La singularité est un point infiniment petit au centre d'un trou noir. Le pourtour d'un trou noir – l'
Au centre se trouve la singularité, c'est-à-dire le point infinitésimal où est concentrée toute la matière de l'étoile. Autour de la singularité se trouve une région de l'espace où rien ne peut échapper à sa gravité, pas même la lumière. La frontière de cette région est ce qu'on appelle l'horizon des événements.
Ainsi, un tout petit trou noir d'une masse de trois fois la masse du Soleil possède un diamètre d'à peu près 9 km de rayon. Et un gros trou noir possédant une masse de trois millions de fois la masse de notre Soleil, comme celui qui est au centre de notre galaxie, mesure vingt millions de kilomètres.
Il s'appelle Chuck Clark et il est l'un des meilleurs cosmonautes de la Nasa, l'organisme responsable de la recherche spatiale aux Etats-Unis. Dans 5 ans, cet Américain de 32 ans va vivre une aventure incroyable et très risquée : il s'est porté volontaire pour être le 1er homme à entrer à l'intérieur d'un trou noir !
Au centre d'un trou noir se situe une singularité gravitationnelle. Pour tout type de trou noir, cette singularité est « cachée » du monde extérieur par l'horizon des événements.
On estime ainsi que les trous noirs résidus stellaires commenceront à s'évaporer dans cent milliards de milliards d'années et les trous noirs supermassifs dans un milliards de milliards de milliards de milliards d'années.
Les trous noirs jouent aujourd'hui un rôle crucial non seulement en astrophysique mais aussi en physique des particules, et en particulier dans les théories essayant d'unifier la relativité générale et la physique quantique.
La relativité générale estime que rien ne peut sortir d'un trou noir, pas même l'information concernant la matière aspirée. Cette opposition de lois physiques concernant les trous noirs, mise évidence par Hawking, porte le nom de "paradoxe de l'information".
Le premier trou noir fut détecté en 1971 dans la constellation du Cygne. En 1974, Bruce Balick et Robert L. Brown détectent un astre extrêmement massif au centre de la Voie Lactée qu'ils baptisent Sagittarius A*. Il a fallu attendre la fin des années 1990 pour que sa nature de trou noir supermassif soit prouvée.
Une autre caractéristique est l'effet d'entraînement sur l'espace-temps. En effet, l'influence du trou noir sur la géométrie de l'espace-temps est très forte. La rotation de l'astre doit se répercuter sur cette géométrie, donc également sur le mouvement des corps passant à proximité.
Par rapport à un observateur situé loin du trou noir, tous les phénomènes se passant à proximité du trou noir semblent se dérouler plus lentement. Une horloge avancerait à un rythme plus lent. En quelque sorte, donc, les trous noirs ralentissent le temps.
Où va ce qui entre dans un trou noir ? La matière qui entre dans le trou noir se retrouverait comprimée dans un même point central, une singularité gravitationnelle. Nos conceptions du temps et de l'espace s'effondrent dans cette singularité.
Imaginons que l'on puisse avoir un trou noir équivalent à une masse solaire, même si ce n'est pas possible (il faut une masse minimale pour que les trous noirs puissent se former, située entre 3 et 5 masses solaires). Sa température serait « de l'ordre d'un dix-millionième de kelvins ».
Caractère de ce qui est unique en son genre : La singularité de chaque vie. 2. Caractère original ou étrange, insolite de quelque chose : La singularité de sa tenue l'a fait remarquer.
La singularité, c'est ce qui nous caractérise et nous différencie des autres, ce qui fait que l'on est certain d'être soi-même et pas un autre, même si le réel de notre être nous est inaccessible. "Singularité : trait distinctif de la catégorie du nombre, indiquant la représentation d'une seule entité isolable" (TLFi).
Il faut identifier ses caractéristiques spéciales, résister à l'envie de copier systématiquement ce qui fonctionne pour autrui ou ce que beaucoup considèrent comme la norme et valoriser ses atouts différenciants pour sortir fièrement du moule.
Grâce au télescope Hubble, un trou noir vient d'être découvert à quelques encablures de notre planète après douze années de recherche. Situé à seulement 6.000 années-lumière de la Terre, il a été repéré au cœur de Messier 4, un amas globulaire dans la constellation du Scorpion.
Taille. La singularité est un point infiniment petit au centre d'un trou noir. Le pourtour d'un trou noir – l'horizon des évènements – est de taille variable.
Un trou blanc (ou fontaine blanche) est un objet hypothétique qui comme son nom l'indique est l'opposé du trou noir. En effet, tandis qu'en théorie rien ne peut s'échapper d'un trou noir, d'après les cosmologistes, rien ne peut pénétrer dans un trou blanc. De la matière et de l'énergie en sont éjectés en permanence.
Un trou noir est une région de l'espace dont le champ gravitationnel est si intense qu'il empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s'en échapper. Le champ gravitationnel est comme une sorte de colle. En fait, le trou noir est tellement massique qu'il attire tous les objets.
Une libération impossible
En appliquant la formule ci-dessus, vous pouvez calculer que sa vitesse de libération serait égale à environ 650000 km/s.
Les scientifiques ont identifié différents types de trous noirs. Les principaux sont les trous noirs « stellaires » (quelques dizaines de fois la masse du Soleil) et les « supermassifs » (quelques millions de fois la masse du Soleil). Il existe aussi les trous noirs « intermédiaires » et « miniatures ».
Le trou noir supermassif qui niche au cœur de la Voie lactée a été baptisé il y a une cinquantaine d'années déjà. Aujourd'hui, il est connu non seulement des chercheurs, mais aussi des astronomes amateurs, sous le nom de Sagittarius A*.
Cela peut sembler effrayant, mais ce n'est pas le cas. Vous n'avez pas à craindre les trous noirs. Plus de 100 millions de trous noirs errent probablement dans notre galaxie à eux seuls, et ce sont des objets fascinants dans le cosmos.
Pas n'importe lequel : il s'agit du trou noir supermassif situé au centre de la galaxie Messier 87 (M87), nommé M87*. Ce colosse de 6,5 milliards de fois la masse du Soleil évolue au cœur de sa galaxie, à 55 millions d'années-lumière de la Terre.