C'est une nouvelle manière de faire société, favorisant l'émancipation personnelle de chacune et de chacun, grâce à une adaptation de l'environnement des individus à leur situation, et non plus seulement un effort des individus pour s'adapter.
L'approche inclusive est fondamentalement participative. Elle invite chaque individu à interroger son positionnement et son comportement dans le groupe pour y exercer deux responsabilités concomitantes : celle de s'exprimer et celle de permettre aux autres d'en faire autant.
En français, le mot « inclusion » signifie « état de quelque chose qui est inclus dans un tout, un ensemble ». Ce terme [1] vient du latin inclusio : emprisonnement. Après une longue absence d'usage, il est repris au xix e siècle au sens d'insérer, c'est-à-dire de « faire entrer un élément dans un ensemble ».
Qui contient en soi quelque chose d'autre. 2. Qui intègre une personne ou un groupe en mettant fin à leur exclusion : Rêver d'une société plus inclusive et solidaire.
Une inclusion réussie tente de développer les forces et les talents d'un individu. Elle permet aux enfants de travailler sur des objectifs individuels tout en étant avec d'autres élèves de leur âge. Elle favorise la participation des parents à l'éducation de leurs enfants et aux activités de leurs écoles locales.
Le concept d'inclusion accepte que tout le monde entre dans la société et puisse s'y retrouver avec ses différences sans jamais laisser quelqu'un seul ou en difficulté. L'intégration, quant à elle, ne veut pas faire changer la société.
Le contraire du terme inclusif est le mot exclusif. Cet adjectif qualifie en effet une chose qui exclut tout partage, ou une chose qui exclut tout autre chose jugée incompatible.
C'est lorsque ou prend une valeur exclusive (l'addition des deux possibilités est exclue) que le français et les autres langues précisent ce fait par des périphrases si le contexte ne suffit pas. Par exemple, soit la phrase : Le menu du jour propose du veau ou de l'agneau.
Qui enferme, comprend, se dit par opposition à exclusif.
Qu'appelle-t-on l'inclusion ? L'inclusion désigne le fait d'intégrer l'ensemble des collaborateurs dans le collectif de travail, indépendamment de leurs différences et de leurs spécificités. Le management inclusif valorise les compétences professionnelles pour elles-mêmes et révèle des complémentarités cachées.
Les enjeux de l'e-inclusion dépassent le simple accès et l'utilisation élémentaire des outils numériques ; ils concernent plus largement la capacité à les maîtriser pour améliorer sa qualité de vie et participer aux différentes sphères de la société mais aussi à avoir un regard critique.
L'inclusion concerne l'ensemble des citoyens. C'est une nouvelle façon de penser la société, le vivre-ensemble ; c'est un choix de société et donc un choix politique.
L'inclusion valorise la diversité. Elle consiste à accepter pleinement ces différences, à les apprécier et à les considérer comme un atout. Ce qu'il faut retenir ici, c'est qu'un environnement de travail qui favorise la diversité ne favorise pas forcément l'inclusion. L'un n'implique pas l'autre.
La notion d'inclusion nous engage par conséquent à voir autrement ce que c'est d'être pleinement humain, à se représenter autrement la place des personnes handicapées dans la société, et à ne pas vouloir réparer les personnes avec des différences pour les faire rejoindre à tout prix le cercle fermé de la normalité qu' ...
L'inclusion signifie une éducation de qualité pour tous. Parce que l'éducation inclusive améliore l'éducation pour tous les élèves. Et c'est ce que nous devons faire, quels que soient leur handicap, leur origine migratoire, leur difficultés linguistiques, leur statut socioéconomique, etc.
Le terme « ou » (une conjonction de coordination) peut être : INCLUSIF, s'il peut être remplacé par « et »; EXCLUSIF, s'il peut être remplacé par « ou bien » ; ÉQUIVALENT, s'il signifie « c'est-à-dire ».
L'utilisation du point milieu en composant le mot comme suit : racine du mot + suffixe masculin + point milieu + suffixe féminin. On ajoutera un point milieu supplémentaire suivi d'un « s », si l'on veut indiquer le pluriel. Quelques exemples : acteur·rice·s, ingénieur·e·s, ceux·elles, sénior·e·s.
« L'éducation inclusive peut améliorer la réussite scolaire des enfants, renforcer leur développement socio-émotionnel, favoriser l'acceptation de l'autre… et donc contribuer à des sociétés elles-mêmes plus inclusives.
L'école inclusive vise à offrir à chaque enfant l'environnement scolaire le plus adapté à ses particularités individuelles. Quels que soient ses besoins, son handicap, son talent, son origine et ses conditions de vie économiques et sociales, l'élève doit ainsi pouvoir maximiser son potentiel.
Pour que l'enseignement inclusif soit possible, il est essentiel que les enseignants et les autres membres du personnel reçoivent l'éducation, la formation et le soutien appropriés. Ce n'est qu'ainsi qu'ils se sentiront suffisamment compétents et motivés pour promouvoir et réaliser l'inclusion.
La loi sur l'école de la confiance portée par le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, introduit officiellement la notion d'inclusion au détriment d'intégration, le 22 janvier 2019 (amendement AC32).
Le mot inclusion est un mot plein de bonnes intentions, c'est une sorte d'évidence répétée dans les discours. Personne ne peut s'opposer à la proclamation de l'émancipation pour tous, à l'affirmation de la possibilité concrète de vivre dans la société comme les autres avec ses différences.
La liste est longue de tout ce qui amène au repli sur soi-même alimenté par la peur de l'autre. Inévitablement, ces comportements génèrent une perte de concentration, de temps, d'énergie, de productivité, d'argent, d'image jusqu'à parfois une autodestruction des individus et des organisations.