Le terme relève principalement du domaine spirituel, et sert à qualifier ou à désigner des expériences intérieures de l'ordre du contact ou de la communication avec une réalité transcendante non discernable par le sens commun.
Autrement dit, il n'y a pas de méthode pour devenir mystique. On naît tel, on le devient par suite du bon plaisir de Dieu ; cette grâce n'est jamais la conséquence automatique de nos efforts. Telle est la solution orthodoxe. Les quiétistes semblent penser le contraire.
LE mysticisme peut assez bien se définir, selon l'étymologie, le " sens du mystère " (du grec fermer), le sens de l'au-delà, de l'" autre monde ", qui dépasse les limites de notre expérience objective, soit dans la vie présente, soit dans une survie éventuelle.
Vivre d'une manière mystique, c'est se perdre, laisser l'âme aller « au-delà d'elle-même », dans le « nuage de l'inconnaissance », mourir à soi, se laisser habiter par Dieu, l'Inconnaissable, par le Présent-Absent, selon le mode de relation choisi par le Christ ressuscité.
Chez les catholiques comme chez les protestants, le mysticisme suscita beaucoup de résistance. Néanmoins on se doit de dire que l'Église catholique a finalement accepté officiellement les grands mystiques du Carmel espagnol Thérèse d'Avila (1515-1582) et Jean de la Croix (1542-1591).
L'amour mystique renvoie aux prémices de la religion chrétienne. Certaines personnes sont attachées à un être divin et suivent ces préceptes à la lettre. L'utilisation du terme mystique dans ce sens strict lié à la religion est datée du XVIIe siècle. Cette expression relève un aspect secret, caché et intime.
Synonyme : inspiré, pieux, religieux, spirituel.
En pratique, il s'agit de prêter attention à son corps, sa respiration, son ressenti et son intuition. Pratiquer régulièrement quelques minutes de méditation permet de s'extraire du monde physique et de partir à la découverte de son esprit, et c'est ainsi une excellente manière de cultiver sa spiritualité.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
1. Dont les idées, les attitudes sont empreintes de mysticisme : Un auteur mystique. 2. Qui proclame et défend son idéal avec exaltation : Un mystique de la révolution.
Personne dont la foi religieuse est très prononcée.
Pouvoirs et capacités
Mystique est une mutante métamorphe, capable de modifier psioniquement sa propre structure cellulaire pour changer son apparence. Cela lui permet d'endosser l'apparence de n'importe quelle personne, mutante ou non.
La contemplation, c'est l'idée d'aller en sens inverse, de s'arrêter et de prendre un peu de temps. Une des façons simples de le faire est de choisir un paysage qui nous plait devant lequel on peut régulièrement s'installer confortablement, pour prendre un peu de temps.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, qui tombe le 25 décembre. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
Une personne spirituelle est tout simplement une personne qui est en harmonie avec elle-même et avec tout ce qui l'entoure : la nature, les animaux, les êtres humains. Elle accepte que tout ce qui l'entoure est une expression divine qui s'expérimente à travers tout ce qui vit.
Qualité de ce qui est esprit, de ce qui est dégagé de toute matérialité : La spiritualité de l'âme, de la poésie. 2. Ce qui concerne la doctrine ou la vie centrée sur Dieu et les choses spirituelles.
Qui relève de la pensée. Synonyme : abstrait, intellectuel, mental.
mysticisme
1. Doctrine religieuse selon laquelle l'homme peut communiquer directement et personnellement avec Dieu. 2. Comportement dominé par les sentiments religieux.
Les mystiques distinguent nettement les paroles imaginatives des hallucinations auditives : elles ne frappent pas le tympan ; sans doute elles paraissent parfois venir du dehors, descendre du ciel par exemple : mais en général il semble qu'elles montent de l'intérieur de l'âme.
Deux âmes se rencontrent et c'est comme si elles s'étaient toujours connues ! Ce phénomène s'appelle la connexion émotionnelle… Un lien si sacré qui laisse place à l'alchimie entre deux êtres. Souvent, les signes démonstrateurs d'une telle affinité ne sont pas évidents à repérer, mais en disent long sur une relation.