P\left(x\right)=3x^2-2x-1.
Pour trouver une racine évident en fait, vous essayer avec des nombres de base comme 1, -1, 2, 3, etc. Il faut maintenant trouver ce R(x) en effectuant une division polynomiale de Q par (x + 1). Donc : R(x) = x2 - x - 6 et P(x) = (x + 1)(x + 1)(x2 - x - 6).
On dit que a est racine d'ordre r de A s'il existe un polynôme Q tel que A = (X a)rQ avec Q(a) 6= 0. Autrement dit, a est racine d'ordre r de A si A est divisible par (X a)r mais pas par (X a)r+1. Une racine est dite simple si elle est d'ordre 1, double si elle est d'ordre 2,. . .
3,14159265358979323846264338327950288419716939937510582. Dans la pratique, on utilise 3,14 mais il est souvent aisé de retenir 22 septièmes ou racine de 10 pour valeur approchée de Pi. Les décimales de Pi ont été la proie des savants depuis près de 4000 ans.
Un polynôme nul est un polynôme dont tous les coefficients sont nuls, y compris le coefficient constant.
Pour trouver les zéros d'une fonction polynomiale de degré 2 sous la forme canonique f(x)=a(x−h)2+k, il faut remplacer f(x) par 0 puis trouver la ou les valeurs de x qui rendent l'équation vraie. On peut isoler x directement dans l'équation ou bien utiliser la formule des zéros pour la forme canonique.
Définition : Une équation du second degré est une équation de la forme ax2 + bx + c = 0 où a, b et c sont des réels avec a ≠ 0. Une solution de cette équation s'appelle une racine du trinôme ax2 + bx + c . Exemple : L'équation 3x2 − 6x − 2 = 0 est une équation du second degré.
Le discriminant est strictement positif, donc le trinôme admet deux racines réelles qui sont en fait les solutions de l'équa- tion : Calcul des solutions : x1 = −b− √∆ 2a = −2− √16 2·1 = −2−4 2 = −3 x2 = −b+ √∆ 2a = −2+ √16 2·1 = −2+4 2 = 1. L'ensemble solution est donc S = {−3;1}.
Le signe de Δ indique le nombre de racines réelles : si Δ > 0 , alors il y a deux solutions réelles distinctes ; si Δ = 0 , alors il y a une solution réelle répétée ; si Δ < 0 , alors il n'y a pas de solutions réelles.
L'équation de la fonction racine carrée peut s'écrire f(x)=a√bx f ( x ) = a b x où a et b sont tous deux non nuls.
Polynôme : qu'est-ce que c'est ? Somme d'expressions algébriques formées par des termes où figurent une ou plusieurs variables. Exemple : 3X3 + 56X2 + 2 est un polynôme de la variable X.
En algèbre commutative, le degré d'un polynôme (en une ou plusieurs indéterminées) est le degré le plus élevé de ses termes lorsque le polynôme est exprimé sous sa forme canonique constituée d'une somme de monômes. Le degré d'un terme est la somme des exposants des indéterminées qui y apparaissent.
Méthode 1 : en connaissant une racine a du polynome p (possiblement une racine évidente), alors le polynome peut se factoriser par (x−a) , soit p=(x−a)⋅q(x) p = ( x − a ) ⋅ q ( x ) avec q(x) un polynôme de degré 2 (méthode de factorisation ci-dessus).
Si x1 et x2 sont les racines d'un polynôme du second degré ax2 + bx + c, alors il se factorise sous la forme a(x − x1)(x − x2). Si x0 est l'unique racine d'un polynôme du second degré ax2 + bx + c, alors il se factorise sous la forme a(x − x0)2.
Équation du quatrième degré : méthode de Ferrari
Sa solution repose sur la méthode de Cardan dont il était d'ailleurs l'élève. On cherche à résoudre l'équation x^4=px^2+qx+r. Comme pour l'équation de degré 3, un changement de variable permet de ramener toute équation du quatrième degré à une équation de cette forme-là.
Si l'équation est donnée, comme souvent eu égard, historiquement, à Cardan, sous la forme x3 = px + q, il faut alors changer p et q en -p et -q et la formule devient alors : Cette formule, dite de Cardan, résout l'équation du troisième degré lorsque p et q sont des entiers positifs (forme primitive du problème).
Les deux racines distinctes sont 1 et 2. Il y a deux solutions, mais deux fois la même, on dit alors qu'on a une racine double.
Pour cela, dans le cas général, il faut d'abord calculer le discriminant Δ (delta), donné par la formule : Δ = b² - 4ac.