La règle de morale a pour but de nous dire ce qui est juste, et aussi ce qui doit être fait par chacun de nous au-delà de la justice, sur le terrain de la charité. La règle de droit, elle, a pour but à la fois d'obliger à respecter ce qui est juste, sans pouvoir dépasser la justice, et de nous donner la sécurité.
La règle morale tend à rendre l'homme meilleur en tant qu'individu : elle vise son perfectionnement et poursuit donc une finalité individuelle. La règle de droit vise à réguler la vie sociale[4], à assurer la paix dans les relations entre les hommes vivant en société.
D'autres types de morales
Eudémonisme : le but de l'action est la recherche du bonheur. Pessimisme : en moral, consiste à penser que le mal l'emporte sur le bien, l'homme est donc condamner à mal agir. Hédonisme : Le bonheur est le plaisir immédiat, jouissance. Stoïcisme : le destin régit la morale.
1. Rapport, conformité à la morale, à l'éthique : Film d'une moralité douteuse. 2. Souci de quelqu'un, d'un groupe, de conformer sa conduite à un ensemble de principes moraux ; comportement qui manifeste ce souci : La moralité d'un fonctionnaire.
La morale réfère à un ensemble de valeurs et de principes qui permettent de différencier le bien du mal, le juste de l'injuste, l'acceptable de l'inacceptable, et auxquels il faudrait se conformer.
Ensemble de règles de conduite. Synonyme : bonnes mœurs, honnêteté, moralité, probité, vertu.
(Celui) qui se plaît à moraliser, à donner des leçons de morale. Synon. moralisateur. C'est un grand moraliseur, un moraliseur éternel (Ac.).
Immoral = contraire à la morale.
Les valeurs morales sont les règles et principes qui édictent rigoureusement la conduite et les mœurs appropriées pour être bon, faire le bien et vivre ensemble dans le respect fondamental de l'autre.
Un homme libre se donne à lui-même la loi à laquelle il décide de se soumettre ; c'est donc la raison qui seule peut lui dicter cette loi, laquelle procède alors de sa volonté propre.
Les deux termes désignent ce qui a trait aux moeurs, au caractère, aux attitudes humaines en général et, en particulier, aux règles de conduite et à leur justification.
Socrate, père de la philosophie morale !
Qui relève de la conscience que l'on a de ce qui est bien : Avoir l'obligation morale de faire quelque chose. 3. Qui se conduit selon les règles de comportement communément admises dans une société ; qui est conforme aux bonnes mœurs : Un auteur très moral. Un film moral.
La loi a un lien avec la morale (ou l'éthique), mais compte tenu de la distinction de nature et d'objectif entre les deux, il est clair que la loi ne doit pas condamner tout ce qui est immoral, à plus forte raison tout ce qu'exige la morale particulière d'un individu ou d'un groupe.
La morale résulte de la conscience individuelle, elle se rapporte à la personne, à l'individu. Le droit se rapporte au bien commun, il a pour objet d'organiser la vie en société en fixant des règles communes7. La source de la règle morale est dans l'intériorité personnelle.
Les Deux Sources de la morale et de la religion ont un seul objet : la religion dynamique, la matière qu'elle convertit dans son effort et la manière dont elle fait apparaître de nouvelles obligations.
L'éthique et la connaissance sont inévitablement liées dans l'action et par elle. L'action met en jeu, ou en question, à la fois la connaissance et les valeurs. Toute action signifie une éthique, sert ou dessert certaines valeurs ; ou constitue un choix de valeurs, ou y prétend.
Avoir des principes Sens : Avoir des règles de conduite, une morale. Origine : Cette expression semble être apparue au cours du XIXe siècle et s'emploie dans le langage courant sans être liée à un domaine particulier. Toujours très usitée, elle conserve son sens initial.
Parmi ces valeurs, on peut citer dix qui sont les plus importantes, il s'agit du respect, de l'amour, de la liberté, de la paix, de la justice, de l'équité, de la tolérance, de la responsabilité, de l'honnêteté et de la loyauté.
Personne pervertie, détournée du bien, des dispositions morales considérées comme... dépraver v.t. Pervertir quelqu'un, le corrompre en faussant son sens moral ; pousser quelqu'un...
Qui a une intention édifiante, qui vise à donner des leçons de morale : Un ton moralisateur.
− Conduite ou comportement immoral (d'une personne). Synon. corruption, cynisme, débauche, dépravation, dévergondage, dissolution, licence, lubricité, obscénité, vice.
L'Homme pour être morale doit être rationnel et raisonnable. Il doit faire appel à sa raison. Une action bonne ne peut être évolué que par son attention ou sa volonté d'y répondre. Cette attention doit être désintéressée.
Le problème moral consiste à trouver, à inventer et à se donner une direction de l'action imposée par la volonté se donnant des règles dans la représentation.
Une théorie morale peut tomber sous cette qualification pour trois motifs correspondant à autant de propriétés de la moralité : soit elle en affaiblit l'autorité en affirmant qu'il peut être raisonnable de ne pas toujours respecter ses injonctions, soit elle atténue la rigueur de la moralité en soutenant que ses ...