L'hypopituitarisme est une carence en une ou plusieurs hormones hypophysaires. Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent de l'hormone déficitaire et peuvent inclure une petite taille, une stérilité, une intolérance au froid, une fatigue et une absence de production de lait.
L'hypopituitarisme généralisé se caractérise par l'absence partielle ou totale de fonctionnement du lobe antérieur de l'hypophyse. Les symptômes cliniques dépendent des déficits hormonaux.
Chez l'adulte, le déficit se traduit par une diminution de la libido, avec une asthénie et une diminution de la masse musculaire associées à une dysérection chez l'homme et une aménorrhée chez la femme. Ce tableau s'associe à une infertilité d'origine centrale.
chez l'adulte, développement exagéré du crâne et des os du visage, de la mâchoire, des mains et des pieds (acromégalie) chez l'enfant, croissance très rapide qui fait qu'il devient très grand (gigantisme) douleur articulaire. taux élevé de sucre (glucose) dans le sang.
Maladie hypophysaire génétique rare caractérisée par une déficience variable de toutes les hormones produites dans le lobe antérieur de l'hypophyse. Les signes cliniques incluent l'hypothyroïdie, l'hypogonadisme, le retard de croissance et la petite taille, ainsi qu'une insuffisance surrénale secondaire.
L'hypopituitarisme est une carence en une ou plusieurs hormones hypophysaires. Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent de l'hormone déficitaire et peuvent inclure une petite taille, une stérilité, une intolérance au froid, une fatigue et une absence de production de lait.
Adénome hypophysaire familial isolé (FIPA)
Chez certains membres de la famille, le FIPA peut être causé par des changements dans le gène AIP. Ces changements engendrent souvent la formation de gros adénomes hypophysaires qui fabriquent trop d'hormone de croissance (adénomes à hormone de croissance).
Oui, effectivement un adénome hypophysaire peut ne pas être totalement guéri par l'opération ou récidiver. Ceci dépend de plusieurs paramètres : le type d'adénome, sa taille, ses caractéristiques de développement, l'importance du taux sanguin de l'hormone éventuellement sécrétée en excès, l'âge et le sexe.
Différents dosages peuvent être évoqués dans le cadre de ce bilan biologique hypophysaire et citons notamment ceux de la prolactine, de la LH et de la FSH, de la TSH et de la thyroxine, de l'ACTH et du cortisol ou encore de la GH et de l'IGF-1.
Signes et symptômes d'une insuffisance hypophysaire
L'absence des hormones sexuelles LH (hormone lutéinisante) et FSH (hormone folliculo-stimulante) s'accompagne généralement d'une baisse de la libido, mais peut également entraîner à long terme la perte de la pilosité axillaire et intime.
Le diagnostic de cette déficience de l'activité de l'hypophyse est généralement basé sur l'analyse d'un échantillon sanguin, à la suite d'une stimulation de la thyroïde (glande également productrice d'hormones).
Le diagnostic est posé avec une prise de sang et le traitement consiste en des comprimés d'hydrocortisone, un corticoïde qui compense l'insuffisance surrénalienne, voire de la fludrocortisone.
L'hypophyse est une petite glande située sous le cerveau qui contrôle la production d'hormones comme le cortisol, les hormones thyroïdiennes, l'hormone de croissance, la prolactine, les hormones sexuelles, l'ocytocine et l'hormone antidiurétique (qui limite la production des urines).
Comme elle fait partie du système endocrinien, l'hypophyse fabrique de nombreuses hormones différentes qui circulent dans tout le corps. Ces hormones contrôlent certaines fonctions du corps et indiquent à d'autres glandes de fabriquer d'autres hormones.
Examens de l'hypothalamus
Un scanner ou un IRM peuvent être effectués pour identifier l'origine du dysfonctionnement hormonal. Analyses médicales. Des dosages hormonaux peuvent être mis en oeuvre pour évaluer le dysfonctionnement hormonal.
Certains adénomes hypophysaires sécrétants nécessitent une intervention chirurgicale, lorsque la sécrétion d'hormones de croissance est importante (GH), responsable alors d'une acromégalie (c'est-à-dire d'une taille excessive chez l'enfant ou d'une modification de la taille des mains et des pieds, ainsi que du visage ...
qui tapissent l'intérieur d'organes et de glandes. L'adénome peut devenir cancéreux s'il n'est pas traité. Terme qui désigne tout ce qui a rapport aux organes digestifs.
Le premier spécialiste à voir est l'endocrinologue, qui posera le diagnostic d'adénome hypophysaire, en précisera le type, et en appréciera le retentissement. Si nécessaire, il fera appel à d'autres spécialistes (neurochirurgien, radiothérapeute, généticien).
Dans quels cas pratiquer une IRM de l'hypophyse ? L'IRM hypophysaire est indiquée quand il existe un soupçon de présence d'adénome hypophysaire.
À l'aide d'outils chirurgicaux appelés curettes, le chirurgien passe par l'os sphénoïde et le sinus sphénoïdal pour atteindre l'hypophyse et enlever la tumeur. Il referme ensuite l'incision et remplit les narines de gaze ou d'un autre type de matériel.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Dans le cas d'une agression ponctuelle (on parle alors de stress aigu), le système nerveux réagit immédiatement. Le cerveau est stimulé et induit la libération d'adrénaline par des glandes situées au-dessus des reins, les surrénales.
Pour les tumeurs de l'hypophyse, les principaux types de traitements sont la chirurgie et l'hormonothérapie. Plus rarement on peut avoir recours à la radiothérapie. Le choix d'une ou de plusieurs de ces techniques est étudié lors de Réunion de Concertation Pluridisciplinaires (RCP).
L'hypothalamus et l'hypophyse incitent les ovaires à produire des hormones sexuelles (telles que l'œstrogène), à faire mûrir et à libérer des ovules.