Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
C'est une proposition avec le verbe à l'infinitif qui a la fonction de COD dans la phrase. On la trouve surtout avec des verbes de perception comme entendre, voir, sentir. Exemples : Je vois mon père arriver.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
Je pense que Jeanne viendra demain. Il faut que Jeanne vienne demain. Que Jeanne vienne demain est nécessaire. que Jeanne viendra demain = subordonnée complétive.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
Membrane muqueuse transparente qui recouvre la face interne des paupières (conjonctive tarsale) et tapisse une partie du globe oculaire (conjonctive bulbaire).
Une proposition subordonnée complétive a en général pour fonction d'être COD du verbe de la proposition principale.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Proposition subordonnée conjonctive circonstancielle
Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand, si, comme, etc.) ou une locution conjonctive (si bien que, avant que, même si, etc.). La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle est facultative.
-> La complétive par 'que' complète un verbe. Exemple : J'ai su que vous viendriez. -> La relative par 'que' complète un nom. Exemple : La photo que je regarde est belle.
Dans une phrase, on dit qu'une proposition est subordonnée si elle dépend d'une autre proposition (presque toujours une principale). Elle complète le sens. On parle alors de subordination.
Une proposition subordonnée interrogative est toujours introduite par un mot interrogatif : adverbe : si, où, pourquoi, quand ; adjectif : quel ; pronom : qui, ce qui, ce que…
Mais, ou, et, donc, or, ni, car. Retenez bien cette phrase, et plus jamais vous n'oublierez les sept conjonctions de coordination. Une petite phrase toute simple permet de les retenir : "Mais où est donc Ornicar ?".
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
Une conjonction de coordination est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases. Un adverbe de liaison est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases.
Les propositions subordonnées complétives sont COD du verbe qu'elles complètent. Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Il existe deux catégories de subordonnées relatives : la proposition subordonnée relative adjective (a un antécédent) ; la proposition subordonnée relative substantive (n'a pas d'antécédent).
La conjonctive est une membrane qui tapisse la paupière et recouvre la sclère (couche fibreuse dure et blanche qui recouvre l'œil) jusqu'au rebord de la cornée (couche transparente située devant l'iris et la pupille, voir Structure et fonction des yeux.
Membrane fibreuse blanchâtre, très résistante, qui enveloppe l'œil sur presque toute sa surface.
Le blanc de l'oeil désigne la sclérotique composant ce l'oeil humain. Il s'agit d'une membrane résistante de couleur blanche.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.