Il s'agit d'un propriétaire particulier qui loue son logement (appartement ou maison). La taille, le loyer, la qualité de ces logements sont très variables et dépendront de vos besoins. Les possibilités pour trouver une location privée sont nombreuses.
Que désigne le parc privé ? Tout simplement tous les logements qui ne sont pas gérés par les bailleurs sociaux. Qu'il s'agisse de logements autonomes, de colocation ou même de chambres chez l'habitant.
Un bailleur privé est une personne privée, propriétaire d'un bien immobilier dans le secteur privé, qui le loue conformément à un contrat de bail. Le régime juridique du bail variera selon que le bailleur privé loue un logement vide ou meublé.
2. Les logements sociaux PLUS. L'acronyme PLUS correspond à Prêt Locatif à Usage Social. En d'autres termes, il s'agit des habitations à loyer modéré, les HLM.
Les loyers sont compris entre 4,56 €/m2 et 5,97 €/m2 selon les régions ; le PLUS (prêt locatif à usage social) correspond aux HLM traditionnelles. Les loyers sont compris entre 5,14 €/m2 et 6,70 €/m2 selon les zones.
Pour les investisseurs qui souhaitant louer des meublés, deux statuts existent : ceux de LMP (loueur en meublé professionnel) et de LMNP (loueur en meublé non professionnel).
Le bailleur peut être une personne physique (particulier) ou une personne morale (association, banque, compagnie d'assurance, mutuelle…). Généralement, le bailleur est la personne qui signe le bail de location avec le locataire. Il peut être le propriétaire direct du bien immobilier à louer ou être son représentant.
Les bailleurs sociaux louent des logements destinés aux ménages dont les ressources sont plus faibles. Traditionnellement, les bailleurs sociaux sont des personnes morales (employeurs, organismes publics, etc.).
Il est conseillé de se rendre directement en préfecture ou à la mairie, pour gagner du temps. Autrement, vous pouvez déposer votre document dans votre entreprise, si celle-ci emploie plus de 20 personnes et qu'elle cotise à l'action logement.
L'expression « locations libres » qualifie un type de bail immobilier caractérisé par sa souplesse. Cette souplesse se manifeste tout d'abord au niveau de sa réglementation : celle-ci laisse une grande part à l'autonomie des volontés. Les parties peuvent ainsi fixer librement nombre de clauses de leur contrat de bail.
Un logement non conventionné est une habitation dont le propriétaire bailleur n'a pas conclu de convention avec l'État. Sans convention avec l'État, le locataire ne peut pas bénéficier des APL (Aide Personnalisée au Logement).
En général, le locataire doit justifier d'un revenu mensuel au moins égal à trois fois le montant du loyer. Il faut ensuite que le locataire et, si nécessaire, la personne qui se porte caution produisent un avis d'imposition, des bulletins de salaire, une attestation d'employeur…
C'est au locataire qu'il incombe de payer son loyer mensuel à temps. Il est recommandé de disposer d'un salaire trois fois supérieur au montant du loyer pour pouvoir louer un appartement. Ce baromètre est utilisé par le bailleur pour mesurer votre capacité à affronter les intempéries et à payer votre loyer à temps.
Un loyer d'un tiers du salaire est généralement conseillé. Ainsi par exemple, pour louer un appartement au loyer de 800 €, un salaire de 2800 € serait exigé. Vous l'aurez compris ! L'idéal est d'allouer 30 % de votre salaire pour louer un bien immobilier à Colombes.
Un bailleur désigne une personne physique ou morale (banque, mutuelle, compagnie d'assurance), généralement propriétaire d'un bien immobilier et qui met celui-ci en location.
Le droit du locataire est prévu par la loi du 6 juillet 1989. En effet, tous les logements à usage d'habitation principale ou mixte sont régis par cette loi. Il s'agit d'une loi d'ordre public et toute clause inscrite dans le bail qui va à son encontre sera considérée comme nulle.
Le bailleur est donc le propriétaire qui met son bien à disposition d'un locataire (le preneur) en contrepartie du paiement d'un loyer. Le bailleur peut se faire représenter par un mandataire pour signer un contrat de bail mais son identité doit toujours être précisée.
En général, la location saisonnière relève du statut de la micro-entreprise, soumise aux règles des bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Il est toutefois possible de déclarer ses revenus au réel. Les loyers ne sont pas considérés ici comme des revenus fonciers.
Ainsi, la pratique habituelle de la location meublée par la SCI, même à titre accessoire, rend celle-ci commerciale par son objet. Ce qui entraîne une conséquence significative pour la SCI : la perte de la transparence fiscale et donc son assujettissement à l'impôt sur les sociétés sur l'ensemble de ses bénéfices.
L'avantage d'une SCI à l'IR pour faire du locatif, c'est que vous pouvez, comme un bailleur particulier, déduire les charges de vos revenus locatifs, à concurrence de la quote-part du capital que vous détenez. Il vous faut bien entendu avoir opté pour le régime fiscal du réel.
L'ADIL et le centre d'action sociale
L'agence départementale d'information sur le logement (ADIL) ou le centre d'action sociale de la municipalité ont pour mission de conseiller, de proposer des solutions et d'orienter les personnes en difficultés vers les organismes qui peuvent leur fournir une aide financière ou non.
Abréviation de habitation à loyer modéré.
Pour bénéficier d'un logement dépendant du PLUS, une personne seule ne devra pas toucher plus 24.116 euros par an si elle habite l'Ile-de-France. Partout ailleurs ce montant tombe à 20.966 euros. S'il se compose de deux personnes, ce plafond passe respectivement à 36.042 euros et 27.998 euros.