Les règles de stabilité permettent: de déterminer si une espèce chimique est
La stabilité nucléaire correspond à la stabilité du noyau d'un atome. Elle dépend de la force de répulsion des protons et de la force nucléaire. Un atome dont le noyau est trop instable a tendance à se désintégrer de sorte qu'il génère un ou plusieurs noyaux plus stables.
Les atomes sont stables lorsque le nombre de neutrons dans le noyau est à peu près équivalent au nombre de protons. Lorsqu'il y a un déséquilibre important entre le nombre de neutrons et celui de protons dans le noyau, l'atome devient instable.
Les atomes peuvent se stabiliser en adoptant la configuration électronique du gaz noble de numéro atomique le plus proche. Pour cela, ils perdent ou gagnent des électrons sur leur couche de valence et forment des ions monoatomiques (doc.
). La première règle de Hund stipule que le plus bas niveau en énergie est celui maximisant la valeur de S, somme des spins respectifs de chaque électron se trouvant dans les orbitales de valence de l'atome.
En conséquence, dans une fonction antisymétrique, deux spin-orbitales ne peuvent être égales et doivent donc différer par au moins un nombre quantique. Une orbitale ne peut donc être au plus que doublement occupée (avec un électron de spin et un électron de spin ).
La couche K est donc la première couche à être remplie. C'est elle qui se trouve le plus près du noyau. C'est une couche ou les électrons ont tendance à être dans un état très stable. La couche L peut accueillir 8 électrons.
C'est le fer. Au début de leur vie, les étoiles tirent leur énergie de la fusion de petits noyaux atomiques pour former des noyaux plus gros. Les étoiles fabriquent ainsi de l'hélium par fusion de noyaux d'hydrogène. Quand il est épuisé, l'hélium réagit et donne du carbone et de l'oxygène.
La stabilité d'une molécule est assurée par le partage d'électrons entre chaque atome. Ce partage est modélisé par la liaison covalente. Le schéma de Lewis est une écriture conventionnelle permettant de représenter des atomes et des molécules.
Un système chimique est thermodynamiquement stable lorsqu'il est à son niveau d'énergie le plus bas, ou en équilibre chimique avec son environnement. Ce peut être un équilibre dynamique, où des atomes individuels ou des molécules changent de forme, mais leur nombre global dans une forme particulière reste inchangé.
1. Qualité de ce qui est stable, de ce qui tend à conserver sa position d'équilibre : Vérifier la stabilité d'un véhicule. 2. Caractère de ce qui se maintient tel, sans profondes variations, pendant un temps assez long : La stabilité actuelle de la production.
En effet, la formation d'un ion suit un principe simple: il se forme de préférence l'ion le plus stable, c'est à dire celui qui a sa couche électronique externe saturée : (K) 2 ou (L) 8.
C'est à dire qu'ils comportent un spin et une énergie d'excitation spéciaux. Dans leur état d'énergie le plus bas, on dit qu'ils atteignent l'état fondamental. Parmi ces 6 isotopes, les plus stables sont : Le fer 54 représentant 5,85% des isotopes nucléaires.
La cohésion du noyau atomique est assurée par l'interaction forte, qui attire les nucléons entre eux et empêche ainsi les protons de se repousser.
L'élément le plus stable d'une série de noyaux comportant le même nombre de nucléons est celui dont la masse est la plus petite. La famille de noyaux comportant 127 nucléons montre la relation entre masse et stabilité. L'élément stable en est le noyau d'iode-127, avec 53 protons et 74 neutrons.
La règle de l'octet n'est strictement valable que pour les éléments de la 2e période du tableau périodique à partir du béryllium, tandis que la règle du duet s'applique pour l'hydrogène, l'hélium et le lithium.
(Chimie) Acide faible, très instable, de formule brute H 2CO 3, se formant par réaction entre l'eau et le dioxyde de carbone.
Seul le sodium 23 (23Na) est stable, ce qui fait du sodium un élément monoisotopique.
La formule d'un ion se forme toujours d'une manière analogue. On utilise le symbole de l'atome à partir duquel l'ion se forme puis on lui ajoute en exposant le nombre et le signe des charges en excès obtenu en comparant le nombre de charges positives et le nombre de charges négatives.
Les atomes sont les grains microscopiques qui composent la matière de tout l'univers. Il en existe 92 différents, comme les atomes d'hydrogène (que l'on écrit H), d'oxygène (O), de carbone (C), d'azote (N) … Les atomes peuvent s'accrocher entre eux, on obtient alors des molécules.
Les molécules constituent des agrégats atomiques liés par des forces de valence (liaisons covalentes) et elles conservent leur individualité physique. Des forces plus faibles, telles les liaisons hydrogène et celles de type van der Waals, les maintiennent à proximité les unes des autres à l'état liquide et/ou solide.
Quand une couche contient son nombre maximal d'électrons, on dit qu'elle est saturée. Méthode de répartition des électrons dans les différentes couches : 1) Toujours remplir la couche K en premier. 2) Quand la couche K est saturée, il faut remplir la couche L.
La dernière couche de la configuration électronique qui contient des électrons est appelée couche externe. Elle contient les électrons de valence de l'atome.
Un ion est un atome, ou un groupe d'atomes, ayant perdu ou gagné un ou plusieurs électrons : Un ion négatif (anion) a gagné des électrons, Un ion positif (cation) a perdu des électrons.