En moyenne, les gens enjoués sont 10 à 12% plus productifs que les tristes, selon une étude britannique. Le bonheur en entreprise... Un programme parfois difficile à mettre en oeuvre.
Les employés heureux ne ressentent pas le Blues du Dimanche Soir puisqu'ils aiment ce qu'ils font, ils apprécient les contacts, ils se plaisent à créer de la valeur et à faire partie intégrante du succès de l'entreprise. Le résultat est que les collaborateurs heureux prennent moins de congés maladies.
Selon un sondage Ifop, réalisé en 2016 pour Le Pèlerin, la passion et l'intérêt des actifs pour leur travail serait un véritable facteur de bien-être et d'épanouissement. La liberté, l'autonomie, la qualité des conditions de travail et des relations humaines viendraient succéder ce premier constat.
Bien que la moyenne québécoise se situent sous la moyenne générale de 75, nombreuses sont les personnes qui adorent leur emploi et attendent chaque lundi matin avec impatience. D'ailleurs, les personnes les plus heureuses au travail serait les dentistes, les coiffeurs et les courtiers immobiliers.
Sentiment d'appartenance
Fierté et propension à recommander la compagnie. · Créer des activités entre collègues, mais également avec le leadership en lien avec la mission et la vision de l'entreprise. · Donner l'opportunité aux employés d'accompagner les leaders dans leurs déplacements, être dans leur quotidien.
Les facteurs de motivation sont la responsabilité des tâches, la reconnaissance de la hiérarchie, l'évolution de carrière et l'autonomie. La satisfaction des facteurs d'hygiène est nécessaire pour éviter la démotivation mais influence peu la motivation.
Le manque de reconnaissance
Le manque de reconnaissance est aussi un problème bien français car culturellement, on a tendance à punir plutôt à qu'à encourager. Sans parler de certains managers qui pensent à tort, que féliciter un salarié équivaut à une augmentation de salaire ou une promotion.
On envisage souvent le salaire comme élément fondamental de satisfaction au travail. Pour autant, les résultats du sondage Jobijoba, réalisé du 13 au 20 janvier 2016, nous montrent que, contrairement aux idées reçues, à près de 46%, l'intérêt pour le poste apparait en premier dans les critères d'importance.
Le travail est essentiel pour vivre heureux car sans argent nous ne pouvons pas vivre, nous ne pouvons pas avoir de toit ni de nourriture. Le travail est essentiel, c'est lucratif. Il faut aussi sortir de chez soi, ne pas être casanier pour découvrir le monde du travail.
1) La reconnaissance existentielle
Il s'agit de reconnaître le salarié pour qui il est : son caractère, sa personnalité, son histoire, etc… Le salarié a besoin d'être reconnu en tant que personne unique et comme un collaborateur parmi tant d'autres pour l'entreprise.
Il protège votre cœur, renforce votre système immunitaire, vous rend plus résistant au stress, prévient les maladies et prolonge votre vie. À l'opposé, le mécontentement peut causer du stress, affaiblir votre système immunitaire et il possède une gamme d'effets psychologiques comme la dépression prolongée et l'anxiété.
Préavis. Le salarié ne peut pas quitter son travail dès qu'il a signalé sa volonté de démissionner à son employeur. Il continue de travailler jusqu'à la fin de son contrat de travail. Il doit respecter le délai de préavis prévu (sauf en cas de dispense du préavis donnée par l'employeur).
La souffrance au travail fait référence à la souffrance mentale. Cette dernière est considérée comme un mal-être ou une détresse psychologique. La détérioration de la santé mentale des salariés est souvent liée aux nouvelles formes d'organisation du travail au sein des entreprises.
Le mal être au travail : quelle définition ? Le mal-être est un sentiment de malaise profond qui s'empare d'un salarié et s'installe dans la durée. Il s'exprime le plus souvent par des commentaires sur la fatigue ou le stress au travail.
Pour certains, le travail est synonyme de nécessité et de liberté car il permet de se détacher de la nature et de créer sa propre condition, culture. Pour d'autres, il est synonyme d'oppression, de contrainte. Il fait le malheur de l'Homme si celui-ci subit son travail.
Dans leur théorie d'autodétermination, Deci et Ryan (2002) distinguent trois principaux types de motivation : La motivation intrinsèque; La motivation extrinsèque; L'amotivation.
La motivation du personnel dans une entreprise est le degré de dynamisme, de volonté, d'engagement et d'innovation que les employés manifestent au travail. En effet, ces derniers doivent être à 100 % dans leurs apports quotidiens pour booster la croissance de l'entreprise.
Adoptez une vision globale pour donner du sens au travail
Même si vous ne faites pas partie de la direction, vous avez besoin de comprendre l'impact des activités de votre entreprise sur la société… Partager la vision et les valeurs d'entreprise avec ses dirigeants, c'est prendre du recul sur le sens de son métier.