La cyclothymie est une forme de troubles bipolaires. Elle est traitée comme les troubles bipolaires avec des médicaments, notamment des stabilisateurs de l'humeur, et une psychothérapie.
La cyclothymie est un trouble de l'humeur se situant dans le spectre de la bipolarité, au cours duquel les périodes euphoriques et les périodes dépressives et d'irritabilité se succèdent. Elle se traite avec des médicaments, notamment des stabilisateurs de l'humeur, en association avec une psychothérapie.
Des traitements, appelés thymorégulateurs, permettent de stabiliser l'humeur. Ce sont les mêmes médicaments que pour les autres formes de bipolarité, mais à des dosages bien plus bas. Le recours aux médicaments n'est pas systématique : la décision n'est prise que si le psychiatre et le patient la jugent nécessaire.
La Cyclothymie
C'est un peu la maladie des « excès ». Les personnes cyclothymiques ont un tempérament instable, sont d'une grande sensibilité, souffrent d'une profonde émotivité et réagissent de manière exacerbée aux moindres stimuli.
Autrefois appelé hystérie, l'histrionisme est aujourd'hui défini comme un trouble de la personnalité très expansif qui vise à combler ou entretenir un besoin permanent d'attention. C'est l'amélioration de l'image de soi qui, dans la plupart des cas, permet au patient de sortir de ce trouble.
Dans le trouble dissociatif de l'identité, autrefois appelé trouble de personnalité multiple, deux ou plusieurs identités prennent tour à tour le contrôle d'une même personne.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
Le trouble dissociatif de l'identité (TDI, anciennement appelé le trouble de la personnalité multiple selon la CIM-10) est un trouble mental défini en 1994 dans le DSM par un ensemble de critères diagnostiques comme un type particulier de trouble dissociatif.
Dans les phases aiguës de la maladie, l'alcool et les drogues sont les principaux facteurs de risque qui conduisent à des comportements agressifs. L'alcool et les drogues augmentent en fait les épisodes de violence verbale et physique, même s'ils réduisent l'irritabilité et les crises d'agitation psychomotrice.
Des changements radicaux dans le comportement, alternant entre l'élévation et la dépression, constituent les signes typiques de la cyclothymie. Pendant un épisode d'humeur élevée, la personne peut se sentir très optimiste et gaie et elle peut ressentir plus de motivation à atteindre ses buts.
Afin de diagnostiquer un trouble cyclothymique, on doit observer pendant plus de deux ans des épisodes hypomaniaques et dépressifs. Cette période est réduite à un an pour les enfants et les adolescents. Ces épisodes ne doivent cependant pas répondre pas aux critères diagnostique d'un trouble bipolaire.
Vous pouvez soutenir, pas sauver. Les cyclothymiques ne sont pas sans ressources : ils sont créatifs, ils rebondissent vite et ils savent s'adapter ! Votre affection et votre soutien seront toujours bienvenus dans les moments difficiles, mais ne vous donnez pas comme mission de sauver vos proches.
En outre, lorsqu'une personne bipolaire sort d'une phase de crise, elle est capable de prendre conscience de son propre état émotionnel. Tandis que, de son côté, le pervers narcissique est froid, surtout quand il manipule l'autre et ne prend pas conscience de la façon dont il se comporte.
La consommation de tous types d'excitants - alcool, drogues, café, sodas, et même le chocolat ! - sont déconseillés. Certains médicaments, prescrits à tort, peuvent aussi renforcer la cyclothymie : c'est notamment le cas des antidépresseurs qui, à des dosages inadaptés, peuvent causer des dégâts durables.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
La schizophrénie est un trouble mental grave et chronique. C'est une psychose qui se caractérise par des délires et des hallucinations sensorielles, le plus souvent auditives, mais pas obligatoirement.
On peut guérir totalement d'une maladie mentale. Non. Chaque maladie – physique ou mentale – laisse des traces dans l'organisme. Mais elle a parfois des conséquences positives.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Évitez de rajouter à la tension et à la colère ambiante en vous montrant fermé et énervé. Ne croisez ni les bras ni les jambes, évitez de grimacer ou de regarder par terre et n'approchez jamais vos mains du visage de quelqu'un, n'envahissez pas son espace X Source de recherche .