Nom commun (Algérie) (Argot) Frère.
(Argot) Frère ; ami. — Si tu dis ça, tu viendra jamais ! Le khey vise juste, quand je cherche à m'esquiver je dis toujours que je reviendrai peut-être.
Khouya ou khoya, est un mot de l'arabe maghrébin qui signifie 'mon frère', c'est l'équivalent du mot akhi en arabe classique.
Hagra, qui signifie « faire la misère »
« Te faire la hagra » est utilisé pour dire « en faire baver » quelqu'un, dans un type de langage très familier.
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
– Familier : affrioler, baratiner , courir la galipote, courir le cotillon, courir le guilledou, faire du pied, faire du plat, faire du rentre-dedans, tomber, tourner autour de, vamper. – Littéraire : faire des agaceries, suborner. – Populaire : emballer, faire du gringue, lever, racoler.
Qui agit, se comporte d'une façon peu sensée. ➙ anormal, bizarre, dérangé, détraqué, malade ; familier cinglé, dingue, maboul, marteau, perché, sonné, toqué. Il est complètement fou, fou à lier. Elle n'est pas folle : elle est maligne, habile.
Traduction de "Non !" en arabe. لا! لا تفعل! لا تفعلي!
| Dictionnaire Français-Arabe. ma femme ! زوجتي!
De l'arabe خويا , khouya, forme dialectale de أخي , akhî (« mon frère »).
أختي adj./nf.
Al-Talaq est défini, en droit musulman, par la demande de divorce à l'initiative de l'homme. En arabe, vient du mot « Al Itlaq » qui signifie le fait de relâcher une chose, de s'en séparer.
Abou, Abû ou Abu (أبو [abū], père) est le mot arabe signifiant père. Aussi, Abi (Abi Lahab) ou Ab (A noter que "Père" se dit "Ab" en hébreu et "Abba" en araméen; exemple dans l'épitre aux Romains 8:15 [https://www.aelf.org/bible/Rm/8 [archive]]).
Comme le mot est au féminin dans la question, c'est plutôt " habibTi" , "habibi" c'est quand on s'adresse à un homme. Cherie se traduit par habibeti et s'ecrit: حبيبتي.
Habibi (حبيبي) - Mon amour
Exemple : « Habibi, comment s'est passée ta journée ? » Lorsque quelqu'un utilise le surnom « Habibi », il exprime son amour, son amitié et son affection envers la personne à qui il s'adresse.
Dans ce cas, non seulement le divorce est irrévocable, mais les époux ne peuvent pas se remarier tant que la femme n'a pas épousé un autre homme. Il faut aussi que ce mariage ait été consommé et qu'il ait pris fin par la mort ou le divorce. Ce n'est qu'après cela que les premiers conjoints pourront se remarier.
Les conditions de la validité de la répudiation
Une répudiation prononcée par un mineur, un fou ou un idiot est invalide. - Le mari doit agir selon sa libre volonté. Une répudiation prononcée sous la contrainte est invalide. - La répudiation doit être faite en présence de deux témoins.
En islam, la femme ne peut prononcer la séparation, en ce sens qu'elle ne peut pratiquer de répudiation, c'est-à-dire une décision unilatérale de rompre les liens du mariage, mais elle peut demander et faire exécuter cette séparation, en demandant la dissolution du mariage. C'est ce qu'on nomme Al-Khul'.
Le mot oukhty est emprunté à l'arabe et il veut dire « sœur, ma sœur ». Le plus souvent, il ne s'utilise pas au sens propre, mais plutôt de manière amicale. C'est un mot employé par les jeunes adultes et les adolescentes, principalement de confession musulmane, quand elles s'adressent les unes aux autres.
Les pieds-noirs sont les descendants de tous les Européens – majoritairement français – qui, à partir de 1830, se sont installés en Algérie pour en faire une colonie de peuplement.
Suivant les régions, le mot a plusieurs prononciations, comme kseksu et seksu. Dans l'est du pays, on dit invariablement cousksi, naâma et barbucha. En Kabylie et jusqu'à Alger, on le nomme seksu etkseksou. Au Mzab, on nomme le couscous ouchou .