[En parlant d'une femme] Qui répond favorablement aux désirs d'un homme. Une femme superbe de vérité, consentante mais grave, se tenait devant moi (Jouve, La Scène capitale,1935, p.
consentant adj. Qui consent, accepte quelque chose. consentir v.t. ind. Accepter que quelque chose se fasse ; tomber d'accord sur quelque...
Le seul moyen de le savoir est d'en parler avec elle. Si une personne dit oui, cela ne veut pas dire forcément qu'elle est consentante, il faut tout de même s'en assurer. Le consentement, c'est une personne qui affirme un oui explicite.
Qui consent, accepte.
Accepter que quelque chose se fasse ; tomber d'accord sur quelque chose ; acquiescer : La direction consent à l'augmentation des salaires.
Quelque qui ne se manifeste pas, qui reste silencieux face à une décision ou à une parole donne implicitement son accord.
Accepter la réalisation d'une chose ; concéder, accorder.
Contraire : défense, interdiction, opposition, refus, veto.
1. Action d'accepter quelque chose. Synonyme : accord, acquiescement, adhésion, agrément, approbation, assentiment, autorisation, consentement, permission.
intentionnel, volontaire, voulu[Ant.] inintentionnel, involontaire, non intentionnel[Ant.]
Une relation sexuelle n'est pas consentie si elle a lieu sous la contrainte ou la menace. D'autres situations peuvent empêcher une personne de donner son consentement librement, par exemple si elle n'a pas la capacité mentale de consentir ou si elle est mineure.
Le consentement vise à créer un espace favorable à des relations sexuelles sans danger. Plus important encore, le consentement compte parce que son absence peut être synonyme de violence domestique, de viol ou d'agression sexuelle – des crimes punissables par la loi.
Ainsi, le consentement sexuel doit être d'abord et avant tout libre et éclairé. Ces deux notions sont évidemment indissociables. On peut dire que le consentement est libre lorsqu'il est formulé de manière indépendante, sans pression et sans contrainte de la part du partenaire ou d'une tierce personne.
Si les partenaires gardent par exemple le silence avant ou pendant le rapport sexuel mais qu'ils/elles y participent pleinement, on parle de comportements signalant un accord tacite, ce qui correspond au consentement. A ce moment-là, les partenaires veulent du sexe et il ne peut pas être question d'une agression.
Qui ne dit mot ne consent pas forcément. » Un même comportement ou commentaire peut être bien accueilli par une personne (elle est réceptive ou consentante), mais mal vécu par une autre (elle n'aime pas le geste, ça la met mal à l'aise et lui donne le sentiment d'être rabaissée, qu'on lui manque de respect).
Des pistes pour accepter
Accepter la situation, c'est d'abord conscientiser et accueillir qu'on est dans la résistance. Ensuite, on avance vers l'acceptation par l'accueil des émotions souffrante déclenchée par cette réalité.
L'acceptation de soi est l'état de paix au fond de soi, indépendamment de qui nous sommes et de ce que nous sommes. C'est l'absence totale d'attentes excessives et irréalistes envers soi-même.
Acceptation désigne le fait d'accepter quelque chose, soit en donnant son agrément, soit en se résignant à ce qui est imposé, alors que l'acception peut être, dans la langue de la justice, la préférence que l'on a pour une personne au préjudice d'une autre ou, plus couramment, le sens dans lequel on prend un mot.
Conséquence : la nullité du contrat
La partie victime d'un vice du consentement peut obtenir la nullité du contrat (article 1117 du Code civil). Autrement dit, chaque contractant devra restituer les biens ou sommes reçues en vertu du contrat.
Consentement exprès,
celui qui est écrit ou exprimé verbalement.
Hors-la-loi : Définition simple et facile du dictionnaire.
Le site du CNRTL définit le passéisme comme un « attachement excessif au passé » et le passéiste comme une personne « excessivement attachée au passé », présentant donc le terme comme étant lié à une exagération du sentiment de nostalgie.
Désirer ardemment une chose qui est disputée ou qui appartient à autrui : Convoiter un héritage. 2. Littéraire. Désirer physiquement, charnellement quelqu'un.