PSYCHOLOGIE - Les névrosés ont souvent mauvaise réputation. Nerveux, tendus, lunatiques, ils réfléchissent toujours trop et ne laissent rien passer. De l'avis général, ils n'ont pas bonne presse (après tout, ce comportement entraîne un certain nombre de risques susceptibles de nuire à la santé et au bonheur).
névrose. Affection caractérisée par des conflits qui inhibent les conduites sociales et qui s'accompagnent d'une conscience pénible des troubles.
– Une personne atteinte de psychose n'a pas conscience de sa maladie, elle ne perçoit pas ses troubles, elle n'est pas dans la réalité et n'est pas en demande de soin. – A contrario une personne atteinte de névrose a conscience de sa maladie et est donc en demande de soin et il n'y a pas d'altération avec la réalité.
PSYCHOLOGIE - Les névrosés ont souvent mauvaise réputation. Nerveux, tendus, lunatiques, ils réfléchissent toujours trop et ne laissent rien passer. De l'avis général, ils n'ont pas bonne presse (après tout, ce comportement entraîne un certain nombre de risques susceptibles de nuire à la santé et au bonheur).
Les principales manifestations sont une anxiété excessive, des symptômes hystériques, des phobies, des symptômes obsessionnels et compulsifs, la dépression.
La psychanalyse postule que tout le monde souffre de troubles névrotiques à des niveaux divers. Ces niveaux étant plus ou moins handicapants. La cure psychanalytique (un ou deux RV par semaine) a pour but de faire émerger de nouveau à la conscience des conflits et traumatismes restés à l'état inconscient.
La dépression ne constitue pas une entité comme la névrose, elle n'est pas structure nosographique, là où en psychiatrie, la dépression constituerait un trouble mental à part entière.
Freud a établi que le conflit psychique est responsable de la névrose : conflit entre le Moi et les exigences de la pulsion sexuelle. Un Moi immature soumis aux pressions du Surmoi préfère refouler les représentations pulsionnelles plutôt que les contrôler à défaut d'avoir pu les intégrer.
L'origine de la névrose est généralement relative à un traumatisme plus ou moins récent ayant impacté l'état psychologique de la personne. Le patient a totalement conscience de ces troubles et n'est pas du tout "déconnecté" de la réalité.
Une névrose se manifeste essentiellement par une anxiété importante, des symptômes d'hystérie, des phobies, des symptômes obsessionnels et compulsifs et une dépression. Le diagnostic est clinique, il passe essentiellement par l'écoute du patient.
La névrose d'angoisse est caractérisée par une peur intense et incontrôlée. Elle porte le plus souvent sur la crainte de mourir ou, plus généralement, de perdre le contrôle. La personne victime de névrose d'angoisse a l'impression de devenir folle, sans possibilité de se raisonner.
Le mot juste : volubile, bavard, prolixe…
La psychose blanche est une psychose dans laquelle il n'y a pas de signes délirants ou hallucinatoires : Elle est aussi désignée sous le nom de psychose non-hallucinatoire. Elle est caractérisée par un blanc de la pensée. Il s'agit d'un concept psychanalytique mis à jour en 1973 par André Green et Jean-Luc Donnet.
Admettre la névrose maladie : Il faut commencer par admettre qu'une névrose est une maladie, une maladie qui se soigne et qu'il faut traiter comme telle. Si vous refusez d'admettre ce fait, l'angoisse qui vous ronge va continuer son œuvre !
Burn-out. Le burn-out se manifeste par un épuisement physique et émotionnel. La plupart du temps, il est déclenché par un stress chronique subi sur une longue durée, par exemple au travail, en raison d'une maladie ou de problèmes familiaux. Le burn-out est considéré comme un facteur de risque pour la dépression.
Parmi elles, on retrouve les troubles cardiaques, les troubles pulmonaires (comme l'asthme) ou encore les troubles hormonaux ou endocriniens (maladies de la thyroïde). Sachez que la fièvre et l'anémie sont aussi à même d'engendrer de l'anxiété.
Le self-control est une réaction de défense qui permet à la personne de lui donner la sensation d'agir sur les choses et non de les subir. Ce comportement qui peut être excessif, les rassure.
Psychose et névrose sont des notions très différentes, quoiqu'elles concernent toutes deux des troubles du psychisme. La psychose se distingue essentiellement de la névrose par le fait que le sujet psychotique n'a pas conscience de ses troubles et qu'il perd contact avec la réalité.
Essayons de suivre maintenant comment ces six facteurs, ces procédés qu'adopte l'inconscient, entrent en jeu dans la formation de chacune des trois névroses de transfert : l'hystérie d'angoisse, l'hystérie de conversion et la névrose obsessionnelle.
La névrose obsessionnelle est marquée par des obsessions et des compulsions : Les obsessions constituent des pensées envahissantes et répétitives engendrant souvent de la peur et de l'angoisse. Pour y remédier, la victime éprouve le besoin de réaliser des gestes répétitifs ou des rituels : les compulsions.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Les symptômes de l'hystérie ou personnalité histrionique
Très préoccupés de leur corps et de son apparence, leur volonté de plaire et les comportements de séduction, parfois érotisés, animent leurs relations aux autres. Elles manifestent leurs émotions de façon excessive.