Pour le droit musulman, la répudiation est un mode de dissolution du mariage religieux ayant vocation à avoir des implications, lorsque cela est possible, dans le droit de la société du pays concerné.
répudier
Dans les législations antiques et dans le droit musulman, renvoyer sa femme en vertu de dispositions légales par décision unilatérale du mari. 2. Littéraire. Rejeter un sentiment, une opinion, etc. : Répudier ses engagements.
C'est le pouvoir unilatéral reconnu par la coutume au mari, de rompre les liens du mariage. L'époux doit s'adresser à la justice de commune ou au Tribunal d'Instance pour se faire établir un certificat de répudiation. C'est donc un droit discrétionnaire reconnu exclusivement au mari.
L'annulation du mariage est reconnue par l'islam en cas de non-consommation. Encore aujourd'hui, il arrive que la non-consommation doive être justifiée. L'annulation du mariage est encore utilisée dans certains pays religieux car il permet à la femme de rompre le lien du mariage sans perdre sa dot.
8 Il leur répondit : C'est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ; au commencement, il n'en était pas ainsi. 9 Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère.
L'époux doit adresser une demande de répudiation écrite à la justice de sa commune ou en se rendant dans un tribunal d'instance. Ensuite un procès-verbal est établi par le juge pour constater la répudiation.
Le droit musulman a toujours donné à l'homme musulman le droit de divorcer – voire de répudier – sa femme sans le moindre justificatif, encore moins devant témoins. L'époux était seul habilité à décider de garder ou répudier son épouse, et la loi lui donnait toujours raison.
Le Coran. Selon la première source scripturaire qu'est le Coran, la sexualité n'est licite qu'au sein d'une union légale. En effet, toute relation sexuelle en dehors du mariage, appelée zina [7] , ou plus rarement sifah, est clairement décrite comme une turpitude (fahicha) et une mauvaise voie (sa'a sabila) [8]
En Islam, le divorce de la femme est refusé s'il est sans raison légitime. Les raisons valables pour que la femme divorce en Islam sont l'avarice, le mauvais traitement et le mauvais comportement de son époux ; Le divorce est aussi possible en cas de refus de prier ou d'abandon de la religion par l'époux.
Le divorce en Islam, selon l'homme et la femme
À la suite de quoi, un procès-verbal est établi par un juge, qui constate alors la répudiation. Dans le cas où l'épouse souhaiterait demander le divorce, celle-ci en a le droit, à condition que ce droit soit validé par la justice et devant un tribunal.
D'après le droit musulman, l'homme peut donc mettre fin au mariage, non seulement sans le consentement de son épouse, mais également sans prouver sa faute. Pour ce faire, une demande de répudiation doit être faite par l'écrit et adressée à la justice.
Coran : Sourate 65, At Talaq (Le Divorce) الطّلاَق - YouTube.
Cependant, la femme peut avoir recours au khoul' qui est une séparation à l'amiable, plus précisément, le khoul' est l'annulation de l'union en versant une somme d'argent (ou un élément de valeur) en contrepartie.
Dans ce cas, non seulement le divorce est irrévocable, mais les époux ne peuvent pas se remarier tant que la femme n'a pas épousé un autre homme. Il faut aussi que ce mariage ait été consommé et qu'il ait pris fin par la mort ou le divorce. Ce n'est qu'après cela que les premiers conjoints pourront se remarier.
En effet, une tradition sunnite permet aux hommes tadjiks de déclencher le divorce juste en prononçant l'expression «talâq, talâq, talâq». De plus en plus de femmes tadjiks se plaignent du manque de tact de leur époux quant à la façon de demander le divorce.
La durée varie en cas de dissolution du mariage : - si la femme se trouve enceinte, le délai de viduite s'étend jusqu'à son accouchement. - si la femme a ses règles régulièrement il faut observer un délai d'attente de trois menstrues (Coran 2/228).
- le "Takyiree » ou le droit d'option, quand le mari ne veut pas divorcer mais lui confie l'option de maintenir ou de mettre fin à leur vie conjugale; -le "Tafwide" ou la délégation. Il s'agit d'une procuration donnée oralement ou par écrit par l'époux à son épouse pour formuler le Talâq.
Après les fatwas sur l'onanisme féminin, celui-ci déclare, cette fois-ci, que « les préliminaires ne sont pas interdits en Islam ».
Si une femme se lave après que son mari a fait l'amour avec elle, si ensuite le sperme de son mari s'écoule de son vagin, elle doit procéder aux ablutions mineures non aux majeures.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Ainsi, la femme ne peut pas divorcer, à l'unanimité des savants musulmans. Néanmoins, elle peut demander le divorce à une autorité musulmane en cas de préjudice sévère. Attention à ne pas demander le divorce sans motif, au vu du hadith mentionnant le châtiment sévère à ce sujet.
Vous n'avez plus les mêmes projets. Vous constatez que vous n'avez plus envie d'avancer dans la même direction. Lui se satisfait dans la vie qu'il mène, quand vous avez envie de changement. Même si l'amour est toujours là, le couple ne peut pas perdurer si vos projets de vie sont différents.
En Islam, il n'est ni haram (illégal) ni obligatoire pour une femme de changer son nom de famille pour celui de son mari. Pour mieux comprendre cela, il faut d'abord comprendre l'un des objectifs centraux (maqasid) de la charia, qui est la préservation de sa lignée (nasab).
Rejeter ce qu'on avait accepté ou admis. Synon. condamner, renier, repousser. Répudier une opinion, une doctrine, un engagement.
Si vous êtes d'accord, vous pouvez divorcer par consentement mutuel. C'est une procédure plus simple et rapide. Votre convention de divorce par consentement mutuel doit être déposée chez un notaire ou être validée par le juge.