Comment est reparti le CO2 dans l'organisme? L'organisme a besoin de dioxygène O2 pour vivre et alimenter ses cellules en comburant qui permettra la combustion des denrées et la production d'énergie; dans ce processus, du dioxyde de carbone CO2 est produit et doit être évacué des cellules pour éviter une intoxication.
Le dioxyde de carbone est essentiel pour la respiration dans le corps humain. La respiration est un procédé par lequel l'oxygène est transporté dans les tissu du corps humain qui rejette alors le dioxyde de carbone. Le dioxyde de carbone est un gardien du pH du sang, qui est essentiel à la survie.
Le gaz carbonique est naturellement produit par tous les organismes vivants, lors de la respiration des animaux et de la photosynthèse des végétaux. Ces sources naturelles de gaz carbonique existent depuis la nuit des temps et ne contribuent pas au changement climatique.
Les activités humaines, telles que la combustion de pétrole, de charbon et de gaz, ainsi que la déforestation, sont les causes principales de l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
800 ppm : provoque des maux de tête, vertiges et nausées. Cette concentration en CO entraîne la perte de connaissance en 45 min, et la mort en 2 à 3 heures. 12 800 ppm : entraîne la perte de connaissance immédiate et la mort entre 1 et 3 minutes.
Le traitement de l'hypercapnie repose sur la ventilation non invasive, qui assiste le patient, durant la nuit, afin de l'aider à mieux respirer, en exerçant une pression au niveau de la bouche et du nez. La meilleure prévention contre les maladies respiratoires pouvant déclencher l'hypercapnie reste de ne pas fumer.
Pour extraire du CO2 de l'atmosphère, il faut d'abord faire passer l'air sur ce qu'on appelle un absorbant à l'aide de ventilateurs. Cet absorbant fixe le CO2 jusqu'à ce que sa capacité d'absorption du gaz à effet de serre soit épuisée.
Le CO affecte les écosystèmes en participant à l'acidification de l'air, des sols et des cours d'eau. En plus, ce gaz influence indirectement l'effet de serre comme il contribue à l'augmentation des principaux gaz à effet de serre tels que le CO2 (dioxyde de carbone), le CH4 (méthane) et le N2O (oxyde nitreux).
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
Le dioxyde de carbone, également appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, de formule moléculaire CO2, est un gaz incolore, inerte et non toxique. Il se compose de deux atomes d'oxygène et d'un atome de carbone.
La production de CO2
On le sait depuis les années 1950-1960, les moustiques sont en priorité attirés par le dégagement de CO2 , lié à la respiration et/ou la transpiration. Ils sont d'ailleurs capables de détecter ces rejets à près de 50 mètres.
Le dioxyde de carbone produit lors de la respiration cellulaire doit être éliminé du sang. Ce dernier est rejeté sous forme gazeuse au niveau des alvéoles pulmonaires, il traverse la paroi dans le sens inverse du dioxygène.
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Le CO₂ est un gaz présent dans l'atmosphère. Il joue un rôle primordial dans le cycle du carbone sur la planète : l'être vivant transforme l'oxygène en CO₂ tandis que les plantes transforment le CO₂ en oxygène.
Il est effectivement l'un des gaz les plus prépondérants dans l'atmosphère et participe activement à la respiration des êtres vivants et la photosynthèse des plantes. Ainsi, l'être vivant transforme l'oxygène en CO2, tandis que les plantes transforment le CO2 en oxygène.
Le gaz carbonique est utilisé comme additif alimentaire (E290) pour prolonger la durée de conservation d'aliments (fruits) ou carbonater des boissons comme de l'eau gazeuse ou de la limonade. Le gaz carbonique de qualité alimentaire peut être issu de sources naturelles ou de processus industriels.
Ce déséquilibre dans l'atmosphère provoque un réchauffement planétaire. La longue durée de vie dans l'atmosphère des gaz à effet de serre entraîne des impacts à long terme. Le CO2 est le gaz le plus émis par les activités humaines et représente deux tiers de l'effet de serre.
L'océan absorbe le dioxyde de carbone (CO2) depuis l'atmosphère selon deux procédés : Le procédé physico-chimique (représente 90% de l'absorption) : le CO2 est transmis à l'océan par simple dissolution du gaz dans l'eau de mer.
Une fois émis, le gaz est en partie absorbé par les puits de carbone naturels. Cette absorption du dioxyde de carbone a doublé en cinquante ans (de 1960 à 2010) mais cela ne suffit pas pour compenser la hausse des émissions : la moitié du CO2 rejeté par les activités humaines s'accumule dans l'atmosphère.
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
La toxicité de l'oxygène, causée par un apport excessif ou inadéquat en oxygène, peut causer de graves lésions aux poumons et à d'autres organes. Des concentrations élevées d'oxygène administrées sur une longue période peuvent intensifier la formation de radicaux libres et occasionner des dommages aux poumons.
Les signes suivants font évoquer la présence d'une hypercapnie : céphalées, astérixis ou flapping tremor, somnolence jusqu'au coma, désorientation, confusion, hypertension artérielle, vasodilatation cutanée, hypercrinie (sueurs, hypersialorrhée, encombrement).
La production de nourriture humaine génère 37 % des émissions globales de gaz à effet de serre. Mais les aliments d'origine animale en émettent deux fois plus que ceux d'origine végétale. Le bœuf émet ainsi deux fois plus de gaz à effet de serre que le riz qui, lui-même, en émet deux fois plus que le blé.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
L'Union européenne (à 27) n'est responsable que de 13 % des émissions mondiales. Loin derrière viennent la Russie (5,1 %), l'Inde (4,9 %), le Japon (3,6 %) et le Brésil (2,7 %).