Les douleurs hépatiques se décrivent sous le nom de colique hépatique. Cette douleur est en réalité sans rapport direct avec le foie. C'est la distension brutale des voies biliaires et la contraction de la vésicule biliaire qui en sont responsables.
Une colique hépatique est une douleur d'origine biliaire, une douleur abdominale en regard du foie et de la vésicule biliaire qui résulte soit d'une vésicule biliaire sous tension en raison de calculs obstructifs et/ou de voie biliaire, siège de calculs obstructifs qui met sous tension l'arbre biliaire.
La colique hépatique est provoquée par l'obstruction des voies biliaires (voies d'écoulement de la bile à la sortie du foie ou de la vésicule biliaire) par un calcul (lithiase) ou le déplacement de ce dernier dans le canal cystique.
Située au niveau du foie, du coté droit, en dessous des côtes, la douleur hépatique n'est pas causée par une maladie du foie mais par les voies biliaires. Les douleurs hépatiques se décrivent sous le nom de colique hépatique.
Les plus souvent ces maux de ventre sont localisés dans l'épigastre et l'hypochondre droit, c'est-à-dire au niveau de la région gastrique (estomac) et sous le foie. De plus, ces douleurs peuvent irradier dans le dos ou dans l'épaule droite en bretelle. En fait, il s'agit d'une douleur projetée.
La surcharge pondérale est un facteur de risque bien identifié de calculs vésiculaires et donc de colique hépatique. Parmi les principales recommandations : Une alimentation saine, pauvre en graisses saturées et en cholestérol (beurre, fritures, viandes, charcuterie, viennoiserie, œufs, etc.)
Les symptômes cliniques les plus fréquents sont : LA FATIGUE souvent mal comprise et sous évaluée car invisible et subjective. Les démangeaisons ou PRURIT avec des lésions de grattage disséminées sur tout le corps mais principalement aux extrémités.
Une personne atteinte d'insuffisance hépatique présente en général une jaunisse, une ascite, une encéphalopathie hépatique et un mauvais état général. La jaunisse donne une teinte jaunâtre à la peau et au blanc des yeux (sclérotiques). L'ascite peut provoquer un gonflement abdominal.
Il ne faut cependant pas en consommer si on souffre d'une obstruction des voies biliaires ou d'un ulcère. Banane. "Manger des bananes n'est pas une bonne idée en cas de crise de foie car le foie est très sensible au fructose", prévient la naturopathe.
Comment diagnostique-t-on les calculs biliaires ? Le calcul biliaire, le plus souvent lié à une saturation de la bile en cholestérol, peut passer inaperçu et est alors découvert lors d'un examen d'imagerie pour un autre problème: échographie hépatobiliaire, radiographie d'abdomen sans préparation ou scanner abdominal.
Voici des déclencheurs courants : › les œufs; › le porc; › les aliments frits, gras ou épicés; › la crème, le beurre, le fromage. Si vous avez des crises de la vésicule biliaire à répétition, il pourrait être nécessaire de vous enlever la vésicule biliaire (cholécystectomie).
Pour limiter le développement de calculs biliaires, il est utile de : ? Limiter les apports en lipides saturés : beurre, charcuteries, saucisses, fromages gras, frites, chips, viandes grasses (échine, côtelettes, peau de volaille), plats cuisinés gras, biscuits industriels, viennoiseries, chocolat...
VRAI. Par ses sucres et l'acide oléique du beurre de cacao, le chocolat augmente la sécrétion de bile, ce qui oblige la vésicule biliaire à se vider plus fréquemment. Cette vidange répétée ne favorise pas la formation de calculs.
S'il se dérègle, plusieurs symptômes peuvent apparaître. On pense souvent aux symptômes digestifs, mais d'autres signes peuvent apparaître comme de la fatigue, des troubles du sommeil, des démangeaisons de la peau, une hypersensibilité au froid, de l'asthme, des migraines etc.
Et s'il ne mange pas de laitages, il faut boire de l'eau minérale très calcique. Donc cela dépend aussi de l'alimentation. Si on a des calculs d'acide urique, on conseille de boire plutôt de l'eau alcaline. Ce sont en général des eaux minérales gazeuses."
Une crise de colique biliaire se traduit pas une douleur intense à droite de l'estomac pouvant irradier dans le dos. Ces douleurs s'accompagnent parfois de nausées et de vomissements. Les urines peuvent être plus foncées. Ces crises ont tendance à se répéter de plus en plus fréquemment.
Les patients avec fistule biliodigestive entre la vésicule biliaire et le côlon présentent généralement des symptômes d'une cholécystite sans signe d'obstruction intestinale. Les troubles classiques sont douleurs abdominales, nausée et diarrhée.
Aucune modification alimentaire n'est nécessaire même si l'écoulement plus fréquent de la bile dans l'intestin grêle peut provoquer de la diarrhée.
Il n'y a pas de signe très spécifique alertant sur une mauvaise santé du foie ; néanmoins certains symptômes comme une fatigue, une fièvre, une sensation de gêne voire une douleur abdominale à droite, des troubles digestifs, une augmentation du volume abdominal (qui se remplit de liquide appelé ascite), une coloration ...
Douleur du côté gauche : quand la cause est ailleurs
un trouble du système digestif (reflux oesophagien) une maladie infectieuse virale (comme le zona intercostal) un trouble nerveux ou musculosquelettique (névralgie intercostale, fracture ou perte de mobilité au niveau du bassin)
La cholécystite est une inflammation de la vésicule biliaire, en général provoquée par la présence d'un calcul biliaire qui obstrue le canal cystique. En règle générale, les personnes présentent des douleurs abdominales, une fièvre et des nausées.