Une sinécure est, à l'origine, un bénéfice ecclésiastique accordé à un clerc pour lui permettre d'effectuer un travail de recherche sans avoir à assurer de services religieux ou, comme on dit, sans avoir charge d'âmes. Ultérieurement, l'expression désigna un emploi, une charge qui n'implique aucun travail effectif.
Emploi ou fonction bien payés pour un travail faible ou nul.
Ce mot est couramment utilisé dans l'expression française « Ce n'est pas une sinécure », pour qualifier une lourde charge de travail, souvent désagréable, se réalisant avec beaucoup d'efforts.
Ou sert à indiquer une alternative entre deux possibilités ; en ce sens, le terme introduit souvent une notion de choix. Exemple : Tu nous rejoins en voiture ou en train ? Ou sert à indiquer une explication ; en d'autres termes. Exemple : Lutèce ou l'ancien Paris.
Sinécure est un mot qui date du début du XIXe siècle. Il vient du latin "sine cura", abréviation de "beneficum sine cura" qui signifiait "bénéfice ecclésiastique sans souci, sans travail". Il désigne d'abord une "situation de tout repos" ou bien un "travail rétribué dans lequel il n'y a rien ou peu de choses à faire".
Locution-phrase
(Proverbial) Qui revient d'un pays lointain peut aisément raconter ce qu'il veut, sans craindre d'être contredit.
sacerdoce
1. Fonction du prêtre. 2. Fonction qui présente un caractère particulièrement respectable en raison du dévouement à l'égard d'autrui qu'elle exige.
Ce « je t'aime », répété inlassablement pendant des années devient soudain trop petit. C'est alors qu'interviennent les pronoms possessifs : « mon amour », « mon cœur », « mon homme » ou « ma chérie ».
Désir soudain et irréfléchi. Synonyme : coup de tête, envie, extravagance, fantaisie, lubie, saute d'humeur, volte-face. – Littéraire : foucade.
Salut, bonjour. Terme anglais maintenant passé dans le langage courant français qui est utilisé pour saluer une autre personne. Exemple : Hello, j'espère que tu vas bien. Ça fait un moment que je ne t'avais pas croisé.
insipide adj. Qui n'a pas de saveur, de goût.
(Familier) Désordre dans une administration, dans une entreprise, un pays, qui a pour cause des dépenses exagérées, et pour conséquences des pertes d'argent. L'expression gabegie financière est donc un pléonasme.
À l'instar de (= à l'exemple de, à la manière de) : « La Monarchie fut démolie à l'instar de la Bastille » (Chateaubriand). Registre soutenu. À l'instar de est une locution figée qui ne peut pas être construite avec un adjectif possessif : on ne peut pas dire *à son instar, *à votre instar.
Figure de style basée sur l'atténuation d'un mot, d'une expression qui serait trop choquante. Exemple : Les "personnes de couleur" ou le "troisième âge" sont des euphémismes qui permettent de ne pas froisser certaines populations. Étymologie : du grec ancien euphêmismos, qui signifie l'emploi du mot approprié.
gageure (Réf. ortho. gageüre)
1. Littéraire. Action, projet peu croyables et ressemblant à un pari hasardeux : C'est une gageure de vouloir raisonner cet entêté.
Incurie = manque de soin, négligence, laisser-aller. Impéritie.
Littéraire. Avancer sur l'eau. Synonyme : cingler, faire voile, naviguer.
entêtement. fait de persister coûte que coûte et obstinément dans un comportement volontaire (idées, goûts, ...)
et n. Qui agit par caprice. capricieux adj. Irrégulier, fantaisiste, dont les changements sont brusques, imprévus.
La complicité et le langage corporel
Il s'agit de la complicité, cette relation unique et spéciale qui est plus forte que l'amour. Aimer une personne, ce n'est pas simplement l'aimer.
Tu me plais, tu sais. Je ne te trouve pas mal. Je tiens à toi. Je m'intéresse à toi.
Le monde devient merveilleux et lumineux quand je suis avec toi. J'ai besoin d'être avec toi, de vivre et de jouir de notre si bel amour. Sans toi, il n'y a pas d'amour, sans toi, je n'existe pas. Sans toi, le monde est vide et n'a aucun sens, je te demande de rester à mes côtés, car j'aurai toujours besoin de toi.
Sans consistance, sans intérêt.
Modeste et prétentieux, sont des mots antonymes.
Jésus possède le sacerdoce royal, « à la façon de Melchisédech »: sacerdoce unique en son genre et éternel (...), que Jésus tient de sa qualité de Fils de Dieu, glorifié par sa résurrection (Religions1984). − P. anal. Fonction qui revêt un caractère quasi-religieux par la vertu et le dévouement qu'elle exige.