Le choc cardiogénique est défini par l'incapacité de la pompe ventriculaire à générer un débit sanguin suffisant permettant aux organes périphériques de subvenir à leurs besoins métaboliques (3, 5). Il associe une baisse du débit cardiaque et des stigmates d'hypoxie tissulaire, en l'absence de signes d'hypovolémie.
En pratique, quatre grandes catégories d'états de choc sont décrites : le choc cardiogénique, le choc obstructif, le choc hypovolémique et le choc distributif, qui comprend le choc septique et le choc anaphylactique.
Symptômes du choc
Les symptômes de l'état de choc sont similaires en cas d'hypovolémie ou de pompage cardiaque inadéquat. Le trouble peut commencer par une léthargie, une somnolence et une confusion. La peau devient froide et moite, et souvent bleuâtre, pâle ou blême.
L'état de choc cardiogénique (défaillance myocardique) nécessite un traitement par catécholamines de type inotrope, c'est-à-dire la dobutamine. Si l'hypotension persiste malgré la dobutamine ou est profonde d'emblée, il faut introduire un traitement par catécholamines vasopressives, c'est-à-dire la noradrénaline.
Le choc électrique externe (cardioversion) est un acte médical consistant à faire passer volontairement et de manière brève un courant électrique dans votre cœur lorsque celui-ci est trop rapide en raison de certaines tachycardies (en particulier la fibrillation atriale) afin de rétablir un rythme cardiaque normal.
Symptômes et signes
Le choc cardiogénique est caractérisé par une chute de la pression artérielle systolique, associée à une diminution du débit cardiaque. Celle-ci se traduit par une pâleur des extrémités, des sueurs, un refroidissement de la peau, des troubles de la conscience, des urines peu abondantes et foncées.
Le diagnostic de choc cardiogénique est évoqué à l'examen clinique, lorsqu'il existe une hypotension artérielle associée à des signes d'hypoxie : oligurie, marbrures cutanées, extrémités froides, cyanose, troubles de conscience.
Causes du choc
Le choc a plusieurs causes : Volume de sang faible (choc hypovolémique. en apprendre davantage ) Pompage inadéquat du cœur (choc cardiogénique.
L'état de choc se définit comme une défaillance aiguë du système cardiocirculatoire. Quatre grands mécanismes peuvent être à l'origine d'un état de choc : une hypovolémie, une défaillance du myocarde, une obstruction du lit vasculaire et des anomalies distributives.
La prise en charge d'un état de choc comporte plusieurs étapes : il faut d'abord assurer les fonctions vitales, préciser le mécanisme du choc et son étiologie, puis évaluer son retentissement. L'impossibilité de contrôler un état de choc conduit à un syndrome de défaillance multiviscérale et au décès du patient.
Premiers soins:
Dès que les premiers signes du choc se manifestent, il faut mettre la victime en position anti-choc. Arrêter l'hémorragie - soulager la douleur - maintenir la température du corps - ne pas donner à boire au patient.
Réflexe n°4 : pratiquer des compressions thoraciques et des insufflations. Si la victime est inconsciente et ne respire plus (aucun signe de respiration perçu), appeler immédiatement les secours (le 15, le 18 ou le 112).
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
L'état de choc est une défaillance circulatoire aiguë et critique (mettant en danger la vie du patient), avec un déficit de perfusion des organes et une altération du métabolisme cellulaire de l'oxygène.
La diminution du volume sanguin, dont le volume normal représente 7 % du poids du corps chez un adulte, entraîne une diminution du retour veineux, du débit cardiaque et de la pression artérielle. Le baroreflexe entre en jeu rapidement pour maintenir la pression artérielle.
Le choc hypovolémique est caractérisé par une diminution aiguë du volume intravasculaire. Les principales étiologies sont : les hémorragies, la déshydratation extracellulaire profonde (pertes digestives, urinaires, cutanées, etc.) et la séquestration dans un troisième secteur liquidien (digestif, musculaire).
Les mécanismes en cause peuvent être une hypovolémie, une diminution du débit cardiaque ou une vasodilatation, avec quelquefois dérivation de la circulation sanguine destinée à shunter les zones d'échange capillaires. Les symptômes comprennent une confusion mentale, une tachycardie, une hypotension et une oligurie.
Signes et diagnostic
L'hypovolémie se traduit souvent par une respiration accélérée. L'hypovolémie provoque un défaut de remplissage vasculaire, avec diminution du retour veineux vers le cœur et donc du débit cardiaque.
– Oligurie, anurie. On distingue différents types de choc : – Choc hypovolémique : précharge basse, PA basse et pincée, tachycardie. – Choc cardiogénique : précharge élevée, jugulaire distendue, œdèmes, hépatomégalie.
Le choc septique est une situation très grave dans laquelle une infection se complique et provoque une baisse importante de la pression artérielle et une diminution de l'approvisionnement de l'oxygène aux organes.
Comme le fait de manger debout, si vous ne consommez de l'eau qu'en position debout ou en marchant, cela peut entraîner des troubles digestifs. "De façon globale, lorsqu'on veut ingérer quelque chose, il vaut mieux être en position assise parce que tous les muscles sont relâchés", précise Nina Cohen-Koubi.
Certains experts recommandent d'éviter de boire pendant les repas. Selon Jessie Inchauspé, biochimiste et auteure de Faites votre glucose révolution, il faut éviter de boire de l'eau pendant les repas notamment si celui-ci est riche en féculents ou en glucides, car cela peut augmenter le pic de glucose jusqu'à 33 %.
Les gestes de premiers secours réalisés le plus tôt possible permettent d'augmenter les chances de survie. Si vous êtes témoin d'un arrêt cardiaque, vous devez avoir trois réflexes : Appeler le 15, le SAMU, pour prévenir les secours. Commencer immédiatement le massage cardiaque.