Accepter c'est laisser place au lâcher prise et trouver une paix intérieure. Lorsque vous dites « d'accord » à la vie telle qu'elle est en ce moment, lorsque vous acceptez le moment présent tel qu'il est, vous éprouvez alors un sentiment profond de paix.
Des pistes pour accepter
Accepter la situation, c'est d'abord conscientiser et accueillir qu'on est dans la résistance. Ensuite, on avance vers l'acceptation par l'accueil des émotions souffrante déclenchée par cette réalité.
Comment accepter l'inacceptable ? Dîtes mentalement : « oui, j'accepte que cela se soit produit. Je ne suis pas d'accord avec cette situation, mais j'accepte que cela ait pu survenir … cette situation m'enrichit en m'informant sur ce que je ne veux plus vivre ».
L'acceptation peut être faite sous plusieurs formes : verbale, écrite ou même résultant d'un comportement de l'acceptant (article 1113 du Code civil). Concernant le silence, l'article 1120 du Code civil dispose qu'il ne vaut pas acceptation.
Accepter l'idée que rien ne dure éternellement et y insister le plus souvent possible vous aidera à faire face à la mort de vos proches et pourquoi pas, à votre propre mort de manière vraiment positive et apaisée. La mort n'est pas la fin.
Il s'agit de prendre du recul sur les épreuves de la vie en acceptant la situation et en s'adaptant au changement. Il est possible de lâcher prise en travaillant sur ses pensées négatives, sur ses émotions ou en effectuant des exercices de relaxation, notamment de sophrologie.
Le processus d'acceptation permet à l'individu de continuer à donner du sens à sa vie, même s'il traverse des événements qui déclenchent des émotions et pensées difficiles.
L'acceptation de soi est un état de paix, c'est lorsque la personne se sent vraiment en paix avec elle-même. Reconnaitre sa valeur, accepter ses qualités comme ses défauts, ses parts d'ombres et de lumière, rechercher le progrès vous permettra de libérer tout votre potentiel.
Entraînez-vous à détecter la présence d'émotions négatives, à les accueillir puis à les laisser passer. C'est comme un muscle, il faut s'entraîner pour savoir lâcher-prise à la demande. Une bonne habitude pour calmer le mental et bien gérer ses émotions, c'est par exemple de faire de la méditation tous les jours.
Aller de l'avant signifie se projeter positivement, avancer de manière optimiste et tournée vers l'avenir. Exemple : Face aux difficultés, il va toujours de l'avant et rencontre ainsi de belles réussites.
L'importance de s'aimer soi-même pourrait sonner comme une énième injonction moderne - aux côtés de l'injonction au bonheur, à la réussite ou encore à la bienveillance. Une énième façon de se faire dicter ce qu'il faut ressentir, quitte à en perdre son jugement et son sens critique.
Contraire : contestation, protestation, rébellion, rejet, révolte.
Les attendus en licence restent assez généraux : avoir un bon niveau en langues étrangères, maîtriser le français, avoir une culture générale solide, être autonome… Trouvez l'établissement qui vous correspond pour intégrer une licence de psychologie en fonction de vos choix.
Accepter sans jugement, se respecter et respecter le rythme de l'autre, être dans la tolérance et la bienveillance de ce qui est. Il est difficile de le faire avec les autres, tout comme il est difficile de le faire pour soi. Il est nécessaire d'éviter de s'accrocher trop fortement à l'image que nous avons de l'autre.
Ce problème courant peut être résolu grâce à quelques gestes apaisants qui permettent de détendre les tensions musculaires et d'aider l'esprit à s'apaiser. La respiration, les souvenirs heureux, l'écriture, les techniques visuelles ou quelques gouttes d'huile essentielle de lavande peuvent suffire.
La respiration est un outil formidable pour lâcher prise. N'avez-vous jamais remarqué comme une profonde respiration suivie d'un grand soupir peut vous soulager quand une situation stressante est achevée ? Pratiquez la respiration abdominale (ou ventrale).
Le lâcher-prise consiste donc à avoir conscience qu'on s'accroche à un sujet, qu'on est tendu sur un sujet. Passez l'étape de prise de conscience, il s'agit d'agir et de se dire que ça suffit, qu'il est temps de passer à autre chose, de prendre de la distance, d'accepter le changement… et d'y voir les bénéfices.
Pourquoi la mort nous terrorise-t-elle? « C'est l'événement qui nous abolit comme être vivant, comme être humain, explique Luce Des Aulniers. La peur de la mort est un indice qui nous oblige à faire attention à la vie. » Plus précisément, notre peur du cadavre nous pousse à résister à l'anéantissement du corps.
Le travail sur vos émotions est indispensable même s'il est pénible. Il permet de garder le contrôle de la situation. Pour ce faire, vous devez identifier vos émotions, les accepter sans les rejeter. Ainsi, vous aurez le recul nécessaire pour calmer et rassurer les personnes en deuil.
Pour mieux appréhender la mort et apaiser l'angoisse qui l'accompagne, la clé se trouve dans l'acceptation. "Comme nous ne pouvons rien faire pour éviter la mort, il est préférable de l'accepter. Parler de la mort, c'est la dédiaboliser et mettre de la pensée là où il n'y a que de la terreur", explique Joseph Agostini.