Le bronchospasme est une diminution rapide et involontaire du calibre des bronches. Cette contraction brutale peut entraîner une détresse respiratoire aiguë, avec des conséquences parfois gravissimes.
En effet, la bronchite asthmatiforme est le plus souvent une bronchite d'origine infectieuse, alors que l'asthme est une pathologie généralement d'origine allergique.
Il peut se déclencher lors d'un effort, à cause du froid ou encore de la pollution. Dans tous les cas, le traitement de la crise est le même. Première étape : dilater les bronches pour que l'air passe mieux, grâce à des aérosols de bronchodilatateurs qui agissent vite.
La toux asthmatique est une toux sèche, sans expectorations, qui apparaît souvent sous forme de quintes (on parle de toux quinteuse). Elle survient en général la nuit, après un effort physique, dans un environnement froid, ou encore en présence de substances allergènes ou irritantes (en cas d'asthme allergique).
Très fréquemment : tremblements, augmentation du rythme cardiaque, palpitations. Fréquemment : maux de tête, crampes musculaires. Rarement : diminution du taux de potassium dans le sang, bouffées de chaleur, rougeurs cutanées, irrégularités du rythme cardiaque.
Le bronchospasme se traite à l'aide de bronchodilatateurs, des médicaments à inhaler. Ceux-ci vont se fixer sur les muscles qui entourent les bronches pour les détendre.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
Les glaires font partie de ce qu'on appelle les expectorations. Elles sont normales et aident l'organisme à évacuer les intrus. Le mucus épais et les glaires se retrouvent particulièrement en cas de toux grasse.
tachycardie. parole difficile ou impossible. débit expiratoire de pointe au peak-flow inférieur à 60 % des valeurs habituelles. Persistance de la crise malgré la prise d'un bronchodilatateur de secours.
La respiration sifflante provient d'une gêne au niveau des voies respiratoires. Un bruit aigu peut alors être entendu lors de l'expiration et, de manière plus occasionnelle, lors de l'inspiration. Ce sifflement provient en général d'un rétrécissement des voies respiratoires.
Bronchodilatateurs. En cas de respiration sifflante ou de râles, l'usage d'un médicament ayant pour effet d'ouvrir les bronches aide souvent. Le médecin peut alors envisager de prescrire un bronchodilatateur de type agoniste bêta2 sous forme d'inhalateur (par exemple, le salbutamol ou Ventolin®).
L'essoufflement est la sensation d'une respiration difficile et inconfortable. La personne a du mal à respirer. La dyspnée est dite aiguë si elle survient à un moment précis et récent. Sa cause doit être recherchée : problème pulmonaire ou cardiaque, crise d'angoisse, etc.
La réponse de notre expert
La VENTOLINE devrait par contre agir immédiatement pour le soulager si cette toux est d'origine asthmatique, même si ce n'est uniquement pour 1-2 heures.
Les spasmes musculaires, appelés aussi crampes, ont lieu lorsque le muscle est fatigué et n'arrive plus à se détendre. Il se contracte alors de façon incontrôlable.
"Les expectorations sont simplement le reflet du mucus qui contient plus ou moins des débris cellulaires. Et l'expectoration grise est une expectoration presque normale, elle est souvent blanche. C'est la couleur du mucus" rassure-t-il.
Buvez beaucoup d'eau : L'eau peut aider à fluidifier les mucosités. Utilisez un humidificateur ou prenez une douche chaude. Reposez-vous en gardant la tête surélevée. Buvez du thé chaud avec du citron et du miel.
Inspirez profondément par le nez. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois, pour faire décoller les sécrétions ; la seconde fois, pour faire monter les sécrétions dans votre gorge. Crachez les sécrétions dans un mouchoir.
Mais si des quintes inexpliquées durent plus de trois à six semaines, si elles s'aggravent ou si elles s'accompagnent d'autres symptômes comme des difficultés à respirer ou du sang dans les crachats, il est important de consulter un médecin.
D'autres médicaments sont également proposés en alternative : montélukast, théophylline à libération prolongée, tiotropium et, après avis spécialisé, omalizumab, benralizumab, mépolizumab ou reslizumab.
La ventoline n'est pas du tout un corticoïde. La ventoline est un bronchodilatateur, et c'est un agoniste beta 2-adrénergique qui n'agit pas comme les corticoïdes qui eux, sont anti-inflammatoires. A lire, notre dossier sur l'asthme.
Les conséquences de l'asthme sur la vie quotidienne
Les personnes chez qui l'asthme n'est pas correctement traité peuvent souffrir de troubles du sommeil, de fatigue pendant la journée et de problèmes de concentration.
Les traitements utilisés pour soigner l'asthme à base de corticoïdes font grossir. Faux (sauf exception). La plupart du temps, les corticoïdes sont utilisés dans l'asthme sous forme inhalée, ce qui a très rarement une influence sur le poids.