La littérature dominante en sociologie, en science politique et en relations internationales définit la transnationalisation de l'action collective comme le passage d'un certain niveau d'action à un autre (en particulier les travaux de Tarrow [2001 et 2005], Della Porta et Tarrow [2005] et Keck et Sikkink [1998]).
Les entreprises transnationales sont les entreprises installées dans plusieurs pays. Les programmes scolaires tendent à imposer l'expression « firmes transnationales » ou le sigle FTN, tandis que le langage commun parle simplement des multinationales. On lit parfois aussi FMN pour « firmes multinationales ».
L'acteur transnational agit dans l'espace mondial, seul ou en réseau, en dépassant le cadre étatique national. Il échappe en partie au contrôle ou à l'action médiatrice des États. Au sens de Max Weber, l'entrepreneur gère un groupe organisé disposant d'une direction administrative et poursuivant un but précis.
Une firme multinationale ou transnationale est une société commerciale privée ou publique dont les activités se déploient à travers des filiales sur au moins deux pays et/ou continents. Leur organisation juridique ne peut relever que du droit interne.
Si l'on entend que la globalisation désigne avant tout un processus économique tandis que la mondialisation renvoie à une double dimension culturelle et politique, la question que soulève cet écart entre monde et globe est celle du rapport entre politique et économie.
La globalisation définit l'intégration des marchés sur le plan mondial avec, au coeur de ce principe, la mise en place de stratégies commerciales internationales menant à un marché mondial unifié. La globalisation caractérise notamment le développement des échanges et des interactions humaines sur toute la planète.
Pour l'historien Fernand Braudel, la traversée de l'Atlantique par les explorateurs européens serait la première mondialisation moderne. Une autre séquence importante concerne la fin du XIXe siècle, jusqu'à 1914.
La mondialisation implique l'interaction de 4 facteurs différents, le facteur économique avec le renforcement des échanges et la libéralisation, le facteur politique avec la régulation par les Etats et les accords mondiaux (échanges, traités), le facteur technique avec les….
Les étapes de la mondialisation : internationalisation, transnationalisation, globalisation.
La mondialisation est gouvernée par l'entremêlement de toutes ces règles qui font constamment l'objet de négociations et de changements. L'objectif de Strange est alors de fournir les outils pour retrouver son chemin dans ce monde au pouvoir diffus, avec une volonté affichée de le changer.
Cette accélération des échanges économiques a été à l'origine d'une forte croissance économique mondiale. Elle a permis un développement industriel global rapide. Selon certains analystes, la mondialisation a aussi contribué à améliorer les conditions économiques globales, en créant de nombreuses richesses économiques.
Le mouvement antimondialisation désigne le mouvement social qui se montre critique face à la mondialisation économique. Le mouvement peut aussi se référer aux mouvements altermondialistes où à d'autres mouvement s'opposant à la mondialisation néolibérale.
Les principaux avantages de la mondialisation pour les pays sont une hausse de la compétitivité et de la taille des marchés, une amélioration de la productivité grâce à la diffusion du progrès technique.
Les économistes anglophones situent plutôt la « première » mondialisation moderne (globalization) entre les années 1880 et 1914 en raison de l'adhésion de nombreux dirigeants politiques à la thèse du libre-échange d'Adam Smith.
Une des conséquences positives les plus importantes de la mondialisation est l'amélioration considérable du niveau de vie dans les pays en voie de développement. Selon la Banque mondiale, l'extrême pauvreté a reculé de 35 % depuis 1990.
Les principaux d'entre eux sont les firmes multinationales, les États, les organisations non gouvernementales (ONG), les réseaux marchands informels et les mafieux.
Le terme de mondialisation correspond à un libre échange des marchandises, des capitaux, des services, des personnes, des techniques et de l'information.
Les principales causes de la mondialisation sont les progrès techniques (notamment dans la communication et les transports) et les décisions politiques tendant à libéraliser le commerce mondial. L'internationalisation est le premier degré de la mondialisation.
-Problèmes créés par l'économie de rente. -Le manque de diversité des activités économiques : l'agriculture (vivrière) emploie encore 70% de la population active. -Déficit d'infrastructures : manque de liaisons internes et internationales. 3) Des problèmes démographiques et sociaux.
Introduction. Le terme « mondialisation » désigne l'expansion et l'harmonisation des liens d'interdépendance entre les nations, les activités humaines et les systèmes politiques à l'échelle du monde. Ce phénomène touche les personnes dans la plupart des domaines avec des effets et une temporalité propres à chacun.
En conséquence, cette mesure pourrait nuire gravement à la croissance économique et rendre presque impossible l'effort visant à mettre fin à l'extrême pauvreté. Selon la CEA, le COVID-19 pourrait faire chuter les recettes d'exportation de combustibles de l'Afrique à environ 101 milliards de dollars en 2020.
Les flux les plus importants relient les trois pôles de l'économie mondiale : l'Europe occidentale, les États-Unis, le Japon auxquels sont parfois ajoutés les Nouveaux pays industrialisés d'Asie orientale (NPIA) pour former ce que l'on appelle la Triade. La Triade représente à elle seule 90 % des échanges mondiaux.
Un flux est un mouvement d'un point vers un autre en suivant une trajectoire. On distingue les flux matériels, ceux de marchandises par exemple, les flux immatériels comme les flux d'informations et les flux de capitaux qui ne sont pas visuels.