Une stratégie de coopération permet par exemple de : Réunir les moyens financiers de plusieurs petites entreprises pour mieux appréhender la concurrence des grands groupes, Limiter les frais fixes induits par de lourds investissements.
L'objectif de base est simple : la mise en commun de compétences ou moyens ou ressources. Et cela peu importe si elles sont concurrentes ou si leur cœur de métier diffère. Malgré la mise en place d'une collaboration, les entreprises gardent tout de même une certaine indépendance.
La coopération est un mode de relation où les individus participent volontairement à un travail commun. Qu'elle soit spontanée ou induite par un problème à résoudre, elle permet de s'accorder vers un objectif commun et/ou une méthode commune.
Les stratégies de coopétition, par les forces qu'elles unissent, peuvent permettre à deux concurrents de passer d'une stratégie défensive (réduction des coûts) à une stratégie conjointe plus « offensive » afin de créer plus de valeur (exploration d'un nouveau marché par exemple) et se différencier.
Apprendre à coopérer pour améliorer la performance collective et l'innovation : en coopérant, vous mobilisez l'intelligence collective et la créativité de chacun est activée par les échanges et les confrontations positives. Le partage d'objectifs communs et d'une vision commune participent à améliorer les résultats.
Pourquoi coopérer ? Promouvoir et partager les valeurs que vous portez à travers votre modèle économique et votre modèle l'organisation. Faire connaître votre métier, votre entreprise et ses spécificités aux plus jeunes, qu'elles soient entreprise coopérative, mutualiste ou association.
La coopération internationale est généralement officialisée par un traité, un accord ou bien une déclaration. Elle peut aussi être l'expression d'une amitié entre deux pays, comme dans le domaine de l'aide humanitaire dans les pays en développement. La coopération peut être bilatérale ou multilatérale.
La coopération bilatérale est une assistance mutuelle et complémentaire entre deux états souverains. Elle est régie par un traité qui comporte des accords dans plusieurs domaines : économique, finan- cier, technique et culturel... Généralement elle se fait entre pays riches et pays pauvres.
L'histoire montre que la coopération dans le domaine des eaux transfrontières favorise la production énergétique et alimentaire, renforce la résilience aux catastrophes et promeut l'intégration économique.
La façon d'atteindre le but par la coopération repose sur la distribution des tâches et des responsabilités au sein du groupe, tandis que la collaboration exige une responsabilité individuelle pour atteindre le but (figure 1).
La coopération des personnes est souvent plus facile à obtenir si l'on parle des valeurs positives qui sous-tendent l'action et le projet. L'adhésion à un projet se fait souvent sur la base de valeurs positives partagées.
Prendre part, concourir à une œuvre commune ; contribuer, participer.
La coopération internationale est la collaboration de plusieurs pays sur un sujet donné. Elle est généralement officialisée par un traité, un accord ou bien une déclaration et peut aussi être l'expression d'une amitié entre deux pays, comme dans le domaine de l'humanitaire.
La coopération multilatérale est l'expression de la solidarité internationale qui se développe depuis 1945 pour tenter d'apporter des solutions aux problèmes du développement et de la pauvreté. Certaines organisations ont un rôle politique, d'autres un rôle surtout économique, social et financier.
En effet les ressources financières sont à la fois trop chères pour les pays bénéficiaires et très peu rentables pour les pays prêteurs qui ont tendance à en diminuer le taux et en sélectionner les pays candidats. Ces financements augmentent la dépendance des pays bénéficiaires vis-à-vis de leurs créanciers.
Le rôle des partenaires extérieurs est d'aider les pays en développement à renforcer leur propre capacité “de mettre place ces éléments interdépendants, indispensables à un développement durable, en tenant compte de la situation et des engagements de chaque pays”6.
L'aide peut aller directement du pays donateur vers le pays bénéficiaire. On l'appelle alors bilatérale. Elle prend aussi la forme de contributions des États au fonctionnement et aux programmes des organismes internationaux (comme l'UNICEF ou la Banque mondiale). L'aide est alors dite multilatérale.
44Ces dernières années, la coopération internationale pour le développement peut se targuer d'avoir contribué à réaliser d'indéniables progrès : réduction partielle de la pauvreté, amélioration du taux d'alphabétisation ou encore recul de certaines maladies.
Action de coopérer, de participer à une œuvre commune ; collaboration, concours : Nous avons besoin de votre coopération. 2. Politique d'entente et d'échanges entre deux États.
L'entraide : deux ou plusieurs enfants se réunissent pour tenter à plusieurs de résoudre un problème ou une difficulté. Le tutorat : un enfant, reconnu expert, accepte, pour un temps donné et avec un objectif précis, d'accompagner un de ses camarades afin qu'il devienne autonome dans le domaine du tutorat.
Lorsqu'une entreprise dispose de ressources internes insuffisantes pour obtenir seule un avantage concurrentiel, et quand son concurrent dispose de ressources complémentaires, ils tendent à s'engager ensemble dans une relation de coopétition.
La collaboration entre concurrents peut être réalisée, soit par le biais d'une structure juridique distincte, soit par l'intermédiaire de « cellules de coopération », comme se fut le cas pour l'alliance entre Apple, Motorola et IBM lorsqu'ils mirent au point le « PowerPC » (gamme de processeurs).
Il faut accepter les liens d'interdépendance que génère la coopération : on a besoin de l'autre pour réussir et inversement. Enfin, il ne peut avoir une coopération durable entre collaborateurs sans le soutien de la direction qui doit promouvoir la réalisation d'objectifs collectifs.
Pour favoriser l'esprit d'équipe, le manager veillera à renforcer la dimension de communauté de son ou de ses équipes. Il s'agit de développer les liens interpersonnels via des moments informels et des moments forts à vivre ensemble – soirées, séminaires, etc.