Une terre lourde, dite aussi terre argileuse, est une terre qui retient l'humidité (grâce à la forte proportion d'argile qu'elle contient, qui absorbe et fixe l'eau), avec pour conséquences : Une terre lourde est une terre très collante lorsqu'elle est humide.
Pour cela prendez de la terre humide entre vos doigts, si le toucher donne l'impression de rugueux c'est que votre terre contient plus de 15% de sable. Si cette rugosité est très forte et que vous voyez les grains de sable à l'œil, votre terre contient plus de 50% de sable.
Le sol léger par opposition au sol lourd contient du sable ce qui lui donne une structure aérée et légère. En général c'est également un sol drainé car le sable ne retient pas l'eau. Les plantes qui aiment les sols légers sont par exemple les carottes.
Incorporer du compost, tel est le meilleur moyen d'alléger et d'enrichir un sol lourd. Dès le printemps, faire des apports en surface pour semer directement dedans ou mélanger à de la terre, si vous cultivez des légumes peu gourmands.
Le sable possède une structure aérée, chaque grain imperméable est séparé de son voisin par de l'air. Dans un premier temps, l'eau remplace l'air et est absorbée.
En pratique, les sols ont, pour la plupart, un pH compris entre 5 et 9. La valeur neutre étant un pH de 7. Le sol est d'autant plus acide que son pH est inférieur à cette valeur, et d'autant plus alcalin, on dit aussi « calcaire », qu'il est supérieur. Une bonne terre de jardin a un pH compris entre 6,5 et 7.
Pour améliorer la structure du sol et assouplir la terre, la rendre plus perméable, il faut apporter de la matière organique, notamment du fumier de cheval, de vache ou de mouton par exemple et du compost, enfouis à faible profondeur. Le fumier composté a un pouvoir asséchant, il se répand tous les 3 ans (4 kg/m²).
Les Sols sableux ont généralement une texture grossière jusqu'à 50 cm de profondeur et par conséquent retiennent peu d'éléments nutritifs et ont une faible capacité de rétention d'eau.
On appelle « sol limoneux » une terre riche en limons. Typique des bords de Loire, ce sol particulier a été déposé par les alluvions. Il s'oppose au sol sableux comme au sol argileux. Le sol limoneux contient moins de 10 % d'argile.
Lorsque la terre est bien équilibrée en argile, sable, calcaire et humus (20 % d'argile, 10 % de calcaire, 65 % de sable et 5 % d'humus), on parle de « terre franche », qui est la terre de jardin idéale.
C'est le cas, notamment, des purins de plantes, de la corne broyée, du sang séché, des fientes de volaille, du tourteau … Pour enrichir la terre sur le long terme, et donc améliorer la qualité du sol, il faut se tourner vers les amendements humiques que sont les paillis, le compost, les fumiers, ou les engrais verts.
Le meilleur moyen de connaître la nature d'un terrain, c'est d'y faire une étude de sol géotechnique. La loi ELAN (Evolution du Logement, de l'Aménagement et du Numérique) impose la réalisation systématique de cette étude de sol depuis 2020. Elle vise à réduire les risques de sinistres.
Remblais. Si le « bon sol », celui qui supportera le poids de la maison, se situe en dessous d'une couche instable (remblais), on utilisera des fondations sur puits.
Le pH d'un sol fertile propice au développement de la vie microbactérienne et qui permet une bonne assimilation des nutriments du sol par les plantes se situe trouve 6 et 7. Lorsqu'un sol dispose d'un pH en dessous de 7, on dit qu'il est acide, lorsque son pH est situé au-dessus de 7 alors il est basique ou alcalin.
Les bons sols sont rocheux ou constitués de sable et de graviers. Avant de signer, renseignez-vous sur le coût du raccordement aux équipements publics si le terrain n'est pas viabilisé. Il peut être beaucoup plus élevé que vous ne pensez (plusieurs milliers d'euros).
Un sol riche en humus, ou sol humifère, est donc généralement de couleur foncée, frais, riche et meuble, tandis qu'un sol peu humifère est souvent clair, friable, rapidement sec, sensible au compactage et plutôt pauvre (il existe cependant des exceptions : on peut très bien avoir un sol clair et riche, ou brun et ...
Avoir un sol calcaire est souvent assimilé à une calamité par les jardiniers. On parle de sol calcaire lorsque la terre contient de 10 à 30% de carbonate de chaux, toujours associé à de l'argile, ce qui donne une terre en outre plutôt collante...
Pour alléger les substrats de culture, vous devez utiliser du sable de rivière (sable de quartz) et non du sable de carrière (sable à lapin ou sablon). En effet, ce dernier est généralement calcaire mais également de consistance terreuse et il ne joue pas un bon rôle drainant.
C'est juste utile pour les oignons, bulbes et autres tubercules. Mieux que du sable, un bon fumier, bien décomposé depuis un an, décompacte une terre lourde tout en fournissant une matière organique riche. En revanche le sable de rivière est très précieux pour bouturer.
Le sol sableux : c'est un sol léger qui ne retient pas beaucoup d'eau (et donc les fertilisant). Lorsqu'on le prend dans les mains, il s'effrite. Le pH de ce type de sol est de 6,2 à 6,6. Le sol acide : la terre est d'aspect foncé, riche en humus (issue de la décomposition des matières organiques végétales).
Sol argileux, lourd
Aspect : compact, collant lorsqu'il est humide, très dur et fendillé lorsqu'il est sec. Avantages : retenant bien l'humidité et les minéraux. D'ailleurs, ce type de sol peut être productif s'il est correctement enrichi en éléments nutritifs.
Insérez le doigt dans le sol à une profondeur de 2,5 à 5 cm. S'il est ferme ou tombe de votre doigt lorsque vous retirez celui-ci, il est peut-être sec. Si le sol est pâteux ou s'il colle à votre doigt, il est probable qu'il soit humide X Source de recherche .