Mais de quoi s'agit-il exactement ? Les procédés littéraires correspondent à tous les moyens dont disposent l'auteur ou l'autrice pour élaborer son texte et créer un effet sur son lecteur.
Un procédé d'écriture est une façon de dire ou d'écrire les choses dans le but de produire un effet. L'interpréter, c'est être capable de donner du sens à ce procédé. Le schéma ci‑après récapitule ce que vous pouvez observer dans un texte pour défendre une interprétation.
1. Manière d'agir, de se comporter : Ce sont là des procédés malhonnêtes. 2. Manière de s'y prendre, méthode pratique pour faire quelque chose : Un nouveau procédé de fabrication.
Ce blog vous parle de l'onomatopée, de l'allitération et beaucoup de plus ! Les procédés poétiques souvent sont utilisés par les écrivains pour améliorer le rythme d'une poème, créer de l'atmosphère, transmettre le sens et évoquer une réaction émotionnelle du lecteur.
Répétition. La répétition est une figure de style qui consiste à utiliser plusieurs fois le même mot ou groupe de mots dans un texte ou un discours. Par exemple : Dans la phrase "Jamais je ne te dirai jamais adieu", la répétition du mot "jamais" accentue le sentiment d'éternité et d'absolu du propos.
Il existe différentes types de figures de style : répétition, analogie, substitution, opposition, atténuation… Ce sont autant de procédés d'écriture qui permettent de rendre ce que l'on veut dire plus expressif en créant un effet de sens ou de sonorité.
Son but est de produire des commentaires stylistiques, c'est à dire une lecture ordonnée du texte fondée sur des indices textuels repérés au moyen de la linguistique. figures microstructurales : figures de diction. figures de construction.
Les procédés du rythme
L'unité syntaxique débute avec un vers et se termine en plusieurs mots sur le suivant. L'enjambement allonge le vers. L'unité syntaxique débute avec un vers et se termine en « un mot » sur le suivant. Le rejet met en valeur.
Selon Bally, la stylistique a pour but d'isoler et d'identifier les faits d'expression, entendus dans leur caractère « affectif », et de les analyser. Cette analyse implique une théorie du langage et une théorie de la stylistique.
Les techniques d'écriture, inspirées des cours de communication et de journalisme, permettent de faire en sorte qu'un texte serve le plus parfaitement possible son objectif initial : informer, rendre compte, former, éduquer, répertorier, distraire, vendre, convaincre, partager, etc.
Ils servent à faciliter l'accès à l'information. Les procédés explicatifs les plus utilisés sont : 1- La définition : donner le sens ou la signification d'un mot. Ex : Une greffe : c'est un transfert d'organe.
Parmi les genres littéraires, 5 principaux genres littéraires se distinguent. Il s'agit du genre narratif, du genre théâtral, du genre poétique, du genre argumentatif et du genre épistolaire.
Analyser un texte littéraire signifie donc qu'il faut : - mettre en valeur les intentions de l'auteur, - mettre en évidence les procédés qu'il utilise pour parvenir à ce but, - faire comprendre les réactions, les émotions que ce texte provoque chez le lecteur.
Il crée un effet de continuité rythmique, de fluidité. Pour un poème en alexandrin, le rythme est régulier quand les alexandrins ont un rythme 6/6 avec césure à la fin de la 6ème syllabe, sinon le rythme est irrégulier.
Le style s'appuie bien sur des unités grammaticales, mais c'est l'ensemble du texte qui les oriente et leur donne un sens. Or, c'est précisément le niveau rhétorique qui éclaire l'enchaînement de ces unités et les articule avec un au-delà du texte.
L'anaphore est la répétition ou la reprise d'un même mot ou d'un même syntagme (plusieurs mots) en début de phrases, de propositions, de paragraphes, de groupes de mots, de strophes ou de vers qui se suivent.
L'analyse stylistique emprunte à la grammaire, à la linguistique (énonciation, pragmatique, linguistique textuelle, analyse du discours), à la rhétorique, à la poétique et à la sémiotique leurs outils et leurs approches pour décrire l'utilisation qu'un auteur fait de tel ou tel élément langagier.
Pour exprimer cette subjectivité, l'énonciateur peut manifester un doute, la probabilité, un sentiment, un jugement mélioratif (positif) ou péjoratif (négatif). Il peut également manifester son opinion personnelle, en faisant comprendre qu'il s'agit bien de son opinion et non de celle d'un d'autre.