Ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie : Obéir à une morale rigide. 2. Science du bien et du mal, théorie des comportements humains, en tant qu'ils sont régis par des principes éthiques.
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Qui concerne les règles de conduite pratiquées dans une société, en particulier par rapport aux concepts de bien et de mal : Réflexions morales. 2. Qui relève de la conscience que l'on a de ce qui est bien : Avoir l'obligation morale de faire quelque chose.
La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective.
La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société.
Morale de la fable Le Loup et l'Agneau : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » La morale se situe au début de la fable. Jean de La Fontaine dresse ici une critique cinglante de sa société. Il critique la justice comme symbole de la violence et de la force.
Elle permet alors de juger nos actions et celles d'autrui. En effet, la morale est là pour réguler nos comportements pour certains en valorisant certains comportements et en considérant que certains sont des actes mauvais à ne pas commettre.
Selon la première, la morale serait une extension de l'instinct de parenté (notre tendance à nous préoccuper du bien-être de nos proches). La morale serait alors spécifique de l'homme, car elle nécessite réflexion ou normes explicites pour se développer à partir de l'instinct de parenté.
Ce qui constitue une leçon de morale. ➙ apologue, maxime, moralité.
La justice, la loyauté, la générosité et la responsabilité individuelle sont des idéaux supérieurs auxquels on croit important d'obéir : ce sont des valeurs morales. De même, « ne pas faire aux autres ce qu'on ne veut pas qu'ils nous fassent » est une règle que plusieurs trouvent fondamentale.
(Celui) qui se plaît à moraliser, à donner des leçons de morale. Synon. moralisateur. C'est un grand moraliseur, un moraliseur éternel (Ac.).
Une théorie morale peut tomber sous cette qualification pour trois motifs correspondant à autant de propriétés de la moralité : soit elle en affaiblit l'autorité en affirmant qu'il peut être raisonnable de ne pas toujours respecter ses injonctions, soit elle atténue la rigueur de la moralité en soutenant que ses ...
La morale, c ' est faire la différrence entre ce qui est bien et mal, ce qui est bon et mauvais pour autrui et pour soi. C ' est ce que l ' on peut également appeller « être de bonne conduite, vie et mœurs » , comme sur le certificat du même nom.
Les facteurs psychologiques
Les mauvaises habitudes de vie (manque de sommeil, peu d'activité physique...) et les événements extérieurs (conditions économiques, stress, traumatismes, difficultés relationnelles…)
Les valeurs morales sont les règles et principes qui édictent rigoureusement la conduite et les mœurs appropriées pour être bon, faire le bien et vivre ensemble dans le respect fondamental de l'autre.
Étymologiquement, « morale » vient du latin (philosophia) moralis, traduction par Cicéron, du grec ta èthica ; les deux termes désignent ce qui a trait aux mœurs, au caractère, aux attitudes humaines en général et, en particulier, aux règles de conduite et à leur justification.
Le moral n'est donc qu'une image instantanée de l'humeur du moment. La morale, quant à elle, a plus d'atomes crochus avec le juste et l'injuste tels que façonnés par l'alentour.
La morale apparaît ainsi comme un frein au comportement naturel de l'homme. Elle est en même temps considérée comme spécifiquement humaine. Seul l'homme possède les capacités intellectuelles nécessaires pour réprimer les pulsions de la nature, seul l'homme peut donc être moral.
C'est là la sphère élémentaire de la moralité; on se représente l'homme vivant d'une vie isolée, sans rapport avec les autres hommes. Cet état est si naturel, nous ne nous en préoccupons pas.
On a longtemps cru que la morale était uniquement façonnée par le milieu et l'éducation. En fait, elle serait en grande partie innée.
Agir moralement, c'est agir, donc s'inscrire dans un monde social et dans un destin collectif. 1) La formulation du sujet (non pas « être moral » ou « juger moralement » mais « agir moralement ») souligne le fait que « la morale » est un art de bien agir.
Le problème moral consiste à trouver, à inventer et à se donner une direction de l'action imposée par la volonté se donnant des règles dans la représentation.
C'est le mal que l'homme subit, et non commet : autrement dit le malheur. Le mal que l'homme fait est le mal moral. Le mal moral peut se se réduire, de manière universelle, à la violence et au mensonge.