Une comparaison est une figure de style qui rapproche deux éléments, le comparant et le comparé, au moyen d'un outil de comparaison. Cette bougie brille comme une étoile. Dans l'exemple précédent, "bougie" est le comparé, "étoile" le comparant et "comme" l'outil de comparaison.
La comparaison est une figure de style d'analogie qui consiste à rapprocher deux éléments à l'aide d'un terme comparatif. On peut retrouver cette figure de style dans différents types de textes. « On traine ensemble comme des bas dépareillés au fond d'un tiroir. » tant de fois. »
La comparaison rapproche deux éléments : le comparé (qui est la réalité) et le comparant (qui est l'image) au moyen d'un mot comparatif. Exemple : Le cheval blanc était rapide comme l'éclair. -> le cheval blanc est comparé à l'éclair (le comparant) par l'intermédiaire du comparatif "comme".
1. Action de comparer, de rapprocher des personnes ou des choses pour examiner leurs ressemblances ou leurs différences ; rapprochement : Faire la comparaison entre des prix. 2. Rapport de ressemblance établi entre deux termes d'un énoncé grâce à un troisième terme introducteur (comme, ainsi que, etc.).
La comparaison, l'apposition et la métaphore sont des figures de style. La comparaison est une mise en relation de deux termes à l'aide d'un outil comparant : comme, tel, semblable à, etc. La métaphore à l'aide de l'apposition est une comparaison abrégée : suppression de l'outil -les mots- de comparaison.
Une comparaison est une figure de style qui rapproche deux éléments, le comparant et le comparé, au moyen d'un outil de comparaison. Cette bougie brille comme une étoile. Dans l'exemple précédent, "bougie" est le comparé, "étoile" le comparant et "comme" l'outil de comparaison.
La métaphore est constituée de deux éléments : le comparé et le comparant. Le premier est l'objet, la personne ou la chose que l'on compare et le second est ce à quoi on le rapproche. Par exemple, si l'on dit : « Cette femme est une véritable déesse », « femme » est le comparé et « déesse » le comparant.
Comparaison (métaphore) : similitude entre deux termes, ressemblance (exemple : le poète est semblable à un prince) ... Par exemple : Pierre est plus attentionné que Marie. ... moins, ou aussi devant l'adjectif, selon le genre de comparaison que tu veux faire. ...
Elle rapproche deux termes ayant des points communs en utilisant des constructions grammaticales, exprimant la ressemblance ou la différence. En général, la comparaison établit un rapport d'égalité, d'inégalité (infériorité, supériorité). Les singes sont plus malins que les chiens.
Selon Bernard Dupriez, il existe deux types de comparaisons. La première, la comparaison simple introduit un actant grammatical supplémentaire ; elle ne constitue pas une image littéraire. La seconde, la comparaison figurative introduit quant à elle un qualifiant et constitue une figure d'analogie.
Un tableau de comparaison est un tableau qui établit une comparaison entre deux éléments ou plus sur différents paramètres. Vous pouvez soit comparer deux éléments comme dans l'exemple ci-dessous. Ou, vous pouvez utiliser divers paramètres ou points de comparaison pour mettre en avant deux éléments ou plus.
On trouve ainsi des métaphores dans des expressions du langage courant (« Mon patron est un vrai requin », « Il m'a fait un cadeau royal », « C'est une tête brûlée », « Je suis souvent dans la lune », etc.) ou dans la poésie (Les Fleurs du mal de Baudelaire, par exemple).
Les plus communes sont sans doute la comparaison, la métaphore, la périphrase, la métonymie et la personnification.
L'épiphore : Reprise d'un mot ou de plusieurs mots en fin de phrase, de strophe ou de paragraphe. Le parallélisme : Structure parallèle de deux énoncés. La gradation : Succession de termes d'intensité croissante (gradation ascendante) ou décroissante (gradation descendante).
Une comparaison comporte quatre éléments : un comparé, un comparant, un outil de comparaison et un point de comparaison. La comparaison établit une relation de similitude entre un premier objet, le comparé, et un second objet, le comparant.
Comparer deux nombres, c'est dire s'ils sont égaux (signe =) ou si l'un est supérieur (signe >) ou inférieur (signe <) à l'autre. Pour comparer des nombres entiers, on compare leur nombre de chiffres. S'il est identique, on compare les chiffres de même rang de gauche à droite.
Le mot « euphémisme » vient du grec phêmi (« je parle »), et du préfixe eu ( « bien »), et désigne une figure de style dont le but est d'atténuer le caractère désagréable ou brutal d'une idée. Une manière de « bien parler » qui permet d'évoquer un sujet déplaisant ou tabou sans que cela en ait l'air.
La métaphore est une figure de style d'analogie qui consiste à rapprocher deux éléments pour en faire ressortir une ressemblance. On peut retrouver cette figure de style dans différents types de textes. Contrairement à la comparaison, on ne retrouve pas de terme comparatif (comme, pareil à, etc.)
La métaphore permet de lier un concept abstrait et complexe avec un élément familier, concret, présent dans notre champs de connaissance. De ce fait, elle peut déclencher des émotions, des souvenirs et éveiller la créativité en continuant son chemin dans la tête de l'apprenant.
Une métaphore courante est un cliché ; si elle est entièrement passée dans le langage (comme « à la tête » signifie « au poste d'autorité »), on peut la considérer comme une catachrèse.
Prenons cet exemple : « Quel vieil ours mal léché tu fais ! » peut être utilisé pour se moquer d'une personne. La métaphore doit donc faire passer au lecteur une forte impression.