Un complexe physique, c'est un sentiment de dévalorisation qu'on accroche à une caractéristique de notre corps. Celle-ci peut être bien réelle ou carrément déformée par notre propre perception.
Il ne faut pas se replier sur soi, mais regarder les autres, leur parler, pour comprendre comment ils fonctionnent avec leurs imperfections. Une personne complexée est orgueilleuse : elle ne croit pas les avis extérieurs, est persuadée qu'elle a raison. Il faut changer d'attitude et écouter ce qu'on nous dit.
On dit d'une personne qu'elle est complexée lorsqu'elle est focalisée sur certains de ses défauts, réels ou imaginaires, et que cela entraîne un sentiment d'infériorité. La personne complexée a donc une perception déformée d'elle-même.
Avoir un complexe (d'infériorité),
avoir le sentiment pénible qu'on est inférieur aux autres et le manifester dans son comportement.
De manière inconsciente, on peut créer un complexe chez son enfant lorsque celui-ci ne rentre pas dans le schéma de l'histoire familiale.” Dans une famille de musiciens, un enfant qui n'a aucune prédisposition, ou aucune attirance, pour la musique peut développer un complexe car il ne correspond pas au modèle familial.
Qui contient plusieurs parties ou plusieurs éléments combinés d'une manière qui n'est pas immédiatement claire pour l'esprit ; compliqué, difficile à comprendre : Question complexe. Une personnalité complexe.
Personne n'est parfait, tout le monde devrait donc avoir un complexe. Est-ce le cas ? Les réponses avec le Dr Aurélia Schneider, psychiatre comportementaliste : "Le problème du complexé, c'est qu'il se focalise sur son défaut.
Le complexe d'infériorité peut se définir : " la mauvaise opinion qu'on a de soi-même " ; il faut ajouter que cette opinion est, d'ordinaire, un " sentiment obscur " plutôt qu'un jugement lucide, et qu'elle se développe dans le " subconscient ", à la suite d'impressions pénibles, plus ou moins " refoulées " comme ...
Le complexe est alors défini comme un ensemble de représentations et de souvenirs à forte valeur affective, partiellement ou totalement inconscients.
2 - "Tu es plus que ton physique"
Tu es plus que ces commentaires et remarques haineuses. Tu es plus que ton physique. On se rappellera de toi pour autre chose que ton apparence.
Le ventre, le complexe majoritaire des femmes en France
Leurs fesses, pour 32 % des Françaises, 35 % des Italiennes, et 30 % des Allemandes. Mais l'ennemi juré de ces dernières serait en réalité le ventre.
La bedaine est à la mode : une nouvelle étude révèle que 75% des célibataires (hommes ou femmes intéressé. e.s par des hommes) les préfèrent avec un peu de ventre.
Calvitie, transpiration excessive, taille du pénis... Dans une société où l'image est érigée en dogme, où le paraître fait loi, les complexes sont fréquents. Et, si l'on parle souvent du regard sévère porté par les femmes sur leur propre corps, les hommes ne sont pas en reste.
Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
Et parfois, ce manque d'estime peut être inconscient. Le manque d'estime de soi trouve généralement sa source dans l'enfance. Vous pourriez avoir été rabaissé par un de vos parents pendant votre enfance. Vous pourriez avoir ressenti un manque d'estime de leur part, alors même qu'ils vous aimaient.
Prenez conscience de tout ce que votre corps a de formidable. Plutôt que de vous concentrer sur ce que vous n'aimez pas dans votre apparence, pensez plutôt à ce que vous aimez chez vous. Si par exemple vous recevez souvent des compliments sur votre sourire ou vos belles dents blanches, savourez cette qualité physique.
La dysmorphophobie : symptômes et conséquences
La dysmorphophobie est un trouble de l'image de soi où la personne qui en souffre, a une vision déformée de son corps et/ou de son visage. Elle va avoir des préoccupations obsédantes par rapport à un aspect de son physique perçu comme un défaut.
L'idéal serait de tourner vers soi ce regard bienveillant que nous posons sur ceux qui nous entourent. Être une « bonne mère » pour soi, adopter un regard plus juste, cela s'apprend, nous assure la sophrologue Michèle Freud. Tout comme apprivoiser son visage et son corps… et tenir enfin un discours positif sur soi.