Conserver au maximum une vitesse stable et éviter les accélérations inutiles. Maintenez autant que possible votre véhicule à une vitesse stable. La perte de vitesse et donc de carburant sera alors plus faible.
La souplesse de la conduite est également définie par la stabilité de l'allure. Anticipez les ralentissements, évitez les freinages brusques ainsi que les accélérations brutales et préférez utiliser le frein moteur plutôt que la pédale de frein.
La conduite souple consiste à modérer ses accélérations, bien respecter le code de la route et anticiper les ralentissements. Une attitude nécessitant une certaine pratique sur un véhicule thermique doté d'une boîte de vitesses manuelle.
à adopter une conduite souple et sans-à-coup : roulez sur le rapport le plus élevé possible, en passant la vitesse supérieure autour de 2 000 tours/minute, si vous roulez au diesel, et 2 500 t./mn à l'essence; anticipez les changements de feux tricolores et utilisez le frein moteur.
Pour vaincre sa peur pendant les heures de conduite, vous devez prendre le temps de respirer. C'est une solution efficace pour diminuer le stress. Vous pouvez inspirer pendant 4 secondes, puis bloquer la respiration pendant le même temps et ensuite expirer pendant 4 secondes.
Le point de patinage
Pour le trouver, vous devez relâcher doucement votre pied gauche de la pédale. Cela permet au disque d'embrayage de faire circuler l'énergie du moteur vers les roues grâce à un mouvement de rotation, tout en appuyant simultanément sur la pédale d'accélérateur.
Ce qu'il faut, c'est rester calme et faire les choses dans l'ordre : décélérer, débrayer, passer la vitesse, embrayer, puis accélérer à nouveau. Tout est dans le contrôle alterné des pédales des freins et de l'embrayage. Au fil du temps, vous deviendrez un as de la conduite souple.
1 – Le Volvo XC90.
Rouler plus lentement cela veut dire casser son rythme soutenu pour ceux qui ont toujours l'habitude de courir toute la journée. Rouler lentement, c'est un moment de méditation de pleine conscience, on peut vraiment enfin pouvoir prendre du recul par rapport au rythme effréné de nos vies, de nos pensées.
Dès lors qu'un conducteur maîtrise les fondamentaux de la conduite et qu'il est plus à l'aise au volant, il prend ses habitudes sur la route. Si chacun adopte son genre propre, on distingue néanmoins trois différents styles de conduite : la conduite sportive, la conduite souple et la conduite éco.
freiner tout doucement au début avec le pied pied droit et compléter en douceur le freinage. débrayer à fond du pied gauche juste avant de terminer le freinage. garder le pied gauche à fond sur la pédale d'embrayage et le pied droit sur le frein. mettre sa boîte de vitesse au point mort.
Si vous débrayez dans une descente le frein moteur n'aura aucune efficacité et vous devrez utiliser la pédale de frein. Cela peut induire une surchauffe et provoquer une usure des freins.
C'est le fait de laisser le pied sur la pédale d'embrayage sans avoir l'intention de débrayer pour changer de vitesse.. Cela use certaines pièces comme la butée qui appuie sur le mécanisme. Si on a tendance à appuyer plus fort, on peut aussi partiellement débrayer et user le disque d'embrayage beaucoup plus vite.
Utilisation pendant le freinage
Pour freiner sans changer de vitesse et sans s'arrêter, vous ne devez pas toucher la pédale d'embrayage. Vous n'avez pas besoin de débrayer, puisque la vitesse à laquelle vous roulez ne nécessite pas de changement de rapport de boîte et que vous n'immobilisez pas le véhicule.
Même conseil lorsque vous êtes à un feu rouge ou à l'arrêt. Il est inutile de garder le pied sur l'embrayage pour les mêmes raisons. Afin d'éviter cela, il vous suffit de retirer votre pied de la pédale d'embrayage lorsque vous n'avez pas besoin de changer de vitesse.
Cette action permet de ralentir votre véhicule et correspond à utiliser le frein moteur. Dans une situation de freinage d'urgence, où rétrograder n'est pas possible, il vous faudra débrayer avant l'immobilisation de votre voiture, afin de ne pas caler.
Avant de rétrograder (ou descendre de vitesse), il faut commencer par freiner. Lorsque la puissance du véhicule s'amoindrit malgré l'accélération ou que l'usager s'apprête à tourner, il est nécessaire de rétrograder. Il suffit enfin de relâcher la pédale d'embrayage progressivement et d'enchaîner avec l'accélérateur.
Pour enclencher la phase de patinage, l'usager doit relever progressivement son pied gauche de la pédale d'embrayage. Le disque d'embrayage et le volant moteur vont progressivement entrer en contact, ce qui va transmettre graduellement une nouvelle impulsion aux roues.
Il n'existe pas de médicaments spécifiques pour traiter l'amaxophobie, on parle plutôt de traitement par psychothérapie. Comme pour une grande partie des phobies, la thérapie cognitive et comportementale (TCC) a largement démontré son efficacité pour en soulager les symptômes.
L'apprentissage de la conduite de véhicule est souvent un échec parce que les épreuves ne sont pas adaptées aux personnes dyspraxiques alors que, dans la plupart des cas, sous réserve de mettre en place quelques adaptations l'apprentissage de la conduite est bien possible.
Devant un carrefour à sens giratoire, l'automobiliste doit freiner de manière progressive et continue, et doit rétrograder ses vitesses jusqu'à arriver au niveau du frein moteur si cela s'avère nécessaire. Il doit toujours bien contrôler à l'arrière afin de voir si une voiture se trouve trop près de lui.