État heureux, de bien-être. Chance, hasard favorable. Notion philosophique relative à un état constant de plénitude, contentement, enchantement, bien-être. Bonheur entier, inconditionnel et stable, entière satisfaction qu'elle soit physique ou morale.
La notion de bonheur est intimement liée au désir. Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L'être humain heureux accomplit les objectifs qu'il s'est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même.
Le bonheur, en philosophie, peut se définir comme l'état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique (Epicure a écrit le premier traité du bonheur : La lettre à Ménécée), le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et Souverain Bien (summum bonnum).
Pour atteindre le bonheur, il faut donc parvenir à équilibrer tout ce qui a de l'importance pour nous. Il peut par exemple s'agir du bien-être personnel, mais aussi du bien-être en couple ou encore au travail.
Il s'agit d'un état durable de plénitude et de satisfaction, agréable et équilibré de l'esprit et du corps. La souffrance, l'inquiétude, le trouble sont absents. Le bonheur est en lien avec l'image que l'on a de soi par rapport à tout ce qui nous entoure.
L'homme jouit du bonheur qu'il ressent, et la femme de celui qu'elle procure. Le plaisir de l'un est de satisfaire des désirs, celui de l'autre est surtout de les faire naître. Que l'homme est né pour le bonheur, certes toute la nature l'enseigne.
Pour trouver son bonheur, il est essentiel de se souvenir que nous ne contrôlons pas tout, c'est pourquoi il ne faut pas faire dépendre notre bonheur de projets qui ne se réaliseront peut-être pas. Préférons plutôt aimer ce que nous faisons dans l'instant, savourer les moments simples de la vie.
- de notre nature : d'un côté, tout homme aspire au bonheur (Freud) et de l'autre, notre nature est un des trois obstacles au bonheur (corps voué à la déchéance, à la dissolution). 2. Le bonheur se réduit souvent à une situation : être riche, être en bonne santé.
Ils sont généreux
Les gens heureux savent donner sans forcément attendre en retour, car l'acte même de donner est gratifiant pour eux et leur apporte beaucoup de joie. Ils ont le sentiment en donnant (de leur temps, de leur personne, de leur argent, etc.) d'être utiles et ressentent donc une profonde satisfaction.
Les gens heureux ne nient pas qu'il y a des hauts et des bas dans la vie. Mais en vous concentrant sur ce qui va bien plutôt que sur ce qui va mal, vous vous préparez à être satisfait sur le long terme et à montrer une plus grande résistance en cas d'évènements difficiles à gérer.
Une définition du bonheur est impossible, car elle est générale et universelle, et le bonheur est empiriquement constaté. (Dans l'expérience). Pourtant tous les hommes disent désirer le bonheur. Les hommes sont soucieux d'être heureux et d'être reconnus comme heureux.
C'est simplement une manière de vivre sa vie. C'est simplement un état d'esprit. Un état de complète satisfaction (c'est Larousse qui le dit).
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
L'homme ne peut pas ne pas rechercher le bonheur. Le bonheur est le Souverain Bien, dit Aristote dans Éthique à Nicomaque. Il est tout en haut de la hiérarchie des biens et les commande tous : cela signifie que tout ce que les hommes font est en vue du bonheur. L'homme ne peut donc pas se soustraire à sa recherche.
notamment grâce à l'endorphine qui est libérée dans notre cerveau pendant et après l'acte sexuel. Être amoureux, c'est en réalité une sorte d'antidépresseur naturel, vous faisant oublier les soucis et le stress du quotidien et vous aidant à être heureux et bien dans votre peau !
Le bonheur, c'est être en harmonie avec ceux qu'on aime. Le bonheur est en nous, puisqu'en amitié comme en amour on jouit surtout de ce que l'on donne. Le bonheur, c'est de l'amour en mieux. Mais on ne trouve le bonheur qu'à faire ce qu'on aime avec les tendances profondes de son âme.
Le bonheur n'est pas un bien parmi d'autres, il n'est même pas, en toute rigueur, un bien (car alors seraient suprêmement désirables, non le bonheur, mais le bonheur plus les autres biens, et ce serait cette somme qui serait le bonheur), et pourtant « la chose la plus désirable de toutes » (I, 5), qui seule est ...
Quels que soient les critères d'évaluation du bonheur qu'elles proposent, les recherches en psychologie et en économie admettent deux présupposés : 1) Le bonheur est une valeur que nous plaçons, ou devrions placer, au-dessus de toutes les autres.
Le bonheur se distingue du plaisir et de la joie, qui sont des émotions éphémères et toujours liées à un objet particulier. La satisfaction des besoins fondamentaux (se nourrir, se vêtir, se loger et se sentir en sécurité) représente les éléments essentiels pour atteindre un état de bien-être.
Les plaisirs sont de courte durée, le bonheur perdure. Mais ce qui les distingue avant tout est la sécrétion des neurotransmetteurs qu'ils libèrent l'un et l'autre dans notre cerveau : les plaisirs fabriquent de la dopamine et le bonheur, de la sérotonine.
Métaphoriquement, le bonheur devient le point culminant de notre existence. Aristote explique que le bonheur est une fin en soi : c'est un but final, un état de satisfaction totale et durable. Deux questions se posent alors : Est-ce que cet état de béatitude absolue existe ?