Il faut éviter les adjectifs trop forts, comme “excentrique”, “têtu”, “anxieux”, “rancunier”, etc. Vous pouvez aussi mentionner un défaut, avant de le contrebalancer : par exemple, vous êtes bavard, mais vous savez qu'il y a des moments pour travailler, d'autres pour discuter.
1. «Je suis intolérant devant l'incompétence ou la paresse de certains de mes collègues.» Dites plutôt : «Je suis porté à être quelque peu impatient quand je constate que certains de mes collègues sont lents ou pas très organisés. J'ai appris à être plus tolérant, mais parfois, je dois respirer par le nez.
« Quels sont vos principaux défauts ? » Cette question sert au recruteur à : Cerner votre personnalité Vérifier qu'aucun de vos traits de caractère n'entre en contradiction avec les qualités requises pour le poste. Tester votre capacité à prendre du recul sur vous-même et votre capacité à vous remettre en question.
Voici quelques exemples de réponses à la question « Quel est votre pire défaut ? » : « Je peux parfois être trop perfectionniste. Je veux que tout soit parfait, ce qui peut me conduire à perdre du temps ou à être trop critique envers moi-même.
Vos faiblesses peuvent être décrites comme des forces
Dites plutôt que vous êtes passionné, obstiné ou minutieux. Par exemple : « J'ai du mal à laisser un projet quitter mes mains tant qu'il n'est pas tout à fait finalisé ». Vous admettez que vous devez faire des progrès dans ce domaine, mais positivement.
En clair, pour répondre à la question « Pourquoi vous et pas un autre? », citez vos points forts en essayant de prendre en compte les besoins de l'entreprise au sein de laquelle vous souhaiteriez travailler. Réitérez votre envie et votre motivation au recruteur et ayez confiance en vous.
Pour connaître vos points forts, demander l'avis de votre entourage (collègues actuels ou anciens collègues, familles, amis…). Vous pouvez aussi faire une introspection sur vous-même. Quelques exemples de points forts : curiosité, dynamisme, rigueur, volontariat, créativité…
« Pourquoi moi et pas un autre ? Parce que je suis bon dans ce que je fais mais que je sais que j'ai encore beaucoup à apprendre, notamment grâce à vos méthodes X et Y. Je suis persuadé que nous allons pouvoir atteindre nos objectifs ensemble.
Souvent posée en fin d'entretien, cette question doit vous permettre de laisser une bonne image au responsable du recrutement. En vous posant cette question, le recruteur vous signale qu'il est potentiellement intéressé par votre profil mais attend d'être définitivement séduit.
Pour le choix de vos défauts, essayez de rester sobre et évitez les adjectifs trop forts, qui pourraient effrayer le recruteur, comme « rancunier », « impatient », « anxieux », « paresseux », etc. Exit également les poncifs, tels que « je suis perfectionniste », qui sont désormais dépourvus d'originalité.
Déterminer ses défauts : confronter les points de vue
Pour déterminer vos défauts, comme pour les hiérarchiser, multipliez les points de vue. Parlez-en à vos proches. Vous serez surpris de constater que ceux-ci ne vous attribuent pas forcément les défauts auxquels vous, vous aviez pensé.
Motivation pour un poste
Généralement, vos motivations émanent : De l'entreprise elle-même (par exemple ses valeurs, son organisation, sa taille,…) Du secteur d'activité (qu'est-ce qui vous a particulièrement attiré ?) De votre métier (pourquoi ce métier-là et pas un autre)
En vous demandant ce que vous pourriez apporter à l'entreprise, il va évaluer : Votre connaissance des activités et des valeurs des entreprises. Votre compréhension des enjeux auxquels elle fait face. Votre lucidité concernant vos compétences.
Évoquer ses qualités en entretien est tout un art à ne pas sous-estimer, tout comme parler de ses défauts. Il est important de trouver un équilibre, en évitant l'excès de vantardise, tel que dire « je suis le meilleur » ou « j'excelle dans tout ».
Un exemple de réponse à la question « Pourquoi vous êtes le candidat idéal » serait : « Je suis le candidat idéal, car je peux mettre à profit de l'entreprise X mon réseau ou mes connaissances en marketing.
Vous pouvez le faire de deux manières: vous pouvez soit vous concentrer davantage sur vos expériences (ce que vous avez déjà fait auparavant dans votre carrière), soit sur vos compétences (particulièrement utiles si vous occupez des postes ou des secteurs d'activité pivotants).
« Que pouvez-vous nous apporter ? » ou « Que pouvez-vous apporter à l'entreprise ? » est une question typique de l'entretien d'embauche. Le recruteur cherche à savoir de quelle façon vous allez vous investir dans l'entreprise et la valeur ajoutée que vous allez apporter par rapport aux autres candidats.
Identifier vos atouts, compétences, et centres d'intérêts. Cibler les métiers qui vous permettront de valoriser vos atouts, tout en étant cohérent avec vos exigences (salaire, type de contrat…) et contraintes (mobilité géographique, horaires…) Construire un plan d'action pour prioriser et mettre en œuvre votre projet.
Quand un recruteur vous demande si vous êtes capable de travailler sous pression, il recherche avant tout une personne capable de rester calme mais réactive en cas de situations imprévues ou de situations qui demandent du sang froid et de l'organisation, sans se laisser dépasser par la situation.
Nous recommandons plutôt une réponse du type : « J'ai lu le descriptif du poste, j'ai parcouru le site Web de votre entreprise, et ce poste m'a séduit car je pense avoir les compétences requises et que les responsabilités complémentaires qu'il me permettra d'obtenir m'intéressent fortement. »
Vous pouvez indiquer « Période d'inactivité », et indiquer brièvement la raison comme « Tour du monde », « Congé maternité », « Projet caritatif » ou « Projet de reconversion professionnelle ». Soyez laconique et mettez davantage l'accent sur vos précédentes expériences.
Vous pouvez mentionner des soft skills , comme l'esprit critique, ou des compétences techniques qui correspondent spécifiquement à ce poste. Si, par exemple, vous briguez un poste de comptable, vous pouvez mettre en avant votre familiarité avec certains logiciels de comptabilité, comme Sage ou Sap.
La question où vous vous voyez dans 5 ans revient dans presque chaque interview de recrutement. Un recruteur pose effectivement cette question pour une bonne raison. Les employeurs espèrent ainsi découvrir quelles sont vos attentes par rapport à l'emploi pour lequel vous postulez.